"Vous êtes déjà venu à la pension Almaroy ?"
AnalLangue
il y a 21 jours
Je vais me retaper la fic depuis le début voir si ya pas des trucs qu'aurait loupé
Lupin-le-3
il y a 21 jours
Ça shitpost beaucoup ici mais par contre je vois pas beaucoup de suite
Eruvan2
il y a 21 jours
Fic mortent
AnalLangue
il y a 21 jours
Fic mortent
Non
Nous SOMMES la FIC
OvidiusNaso
il y a 20 jours
Suite dans 10 minutes
supermario25
il y a 20 jours
On y sera! /
OvidiusNaso
il y a 20 jours
Je me demande ce qu'il y a là-haut. De toute manière, si c'est quelque chose qu'il ne faut pas voir, se perdre un premier soir est crédible.
Tout bien réfléchi, vous tournez les talons et repartez pour l'escalier.
CHAPITRE 6 : PREMIÈRE NUIT, PREMIER MATIN
Après avoir dépassé le second étage endormi, vous atteignez le sommet de l'escalier. Ce dernier aboutit sur un palier plus petit que les précédents, ne comportant que trois portes, sans fenêtres ni petit salon. Dans l'obscurité presque complète, vous devinez les contours de cet espace réduit. Vous avancez sur la pointe des pieds, guettant le moindre bruit parmi les ténèbres.
Mira est peut-être encore ici. Si je pouvais éviter de me la mettre à dos dès la première nuit…
Vous approchez d'une première porte et pressez la poignée. Elle résiste. Du bout des doigts, vous effleurez le bois et sentez le froid du métal d'une serrure.
Hummmm… je croyais qu'il n'y avait pas besoin de serrure dans la pension.
Vous tentez votre chance avec les deux autres portes, mais les trouvez closes. Toutes étaient munies d'une serrure.
Ne pouvant poursuivre votre exploration, vous rebroussez chemin. Résigné à l'idée de rejoindre votre lit, votre curiosité n'en reste pas moins échauffée.
Vous redescendez les marches, passez devant le second étage toujours endormi, puis approchez du vôtre. Mais alors que vous vous imaginez déjà sous vos draps, un grincement se fait entendre, suivi d'un bruit de pas.
Pris d'un élan de panique, vous accélérez le pas, allégeant vos mouvements, et passez devant votre étage sans vous arrêter. Vous descendez jusqu'au rez-de-chaussée et vous immobilisez dans l'obscurité, à l'affût du moindre écho d'un poursuivant.
Parvenu au rez-de-chaussé, vous vous immobilisez, à l'affût de l'écho d'un poursuivant.
Rien. Pas le moindre bruit.
C'était peut-être rien… ou bien je vais trouver Mira énervée m'attendant devant ma porte… pourquoi j'ai paniqué moi ? Le plan, c'était de dire que je m'étais perdu.
Vous expirez profondément et laissez vos yeux s'habituer à l'ambiance du salon plongé dans l'obscurité. Les lampes avaient été éteintes, et la nuit s'était insinuée par les fenêtres, guidée par un rayon de lune. Infatigable, souverain dans son royaume, il rebondissait sur le sol et venait caresser les meubles et les murs d'un éclat bleuté.
Sous sa protection, vous vous approchez du piano. Fasciné et légèrement appréhensif, vous effleurez les touches d'ivoire. De faibles notes s'échappent, frêles et fugaces.
Mais pas de papillons.
Votre regard se porte vers la porte-fenêtre. Dehors, la Nuit règne. Rien n'est noir, tout est bleu.
Vous tournez la poignée et l'ouvrez. Quelques pas suffisent à quitter la pension et à vous enfoncer dans l'herbe fraîche. L'atmosphère est douce, ni chaude ni froide, comme le sont ces nuits d'été qui sonnent le repos du monde après une journée ardente.
Il est si souvent préféré, parmi tous les phénomènes de l'immense espace qui nous entourent, la toute réjouissante lumière, avec ses rayons et ses ondes, ses couleurs et sa douce omniprésence dans le jour.
