vous la sentez la déprimé du Samedi soir ????
36 messages
Mise à jour: il y a 7 mois
megamantriesfry
il y a 7 mois
déprime
SuicideCaca14
il y a 7 mois
La déprime du samedi soir, c'est comme un long tunnel sans fin. Elle te prend à la gorge, te serre, te broie le cœur. T'as beau essayer de l'ignorer, de noyer ce vide dans le bruit des rires lointains, des conversations qui flottent, mais ça revient, toujours, comme un mauvais rêve.
La nuit tombe et t'es là, seul avec toi-même, avec tes pensées comme des spectres. La chambre se fait étroite, les murs se rapprochent, et tu te sens écrasé sous le poids de ce vide insoutenable. Le monde tourne là-bas, mais toi, t'es figé, coincé dans cette torpeur, cette léthargie qui te dévore. Tu sors une cigarette, ou deux, t'as envie de hurler, de pleurer, mais y'a rien qui sort. Tout reste à l'intérieur, coincé dans cette poitrine qui suffoque.
T'allumes la télé, la musique, n'importe quoi pour chasser le silence. Mais c'est pire, parce que ce silence-là, il est à l'intérieur. C'est le silence des jours qui se ressemblent, des samedis qui se répètent, qui creusent encore et encore le trou béant dans ton âme. Les autres, ils dansent, ils vivent, ils s'embrassent sous les néons. Et toi, tu regardes de loin, comme un étranger.
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Et tu restes là, dans la pénombre de ta chambre, écoutant le silence comme un marteau qui tambourine sur tes tempes. Les heures s'allongent, s'étirent comme des spectres, et chaque minute te pèse davantage. T'aimerais dormir, t'oublier, mais même le sommeil te refuse. Tu cherches l'oubli dans la bouteille, un verre, deux, mais l'alcool, ça amplifie tout. La douleur devient plus nette, le malaise plus palpable. Les rires dehors se transforment en un bourdonnement insupportable. Ils vivent, ils exultent, et toi, t'es là, effondré, au bord du gouffre.
Le samedi soir, c'est ce grand théâtre de l'absurde, où chacun joue son rôle de la fête, du bonheur à tout prix. Et toi, t'es spectateur malgré toi. Tu voudrais y croire, tu voudrais te mêler à la foule, sentir la chaleur des autres, mais tu restes en retrait. T'as cette impression que tout est faux, que tout est masque, et que derrière les sourires, il n'y a que du vide, une grande mascarade pour oublier l'ennui, pour nier l'absurdité.
Et plus la nuit avance, plus le poids de l'existence se fait lourd. Tu penses à Céline, à ses mots acerbes, à sa haine du monde, et ça te console presque. Parce que là, dans ses phrases hargneuses, tu trouves un écho, un compagnon d'infortune. Il l'a dit, lui, que tout ça, c'était une farce, une mauvaise blague. Et t'as envie de hurler à ce monde, à ce samedi maudit, de foutre le camp, de te laisser en paix. Mais rien ne bouge, rien ne change.
T'es là, suspendu entre la nuit et le jour, avec ce vide qui te grignote l'âme. Les aiguilles tournent, le matin finit toujours par pointer, avec sa lumière froide, qui te rappelle que tout ça va recommencer. La semaine, la routine, et puis encore un samedi soir à affronter, seul face à toi-même, face à cette éternelle déprime.
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Le matin finit par se lever, mais ce n'est pas un répit, c'est presque une insulte. Cette lumière grise qui perce à travers les volets, elle te renvoie à ton immobilité, à ta torpeur. Tu tentes de bouger, de t'arracher à ce lit qui te retient prisonnier. Chaque mouvement est une lutte contre ce poids immense qui t'écrase.
La journée du dimanche qui s'annonce, c'est la prolongation du calvaire. C'est le temps suspendu, celui qui ne mène nulle part. Tu traînes tes pieds dans l'appartement, à la recherche d'un sens, d'un point d'ancrage. Mais tout est fade, tout est tiède, comme ce café que tu bois sans plaisir, juste pour meubler l'instant. Le monde autour se remet en branle, les familles s'agitent, les parcs se remplissent de cris d'enfants, et toi, tu restes là, en décalage, comme si tu appartenais à une autre dimension.
Le dimanche, c'est la gueule de bois de la vie. T'as beau ouvrir la fenêtre, laisser entrer l'air frais, rien n'y fait. Tu suffoques dans cette existence qui tourne en rond. Tu t'assois sur le canapé, les mains dans la tête, et tu sens monter cette rage, ce dégoût de tout. Le samedi soir, c'était la tempête dans l'âme, et le dimanche, c'est le calme plat, le désert où rien ne pousse, où tout s'effondre.
