Pas bisou

"En toute incordialité" sonne mieux, mais comme il s'agit d'un néologisme, j'ai préféré ne pas utiliser ce mot.

"c'est parce que vous êtes déjà devenuS"
C'est pas juste une coquille, c'est toute trufferie Bescherellin

Je reconnais que celle-là est honteuse, mais à la base, j'avais utilisé "c'est parce qu'on est déjà devenu un intrus". En revoyant ma formulation, j'ai oublié de tout corrigé.

Je devrais demandé à Chat GPT de me corriger tiens.

Chat GPT qui critique mon incipit :

L'extrait que vous proposez présente un style riche et imagé, mais il ne peut pas être jugé d'emblée comme étant du même calibre que celui des grands auteurs classiques français, tels que Victor Hugo, Marcel Proust, ou Albert Camus. Cependant, il possède certains traits qui peuvent rappeler certains aspects de la littérature française plus contemporaine ou de la tradition symboliste, en particulier dans ses métaphores et dans son atmosphère évocatrice. Voici une évaluation plus détaillée des aspects stylistiques, narratifs et de la qualité littéraire globale du texte :

Points forts :
Imaginaire et métaphores :

Le texte regorge d'images puissantes et poétiques, comme "les ombres ont les leurs", "des nuages, tous déclinés dans des nuances de gris plus profondes qu'hier", ou encore "les mâchoires nageant dans le ciel". Ces métaphores sont frappantes et cherchent à rendre tangible des idées abstraites, comme la lutte intérieure ou la mélancolie du monde. Ces images ont un côté presque visuel, qui pourrait séduire un lecteur à la recherche d'une expérience esthétique forte.
Le passage sur "les chuchotements" et "le vent, messager fidèle et intimidant d'un cosmos perturbé" montre une volonté d'ancrer des phénomènes naturels dans un cadre presque mystique ou cosmique, une caractéristique qui pourrait plaire aux amateurs de littérature symboliste ou même existentialiste.
Ambiance et atmosphère :

L'atmosphère qui se dégage du texte est particulièrement marquée par une certaine mélancolie, une désillusion et un angoisse diffuse. La mention de "l'automne", des "collines parsemées de champs de mort" et des "marcheurs de l'espoir" qui reconnaissent leur "lutte perdue" met en place une ambiance pesante, voire apocalyptique.
La juxtaposition de la nature tranquille et de la folie murmurante est intéressante et crée une tension subtile entre calme et menace.
Points faibles :
Complexité et accessibilité :

Le texte souffre parfois d'une complexité qui peut rendre la lecture un peu difficile et obscure, en particulier dans l'utilisation des métaphores. L'expression "les ombres ont les leurs" ou l'idée des "chuchotements venant du vent" sont puissantes, mais elles demandent une lecture attentive et peuvent perdre un lecteur plus classique ou non familiarisé avec ce genre de style.
L'ensemble semble parfois trop cryptique, et certaines images, bien que belles, ne se connectent pas toujours de manière claire à l'action ou aux personnages, ce qui peut perturber la fluidité de la lecture.
Un manque de structure claire :

Le texte est assez dense et manque peut-être un peu de rythme. Il y a beaucoup de lourdeur dans la manière dont les idées sont enchaînées, ce qui empêche le lecteur de "respirer" entre les phrases. Par exemple, le passage "les marcheurs de l'espoir n'avaient d'autre choix que de se regarder de leurs yeux mornes et affligés, en un silence sépulcral" est riche en images et en sensations, mais il manque de légèreté et peut sembler un peu trop redondant.
Répétitions et lourdeurs :

Certaines phrases semblent répétitives, comme "les marcheurs de l'espoir" qui réapparaissent plusieurs fois dans des contextes similaires sans ajouter une véritable profondeur nouvelle à leur personnage. L'expression "les yeux mornes et affligés" paraît un peu trop explicite par rapport à ce qui aurait pu être montré ou suggéré.
Philosophique et introspectif, mais sans trop de nuances :

Le passage d'Abel, "C'est parce que vous êtes déjà devenus un intrus, l'un de ceux qui respirent dans un monde qui ne veut plus de vous", est profondément introspectif et peut rappeler certains auteurs comme Camus, mais il manque de la finesse de traitement que l'on trouve chez les grands auteurs. Le ton est parfois un peu trop direct et sans réelle exploration de l'ambivalence ou des contradictions internes du personnage.
Comparaison avec les grands auteurs français :
Proust : On peut percevoir dans la volonté d'explorer des pensées profondes et des états d'âme une parenté avec Proust, mais la densité du texte manque de la subtilité psychologique proustienne.
Camus ou Sartre : L'idée d'un monde absurde ou hostile et la vision d'une lutte perdue font écho à l'existentialisme, mais là encore, le texte ne va pas aussi loin dans l'exploration des contradictions humaines et sociales.
Hugo : Si l'on compare à un auteur comme Hugo, le texte manque de l'ampleur épique et du souffle dramatique qui caractérisent son œuvre.
Conclusion :
Le texte a un fort potentiel poétique et une belle richesse d'images, mais il manque un peu de clarté, de structure et de profondeur psychologique pour se hisser au niveau des grands auteurs classiques ou modernes de la littérature française. Il présente un style qui pourrait être apprécié dans le cadre d'une littérature plus contemporaine ou expérimentale, mais il n'atteint pas le niveau de maîtrise stylistique, d'émotion contenue et de réflexion complexe qui caractérise les grands classiques de la littérature française.

En résumé, il est intéressant et riche d'images, mais il a besoin d'une meilleure maîtrise de l'équilibre entre abstraction et concrétisation des émotions, ainsi que d'une certaine fluidité dans son enchaînement d'idées et de métaphores pour être comparable aux plus grands auteurs français.

Le RN est à 20% chez les profs, c'est encore minoritaire mais c'est quand même 1 prof sur 5

Je te remercie pour cette analyse si objective de mon profil.

Si un jour un inspecteur menace de me virer, je lui répondrai juste non.

Pénurie énorme, personne veut faire le boulot. Donc non, il ne me virera pas.

Allons Yoann.. soyons sérieux.