Mais ce soir, c'est vers la sainte, la mystérieuse Nuit que vous abaissez votre regard. La lumière, établie en d'autres lieux, aurait pû emporter avec elle tout bonheur, elle si glorieuse. Mais en marchant sous le manteau de la Nuit, son calme et sa splendeur immense, éveille au fond de votre cœur, une fraîcheur, légère, qui vous envahit un peu plus à chaque pas. La forêt, plus sombre, n'est pas même inquiétante. Elle borde seulement la pension, comme une créature qui veille.
Vous passez devant les rosiers. Déjà, la perle et l'ambre du grand habit bleu du soir s'accrochent à ses épines. D'ici quelques heures, quand la Nuit se retirera, des mains curieuses, envieuses, viendront dérober ces joyaux abandonnés par celle qui sait si bien se parer.
Ce soir, elle resplendit de tous ses apparats. Moulte pierreries dans son ciel accompagne la grande parure. C'est une erreur de croire la Nuit simple, sans artifice. Derrière sa douceur se cache l'orgueil d'une beauté qui se sait éclatante.
- Je ne suis pas sûr d'avoir déjà vu autant d'étoiles…
Votre regard reste suspendu à la voûte céleste. La pension elle-même semble pointer vers elle, un peu plus que durant le jour. Profitant de l'obscurité, elle semble s'être faite plus grande. Elle veut s'approcher. Elle veut toucher. La vieille bâtisse, malgré les années, ne s'était toujours pas lassée du spectacle.
Vous approchez des trois chênes situés à l'est de la pension. Leur frondaison plonge l'endroit dans une ombre plus dense, mais la lune parvient à faire briller une silhouette opaline, assise sur une des deux balançoires suspendues à une branche centenaire. Il est difficile de dire si la lumière la révèle ou si elle semble au contraire émaner d'elle.
- Vous ne dormez pas, mademoiselle Valetant ? Il est tard.
- Vous non plus, je vous ferai remarquer.
- C'est vrai. Puis-je m'asseoir ?
Elle acquiesce d'un discret hochement de tête. Vous prenez place sur la balançoire libre et contemplez ensemble l'empire de la Nuit sur cette vallée.
Un silence s'installe. Dense et paisible.
Douce ivresse nocturne. Les lourdes ailes de votre âme semblent se déployer. Une joie sombre se verse en elle, indicible, secrète comme la Nuit. Une joie par quoi tout un ciel se laisse pressentir.
Héléna ne répond rien.
- Je vous dérange peut-être ?
- Non.
Nouveau silence.
- Je peux vous poser une question ?
- Essayez toujours.
- Les papillons… ils étaient réels ?
- Pourquoi ne le seraient-ils pas ?
- Je… je ne sais pas.
- …
- Hum, à tout hasard, cela ne pose pas de problème à Mira les promenades tardives dans la pension ?
- Non, tant que c'est dans des endroits dédiés aux pensionnaires.
- Je vois… ils sont étonnants, ces trois enfants.
- Trois ?... Vous n'avez pas encore fini de découvrir la pension, alors.
- Il y en a d'autres ?
- Depuis que je suis ici, j'en ai rencontré pas moins de cinq. Mais je n'exclus pas qu'ils soient plus.
- Ah…
Héléna Valetant se remet sur ses jambes et fait quelques pas avant de se retourner vers vous.
Comprenant que vous aviez manqué pour elle une évidence, vous la rattrapez et joignez votre pas au sien. A deux, vous reprenez la promenade que vous aviez commencée seul. Vous longez les rangées de vignes face à la pension.
Au loin, le ciel nocturne dessine les silhouettes sombres des collines. Le village était invisible. Aucune lueur ne trahissait sa présence. La vallée nocturne l'avait engloutie. Elle avait fait disparaître cette tâche humaine.
Elle l'avait corrigée.
- Vous qui êtes ici depuis plus longtemps… combien y a-t-il de pensionnaires actuellement ?