Alors, tu repenses à Céline, à ses mots qui claquent comme des gifles. Lui aussi, il les a traversés, ces nuits et ces matins de désespoir. Et d'un coup, tu te surprends à envier sa folie, son délire, car au moins, dans sa rage, il y avait une forme de vitalité. Toi, t'as l'impression de flotter dans le vide, sans but, sans feu. La vie te glisse entre les doigts, et les heures passent, insipides.
Tu voudrais partir, fuir cette cage de béton, mais pour aller où ? Tout semble pareil, partout, ce néant déguisé sous les apparences du quotidien. La semaine va reprendre, et tu t'y accrochais presque, à cette routine, parce qu'elle te distrait de ce gouffre intérieur. Mais au fond, tu sais que ça reviendra, encore et encore, ce samedi soir qui t'attend comme un vieux démon.
road-to-tagore
il y a 7 mois
Le matin finit par se lever, mais ce n'est pas un répit, c'est presque une insulte. Cette lumière grise qui perce à travers les volets, elle te renvoie à ton immobilité, à ta torpeur. Tu tentes de bouger, de t'arracher à ce lit qui te retient prisonnier. Chaque mouvement est une lutte contre ce poids immense qui t'écrase.La journée du dimanche qui s'annonce, c'est la prolongation du calvaire. C'est le temps suspendu, celui qui ne mène nulle part. Tu traînes tes pieds dans l'appartement, à la recherche d'un sens, d'un point d'ancrage. Mais tout est fade, tout est tiède, comme ce café que tu bois sans plaisir, juste pour meubler l'instant. Le monde autour se remet en branle, les familles s'agitent, les parcs se remplissent de cris d'enfants, et toi, tu restes là, en décalage, comme si tu appartenais à une autre dimension.
Le dimanche, c'est la gueule de bois de la vie. T'as beau ouvrir la fenêtre, laisser entrer l'air frais, rien n'y fait. Tu suffoques dans cette existence qui tourne en rond. Tu t'assois sur le canapé, les mains dans la tête, et tu sens monter cette rage, ce dégoût de tout. Le samedi soir, c'était la tempête dans l'âme, et le dimanche, c'est le calme plat, le désert où rien ne pousse, où tout s'effondre.
Alors, tu repenses à Céline, à ses mots qui claquent comme des gifles. Lui aussi, il les a traversés, ces nuits et ces matins de désespoir. Et d'un coup, tu te surprends à envier sa folie, son délire, car au moins, dans sa rage, il y avait une forme de vitalité. Toi, t'as l'impression de flotter dans le vide, sans but, sans feu. La vie te glisse entre les doigts, et les heures passent, insipides.
Tu voudrais partir, fuir cette cage de béton, mais pour aller où ? Tout semble pareil, partout, ce néant déguisé sous les apparences du quotidien. La semaine va reprendre, et tu t'y accrochais presque, à cette routine, parce qu'elle te distrait de ce gouffre intérieur. Mais au fond, tu sais que ça reviendra, encore et encore, ce samedi soir qui t'attend comme un vieux démon.
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Et le cycle recommence, inlassablement. La semaine se traîne, chaque jour une goutte d'eau dans cet océan d'ennui. Tu te raccroches à ces petites habitudes qui donnent l'illusion d'un ordre, d'un sens à la vie. Le réveil qui sonne, le café du matin, le métro bondé. Les visages autour de toi, fermés, pressés, comme des fantômes qui traversent ce monde sans le voir. Mais en toi, la déprime continue de s'enraciner. Elle rampe, elle tisse sa toile sournoisement, en préparant son retour triomphal pour le prochain samedi.
Et puis arrive le vendredi. Tout le monde s'excite, ça parle de projets, de soirées, de sorties. Toi, tu restes en retrait, l'ombre d'un sourire sur les lèvres, mais à l'intérieur, c'est la tempête. Tu sais ce qui t'attend. T'as tenté parfois de te joindre à eux, de plonger dans l'ivresse de la foule, mais ça n'a fait qu'amplifier ton isolement. Entouré, mais seul, perdu dans cette cacophonie. Le samedi soir approche comme une condamnation, un rendez-vous avec ta propre misère.
