https://streamable.com/d2o2e4

Voici une compilation de femmes dont le désir passionné de vraie jouissance humaine les fait rayonner d'une énergie infinie qui transcende leur matérialité physique de départ

Les femmes les plus belles sont les femmes en mouvement qui produisent l'énergie de la volonté de dépassement de leurs conditions de vie déterminées aliénées

Les femmes qui au même titre que les hommes ne supportent pas la vente de leur vie dépossédée aliénée au travail du Capital, et qui refusent le rapport marchand des représentations narcissiques de valorisation de leur image sont les plus belles créatures divines

La beauté vient du mouvement, de l'énergie vers le désir tripal de vraie vie humaine

Les êtres humains en insatisfaction ontologique sont les plus beaux

Première vidéo :
Paléolithique, le rapport de production est communiste, la production des hommes s'organise dans le but de la simple reproduction des besoins nécessaires au groupe.
Le rapport social est immédiat et spontané, il est en adéquation avec l'essence générique de l'homme, le Moi est en relation permanente au Nous.
La femme rit, sujette à des spasmes de joie cosmiques inconscients qui la traversent car tout est à sa place.

Vidéos années 60-70 :
Malgré la déchirure de la communauté au Néolithique, le rapport marchand ne s'est pas encore emparé de tous les aspects de la vie humaine, bien que l'usine globale de dépossession du produit des hommes se soit étendue au monde entier.
Les femmes épousent les mouvements de luttes sociales de leurs temps et expriment leur mal-être ontologique en refusant de s'asservir à la dictature du quantitatif qui se diffuse dans tous les pores de nos êtres inexorablement.

Vidéo de 2024 :
Atomisation terminale des êtres dépossédés de leur substance, dont les sens ont été confisqués par l'avoir et qui n'ont plus rien d'humain. L'homme s'est fait marchandise et les relations humaines n'ont jamais été aussi fallacieuses et insipides.
De la tripe communiste insatiable jaillit tout de même le cri de l'eros nécessaire à la jouissance des hommes.

oui, aussi simple que ça