Vos pires cuites d'ados

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MBPGH

il y a 6 mois

Perso :
L'été de mes 15 ans on part à 3 quelques jours chez la tante d'un pote qui habite une grande maison à la campagne dans un bled paumé.
On loge à l'étage. Cette partie de la maison ayant été réquisitionnée pour nous accueillir. Il y a une grande chambre avec 3 lits et une salle de bain. Sa tante, une quinqua bien en chaire, loge en bas avec son mec du moment, un type rougeaud à l'accent bien rustique.
C'est une grande bâtisse au milieu d'un terrain boisé. Il n'y a pas grand chose à faire.
L'AM on sort faire quelques courses. On achète une bouteille de tequila et une bouteille de cointreau et on commence à picoler sur un banc tellement on se fait chier.
Le soir on dine avec sa tante et son mec et on est déjà bien entamé à table. On prend sur nous pour que ça ne se voit pas trop. Le repas fini on monte à l'étage et tout dégénère.

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il y a 6 mois

(suite)
Sur les 3 on est seulement 2 à boire. On attend un peu que sa tante se couche et on se met à picoler comme des trous. Très rapidement on perd le contrôle et on ne se rend plus compte de notre situation. On s'allume des clopes dans la chambre, on parle fort, on se paie même le luxe de descendre en pleine nuit pour chercher du sel et se frapper des téquilas.
Tout part en couille quand je surprends mon pote bourré à poil en train d'essayer de monter celui qui n'a rien bu. Etrangement il se laisse faire. L'autre est trop bourré pour bander et le traite de salope en essayant de l'enculer. Je suis tellement bourré que je ne trouve même pas ça choquant, je prends le truc à la rigolade, délire de troisième mi-temps. Faut savoir que celui qui n'a pas bu était très efféminé et qu'on le soupçonnait depuis longtemps d'être gay.
Je me retrouve moi aussi à poil, je ne sais pas pourquoi, j'enlève mon caleçon et montre ma bite. Puis celui qui était bourré se barre pour aller pisser... et ne revient pas. On sort de la chambre pour voir ce qui se passe. Il était étendu par terre à poil devant les chiottes cuvant sa gnôle. Avant qu'on ait pu comprendre quoi que ce soit, la lumière s'allume et je distingue vaguement la tante qui nous fait face.

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il y a 6 mois

(suite)
Sur les 3 on est seulement 2 à boire. On attend un peu que sa tante se couche et on se met à picoler comme des trous. Très rapidement on perd le contrôle et on ne se rend plus compte de notre situation. On s'allume des clopes dans la chambre, on parle fort, on se paie même le luxe de descendre en pleine nuit pour chercher du sel et se frapper des téquilas.
Tout part en couille quand je surprends mon pote bourré à poil en train d'essayer de monter celui qui n'a rien bu. Etrangement il se laisse faire. L'autre est trop bourré pour bander et le traite de salope en essayant de l'enculer. Je suis tellement bourré que je ne trouve même pas ça choquant, je prends le truc à la rigolade, délire de troisième mi-temps. Faut savoir que celui qui n'a pas bu était très efféminé et qu'on le soupçonnait depuis longtemps d'être gay.
Je me retrouve moi aussi à poil, je ne sais pas pourquoi, j'enlève mon caleçon et montre ma bite. Puis celui qui était bourré se barre pour aller pisser... et ne revient pas. On sort de la chambre pour voir ce qui se passe. Il était étendu par terre à poil devant les chiottes cuvant sa gnôle. Avant qu'on ait pu comprendre quoi que ce soit, la lumière s'allume et je distingue vaguement la tante qui nous fait face

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il y a 6 mois

On court cul nul, bite à l'air se recoucher lui disant que tout se passe bien comme si de rien était pendant qu'elle réanime l'autre.
Dans la nuit tout se met à tourner et je cours gerber dans les toilettes. Je suis toujours à poil, n'ayant pu retrouver mon caleçon. La tante monte m'aider. Je suis toujours bite à l'air. Elle me fait dormir dans un lit au rez de chaussée et je passe ma nuit à gerber mes tripes dans une bassine.
J'apprends le matin que mon pote a frôlé le coma éthylique ne se réveillant pas aux claques de la tante. Il déboule d'ailleurs dans ma chambre puant l'alcool et visiblement toujours autant bourré.
On avait fini les 2 bouteilles à 2 et salopé tout l'étage, laissant par terre clopes entamées et magazines de culs (que le gay avait sorti)...
La suite du séjour n'était pas des plus agréable entre gueule de bois carabinée et ambiance étrange, personne n'osant aborder le sujet de la sodomie simulée...
Sa tante n'aura jamais vendu la mèche à nos parents. Seuls son neveux à dû prendre cher à devoir tout expliquer à ses parents.

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il y a 6 mois

On court cul nul, bite à l'air se recoucher lui disant que tout se passe bien comme si de rien était pendant qu'elle réanime l'autre.
Dans la nuit tout se met à tourner et je cours gerber dans les toilettes. Je suis toujours à poil, n'ayant pu retrouver mon caleçon. La tante monte m'aider. Je suis toujours bite à l'air. Elle me fait dormir dans un lit au rez de chaussée et je passe ma nuit à gerber mes tripes dans une bassine.
J'apprends le matin que mon pote a frôlé le coma éthylique ne se réveillant pas aux claques de la tante. Il déboule d'ailleurs dans ma chambre puant l'alcool et visiblement toujours autant bourré.
On avait fini les 2 bouteilles à 2 et salopé tout l'étage, laissant par terre clopes entamées et magazines de culs (que le gay avait sorti)...
La suite du séjour n'était pas des plus agréable entre gueule de bois carabinée et ambiance étrange, personne n'osant aborder le sujet de la sodomie simulée...
Sa tante n'aura jamais vendu la mèche à nos parents. Seul son neveux à dû prendre cher à devoir tout expliquer à ses parents.