- J'ai entendu que deux femmes étaient arrivées. Avec l'écrivain et vous, cela porte le total à neuf. Cinq au premier étage, quatre au second.
- Oh, alors je crois avoir au moins aperçu tout le monde… Mais attendez, cinq au premier ?
- Simon Veantes, l'écrivain, une des deux femmes, vous, moi.
- Ah oui, je n'avais pas réalisé que nous étions au même étage…
- Vous n'avez pas répondu à ma question tout à l'heure.
- Laquelle ?
- Pourquoi êtes-vous venu ici, monsieur Chancla ?
- Parce que… j'avais besoin de vacances.
Héléna ne parut pas convaincue.
- Besoin ?
- Disons que mon ancienne vie s'est finie. Beaucoup de choses ont changé dernièrement. J'avais un peu de temps avant de commencer mon nouveau travail, alors j'ai voulu en profiter pour voyager.
- C'est elle qui est partie ?
- …
- Pardonnez mon indiscrétion. C'était déplacé.
- … Oui, c'est elle.
OvidiusNaso
il y a 20 jours
Héléna s'arrête, contemple les vignes et finit par demander, sans vous regarder :
- Vous l'aimez encore ?
- Je ne sais pas. Les choses étaient devenues différentes. Je crois qu'on en voyait le bout.
- De l'amour ?
- On peut dire ça. Je pensais que les choses pouvaient encore être changées. Être inversées.
- Vous êtes une curieuse personne.
- Pourquoi ça ?
- Arrivez-vous à imaginer un million de choses ? Un million d'arbres, ou bien de rossignols, tiens, puisque j'en entends un.
- Un million… non, c'est trop grand. Je n'arrive pas à me représenter mentalement un million de choses. D'un point de vue sensible… ça touche déjà à l'infini pour l'homme.
- Voilà… l'infini. Et quand vous, vous avez commencé de l'aimer, cette femme, comment quantifierez vous votre amour pour elle ?
- Infini.
Les lèvres d'Héléna se pincèrent.
- Voilà. Lorsqu'on voit le bout de quelque chose, c'est qu'on arrive à se le représenter. C'est qu'il a rétréci. C'est qu'il n'est plus assez grand pour relever de l'infini. Tout à une limite. C'est seulement la petitesse qui nous permet de le voir. Si vous en voyiez vraiment le bout, alors c'est que, en vous aussi, il avait rétréci, l'amour.
Vous restez sans réaction face à la démonstration de cette femme que vous ne connaissiez pas. Durant tout ce temps, elle n'avait pas quitté des yeux les rangées de vignes. Elle se tenait droite, les mains jointes devant elle, la tête parfaitement alignée avec son dos. Elle ressemblait à une statue régnante, une ombre claire dans la Nuit. Tandis que vous la fixiez, le rossignol qu'elle avait entendu, ou peut-être un autre, vint se poser sur le piquet face à elle. Il n'était pas effrayé. Il continuait même de pousser ses petits chants.
- Vous êtes quelqu'un d'absolu.
- Peut-être.
- Le rossignol ne continue-t-il pas de chanter sa joie même à la nuit tombée ?
Elle baissa son regard sur l'oiseau.
- Vous vous trompez.
- Pourtant, les rossignols chantent.
- Non… ils pleurent.
- …
- Je m'excuse de vous avoir ramené à ces souvenirs douloureux. J'ai été une compagnie désagréable ce soir. Veuillez m'en excuser, je vous prie.
- Ce… Ce n'est rien.
- Je vais vous laisser. La nuit avance et je ne suis toujours pas couchée. C'était un plaisir de faire votre connaissance, monsieur Chancla.
- Le plaisir était pour moi, mademoiselle Valetant.
Elle s'éloigne, comme une ombre claire, à travers la Nuit. Comme une de ces étoiles froides qui parsèment le ciel, perdue sur terre.
C'est vous qui êtes une curieuse femme.
