En votant, vous signez un accord par lequel vous (vos corps !) et vos familles devenez légalement la propriété du gouvernement.

Contrairement à ce que l'on croit, les votes ne sont pas considérés comme un véritable “choix d'un candidat”. Les dirigeants (les “maçons”) ont déjà sélectionné leur candidat bien avant les élections. En réalité, les citoyens ne choisissent rien du tout : ils n'ont jamais réellement élu de président. Le rôle des votants est simplement de valider un système déjà établi pour les cinq prochaines années.

Le rôle de l'électeur : valider le système
Votre simple présence dans l'isoloir et votre signature suffisent à leur donner ce dont ils ont besoin : une légitimité apparente. En votant, vous cédez votre pouvoir personnel et celui de votre famille au système. D'un point de vue symbolique et légal, vous vous mettez sous tutelle.

L'urne, un symbole : mort et soumission
Le mot “urne” n'est pas anodin : il évoque la mort. En votant, vous acceptez de devenir “mort” au sens symbolique : muet, sans pouvoir d'opposition. Vous validez un système maçonnique qui fait de vous et de vos enfants des propriétés du gouvernement.

Un piège bien pensé : c'est un piège machiavélique : votre vote ne sert pas à choisir un dirigeant, mais à confirmer et renforcer un système préétabli.