fatloath2

il y a 4 mois

Nous ne sommes pas le monde ; celui-ci était là avant nous et le sera après. Certes, ton point de vue est une médecine valable, mais ce n'est pas la mienne, couvrir un maux n'es pas le soigné.

Les puissants, comme les démunis, ont leurs rêves et leurs désirs, leurs peurs et leurs contraintes. Il faut savoir naviguer entre ceux-ci pour donner à chacun des raisons de choisir tes idées comme boussole. Et c'est là ma plus grave erreur : m'être emporté contre ceux qui, peut-être, étaient de loin les plus réceptifs à cela. Il faut permettre à ceux qui te suivent de subsister, sans quoi tu te retrouveras bientôt tout seul. Je pense que le duel des idées et des concepts se joue aussi dans le monde matériel.

C'est à la part belliqueuse et terriblement pragmatique de mon esprit que je dois cela, tandis que c'est l'autre, plus apaisée, qui me dicte de ne pas m'y limiter. Ce raisonnement provient de ma course passée vers un but autrefois jugé impie que j'ai poursuivi et que je n'ai d'ailleurs pas atteint, envisageant alors la possibilité d'une équation qui me permettrait de gagner dans les deux cas, même si je me trompais. La possibilité de l'erreur est un plan de retraite que tout dirigeant pragmatique et réfléchi envisagerait.
Si quelqu'un lui offre une retraite apaisée en cas d'échec, il la prendra certainement. Je poursuivais un concept, mais si ce concept avait été à la place matériel, l'or, ou l'argent alors même un monstre sans cœur devrait écouter, pour peut que nous trouvions des arguments réalistes et convainquant pour dictés les règles d'un jeu qui dépasse tout les hommes, celui de la politique et des technologies.

Merci pour ton honnêteté mon khey

Toi aussi kheyou

Nous ne sommes pas le monde ; celui-ci était là avant nous et le sera après. Certes, ton point de vue est une médecine valable, mais ce n'est pas la mienne, couvrir un maux n'es pas le soigné.

Les puissants, comme les démunis, ont leurs rêves et leurs désirs, leurs peurs et leurs contraintes. Il faut savoir naviguer entre ceux-ci pour donner à chacun des raisons de choisir tes idées comme boussole. Et c'est là ma plus grave erreur : m'être emporté contre ceux qui, peut-être, étaient de loin les plus réceptifs à cela. Il faut permettre à ceux qui te suivent de subsister, sans quoi tu te retrouveras bientôt tout seul. Je pense que le duel des idées et des concepts se joue aussi dans le monde matériel.

C'est à la part belliqueuse et terriblement pragmatique de mon esprit que je dois cela, tandis que c'est l'autre, plus apaisée, qui me dicte de ne pas m'y limiter. Ce raisonnement provient de ma course passée vers un but autrefois jugé impie que j'ai poursuivi et que je n'ai d'ailleurs pas atteint, envisageant alors la possibilité d'une équation qui me permettrait de gagner dans les deux cas, même si je me trompais. La possibilité de l'erreur est un plan de retraite que tout dirigeant pragmatique et réfléchi envisagerait.
Si quelqu'un lui offre une retraite apaisée en cas d'échec, il la prendra certainement. Je poursuivais un concept, mais si ce concept avait été à la place matériel, l'or, ou l'argent alors même un monstre sans cœur devrait écouter, pour peut que nous trouvions des arguments réalistes et convainquant pour dictés les règles d'un jeu qui dépasse tout les hommes, celui de la politique et des technologies.