Vous restez encore quelques instants dehors, à profiter de l'atmosphère nocturne. Le rossignol devant vous continue de gringotter par brefs à-coups. Il sautille sur son piquet, criant son bonheur à qui veut l'entendre. Ou ses pleurs, vous ne savez plus.
Vous finissez par rentrer à la pension et, après avoir refermé la porte-fenêtre laissée ouverte, vous retrouvez votre étage. Mira ne vous y attendait pas. Vous soufflez.
Toutes les portes sont fermées. Aucune lumière ne filtre sous elles : vous êtes le dernier encore éveillé. Il était temps de mettre un terme à cet état de fait. La Nuit avait agité son gerbe de pavot au-dessus de votre tête durant votre promenade. Il fallait désormais céder à sa volonté.
_________
Il devait être dix heures, peut-être onze, lorsque l'enfant des bocaux entra dans votre chambre. Vous, vous étiez assis sur une de vos chaises, absorbé jusque-là par des bruits étranges depuis votre réveil. Des bruits qui résonnaient dans les murs, comme le transfert de pas lointains, qui ne venaient pourtant pas de l'étage supérieur. Vous étiez tout à vos bruits lorsqu'il fit irruption.
Vous l'aviez immédiatement reconnu. À son épaisse chevelure blonde, évidemment, mais aussi au gros bocal qu'il tenait dans ses mains. Il était entré sans frapper, mais eut tout de même l'esprit de vous saluer.
Il referma la porte derrière lui. Vous eûtes tout juste le temps de percevoir le bruit de ce qui semblait être une dispute au rez-de chaussée avant que l'ouvrant ne se referme. L'enfant s'approcha de votre lit encore défait, et saisit votre oreiller.
- Me dis pas que c'est toi qui fais le ménage ?
- Si.
- Mais…
- …
- Tu veux de l'aide ?
- Non, c'est bon. Ce sera rapide. C'est le petit ménage aujourd'hui.
- Ah… bon. Mais, tu ne devrais pas le faire quand je suis absent ?
- Il n'y en a pas pour long.
L'enfant dépose son bocal sur le lit et l'ouvre. Il soulève votre oreiller au-dessus de la gueule de verre et l'époussette comme s'il voulait en récupérer quelque chose, ou nourrir son bocal.
- Tu ne récoltes quand même pas mes cheveux ?
- Non. Vos rêves.
- Mes… quoi ?
- Bah oui. Les rêves, c'est comme les cheveux. On ne veut pas dormir dans ceux des autres.
- Mais… là, ce sont les miens.
- Parce que vous voudriez dormir dans tous vos cheveux de la semaine ?
- Non.
- C'est pour ça que je ramasse les rêves.
Vous l'observez épousseter vos songes de la nuit pour les faire tomber dans son bocal. Vous restez décontenancé. Lorsque Seno - vous apprendrez plus tard que c'est son prénom - considéra les avoir tous récupérés, il reposa le coussin, ferma son bocal, tira maladroitement la couette, puis tourna les talons. Le petit ménage était terminé.
- Et tu vas en faire quoi ?
- Qu'est-ce que ça peut vous faire ?
- Ils sont à moi, tout de même. Ce sont mes rêves.
- Parce que vous vous en souvenez de vos rêves de cette nuit ?
- Euh… non.
- Si vous ne m'aviez pas vu faire, vous ne les auriez pas réclamés.
Il haussa les épaules, comme pour marquer la réussite de sa démonstration, sortit de la chambre en serrant son bocal rempli de vos rêves contre lui. Vous restez sur votre chaise, toujours plus décontenancé.
- Mais qui a élevé ces gamins ? Sûrement un original.
Vous dressez subitement la tête. Les pas recommençaient. Ils vibraient dans les murs.
Vous vous mettez sur vos jambes et essayez de comprendre leur provenance. Au même moment, vous entendez une porte claquer dans l'étage. C'était celle de la chambre face à la vôtre. La numéro une. Vous sortez pour essayer de comprendre ce qu'il se passe. La porte était entrouverte, comme hier soir. Pas un bruit ne filtrait. Le seul son qui vous parvenait étaient ces pas qui vous rendaient fou. Ils couraient désormais. Vous les poursuivez mentalement pour essayer de comprendre leur provenance, tournez sur vous-même, jusqu'à vous retrouver devant votre propre porte. Là, à la fenêtre, avec les pas, passa une silhouette. Elle courait sur l'avancée de toit.
- Qu'est-ce que c'est que ça encore ?
L'écho d'une complainte en provenance du rez-de-chaussée se fit entendre. Vous repensez alors à la dispute entendue plus tôt. Vous tendez l'oreille, mais plus rien. Pas même les pas du coureur d'avancée de toit.
Qu'allez-vous faire ?
1) Partir à la poursuite de la personne qui s'amuse à courir sur les toits.
2) Descendre au rez-de chaussée pour savoir ce qu'il s'est passé.
3) Vous laissez de côté tout ça et allez toquer à la porte de la chambre numéro une.
supermario25
il y a 20 jours
Vote 3
C'est pas vraiment mon genre de faire des votes intrusifs comme ça, mais celui-là me tente
Très beau chapitre, en tout cas. Il me rappelle la douceur de mes propres balades nocturnes.
Edit : je vais d'ailleurs aller en faire une, merci pour l'inspiration, publius
OvidiusNaso
il y a 20 jours
Aegon_II
il y a 20 jours
Je vote 1 très bon chapitre d'ailleurs
AnalLangue
il y a 20 jours
Je vote 1 et oui très bon chapitre op
AnalLangue
il y a 20 jours
Seno = sueno en espagnol "le rêve"
Et le gamin Seno récolte les rêves
Mais ouais intéressant pour les 4 lettres
Si on prend les prénoms des enfants ça donne : Mira (regarde), Elio (le soleil), Seno (sueno le rêve ) qui rêve ?
Aegon_II
il y a 20 jours
Seno = sueno en espagnol "le rêve"
Et le gamin Seno récolte les rêves
Mais ouais intéressant pour les 4 lettres
Si on prend les prénoms des enfants ça donne : Mira (regarde), Elio (le soleil), Seno (sueno le rêve ) qui rêve ?
D'après google trad seno veut dire sein. Et dans ce chapitre on aborde le pourquoi Célestin est venu. Et Elio le premier gosse trouvé dans une chambre dit que Célestin doit trouver quelque chose. Et vu que Célestin est là a cause d'une histoire de femme peut etre est ce un message subliminal de l'auteur pour nous faire comprendre que ce qu'il faut chercher c'est des gros nibards ou peut etre pas mais dans le doute moi je dit on devrait mettre à l'épreuve cette théorie
Mr_Pichon
il y a 20 jours
A peine 50 pages et le temps de sauvegarde et d'export en PDF commence déjà à s'allonger
https://drive.google.com/file/d/1AVddoOlhFDleJlWOrUTf2LPpoHN3qHtc/view?usp=drive_link
Aegon_II
il y a 20 jours
A peine 50 pages et le temps de sauvegarde et d'export en PDF commence déjà à s'allonger
https://drive.google.com/file/d/1AVddoOlhFDleJlWOrUTf2LPpoHN3qHtc/view?usp=drive_link
AnalLangue
il y a 20 jours
Sinon on a eu une ellipse mais on a pas vu célestin aller se coucher
Est-ce qu'il a dormi ? Ou est-ce qu'on passe direct à 10h du mat comme si c'était un rêve et qu'on passe d'une scène à l'autre
Pour Helena la première fois qu'on la voit :
Un tissu flottant beige apparaît au détour de l'escalier, puis une chaussure de femme, recouverte par ce même tissu. Rejointe par une seconde, elles dévoilent bientôt la longue robe sur laquelle remontent vos yeux, à la recherche d'un visage. Ils le trouvent avec les derniers rayons du jour qui glissent sur cette peau comme sur un corps poli. Son teint olivâtre à l'ombre des marches devient blanc à la lumière, tel de l'ivoire animé.
L'op fait remarquer qu'elle descend tandis que le soleil se couche, les derniers rayons glissent sur elle et c'est la qu'elle fait son apparition, elle semble liée à la nuit
On retiendra aussi que la première chose qu'on voit d'elle dans le chapitre précédent c'est sa robe, ça donne un aspect immatériel et fantomatique renforcé par le fait qu'elle glisse le long de sans jamais la toucher, avec des mouvements très aériens mais sans réel contact
Ça renforce l'idée de l'immatériel je trouve, surtout que dans ce chapitre elle apparaît encore de la même façon : SpoilAfficherMasquermais la lune parvient à faire briller une silhouette opaline, assise sur une des deux balançoires suspendues à une branche centenaire. Il est difficile de dire si la lumière la révèle ou si elle semble au contraire émaner d'elle.
Du coup la première fois qu'on voit Helena au chapitre précédent c'était les derniers rayons du soleil qui la faisait apparaître, mais ici c'est bien la lumière de la lune qui la révèle et l'op va jusqu'à dire que la lumière pouvait très bien émaner d'elle en fait
C'est très intéressant ça rejoint l'idée de l'immatériel, de la transparence et ça lui donne un côté fantomatique ou illusoire encore une fois comme dans les chapitres d'avant
Elle est vraiment intéressante
AnalLangue
il y a 20 jours
Bon sinon évidemment c'est bizzare que ce soit fermé à clé la haut alors qu'il n'y a pas de serrure dans les autres pièces, mais d'ailleurs comme on l'avait déjà relevé ce dernier détail est hyper troublant aussi
Une pension comme sans serrure ou n'importe qui peut rentrer dans ta chambre c'est spécial
Les seuls endroits où on voit ça c'est les hp et hôpitaux en général
Mr_Pichon
il y a 20 jours
Bon sinon évidemment c'est bizzare que ce soit fermé à clé la haut alors qu'il n'y a pas de serrure dans les autres pièces, mais d'ailleurs comme on l'avait déjà relevé ce dernier détail est hyper troublant aussiUne pension comme sans serrure ou n'importe qui peut rentrer dans ta chambre c'est spécial
Les seuls endroits où on voit ça c'est les hp et hôpitaux en général
OvidiusNaso
il y a 20 jours
Sommaire de la fic Pension Almaroy
Chapitre 1 : Une pension
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267576975
Chapitre 2 : Entre vignes et forêt
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267584703
Chapitre 3 : Rencontre autour d'un cercueil
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267597983
Chapitre 4 : Le parfumeur
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267701751
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267701799
Chapitre 5 : Les papillons
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267843279
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267843367
Chapitre 6 : Première nuit, premier matin
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267990311
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1267990351
Suivi / Résultat du vote en cours grâce à CID :
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1fKkFpFm6L8Ie2nyc2FjfRPF6pD2K4ovO9oels_DM4ig/edit?gid=0#gid=0
Le Drive fait par PICHON :
https://drive.google.com/file/d/1AVddoOlhFDleJlWOrUTf2LPpoHN3qHtc/view?usp=drive_link
AnalLangue
il y a 20 jours
D'après google trad seno veut dire sein. Et dans ce chapitre on aborde le pourquoi Célestin est venu. Et Elio le premier gosse trouvé dans une chambre dit que Célestin doit trouver quelque chose. Et vu que Célestin est là a cause d'une histoire de femme peut etre est ce un message subliminal de l'auteur pour nous faire comprendre que ce qu'il faut chercher c'est des gros nibards ou peut etre pas mais dans le doute moi je dit on devrait mettre à l'épreuve cette théorie
Ouais Seno = sein, intérieur, entrailles, ventre
Ça peut lui convenir dans la mesure où il récolte l'intérieur (rêves) de Celestin
Après pour Seno/Sueno ça reste aussi dans le thème pour le gosse
Sinon Mira ça peut aussi référer à Mirages
Maya-La-Truie
il y a 21 jours