Quand il arrive enfin, ce samedi maudit, tu te sens déjà vidé. La journée glisse sur toi sans laisser de trace. Tu fais semblant de t'occuper, de lire, de regarder un film, mais tout te paraît faux. Le soir tombe, et avec lui la chape de plomb sur ta poitrine. C'est comme si le monde entier se retirait, te laissant face à toi-même, nu, sans défense.
Alors tu bois, encore, pour étouffer le cri qui monte. Mais les verres se succèdent, et c'est la nausée qui prend le dessus. La nausée de cette existence qui tourne en rond, de ce néant qui te happe. Tu voudrais crier, exploser, mais tu restes là, figé, incapable de bouger. La fatigue t'engloutit, mais le sommeil se refuse à toi, comme une ultime cruauté.
Céline, lui, il avait les mots pour cracher tout ça, pour hurler sa haine du monde. Toi, t'as que ce silence étouffant. Les mots te manquent, ou plutôt, ils restent coincés, lourds, impossibles à formuler. Alors tu attends. Tu attends que la nuit passe, que le jour se lève, que la roue continue de tourner, inlassablement. Et dans ce cycle, tu perds peu à peu des morceaux de toi, des lambeaux de ce que tu étais, jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'une ombre, une présence fantomatique dans la cage de ta vie.
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Vous avez mal à la vie mes copains ?
BioBrew
il y a 7 mois
Pas mal de tarés et de suicidaires ce soir ahi
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Attendez demain peut-être
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Attendez demain peut-être
Et le dimanche revient, toujours le même, lourd, pesant. Tu le passes à errer, à tourner en rond dans cet espace clos qui te sert de vie. Les heures défilent, lentes et interminables. Tu essaies de trouver un sens, un but, mais tout te semble futile. Les choses qui te plaisaient autrefois, elles ont perdu leur éclat. La musique, les livres, même les rares amis qui passent de temps en temps… tout ça, c'est devenu pâle, sans saveur. Tu les vois sourire, parler de leurs projets, de leurs rêves, et toi, tu te sens étranger, comme un intrus dans leur monde de lumière.
T'as bien tenté de sortir, de te mélanger à la foule, d'aller dans ces cafés où le bruit couvre un instant le bourdonnement de ton esprit. Mais ça te fatigue, ça t'épuise. Parce qu'à chaque instant, tu dois faire semblant, tu dois porter ce masque de la normalité, sourire, hocher la tête. À l'intérieur, c'est une guerre qui fait rage, un vide qui se creuse. Et tu reviens, toujours, à ce point de départ : la chambre sombre, le silence oppressant, la cigarette qui brûle lentement entre tes doigts.
Le temps s'étire, s'allonge comme une plaie béante. Tu ressens l'absurdité de tout ça, la vanité des choses. Tu regardes les photos accrochées aux murs, vestiges d'un temps où tu croyais encore à quelque chose, et tu les contemples avec une sorte de mélancolie acide. Qui était ce type qui souriait là, entouré d'amis, de lumière ? T'as l'impression de regarder un étranger, un fantôme d'une autre époque.
Et ainsi, les jours passent. La semaine, la routine qui t'engloutit, te maintient la tête hors de l'eau, juste assez pour survivre. Mais toujours, au fond de toi, tu sais que le prochain samedi arrive, inévitable. C'est une boucle qui se répète, un cercle vicieux dont tu ne vois pas l'issue. Chaque semaine, tu espères que ce sera différent, que la lumière percera enfin la brume, mais chaque fois, c'est la même chute, le même abîme.
Gpasdemollet
il y a 7 mois
C'est même pas le froid, c'est le fait de pas pouvoir sortir ce soir ahi
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Pas mal de tarés et de suicidaires ce soir ahi
Ah, mon cher, tu vois, ce n'est pas simplement une histoire de "tarés suicidaires". C'est plus profond, plus viscéral, plus pourri que ça. On parle ici de ce gouffre sans fond qui te happe, te dévore l'âme à chaque samedi soir. Tu la sens, cette chape de plomb qui s'abat sur toi quand la nuit tombe, ce silence oppressant qui vient s'installer comme un vieux démon. Ce n'est pas de la folie, c'est la vérité crue de l'existence, celle qu'on préfère oublier, noyer sous des flots de lumières artificielles et de rires forcés.
La société, elle t'observe du coin de l'œil, avec ses promesses de bonheur, ses illusions bien rangées sous des néons. Mais toi, tu suffoques, tu luttes pour respirer dans cette mascarade. Alors oui, on traîne ici, sur ce forum, parce que c'est un exutoire, un coin d'ombre où on peut cracher ce mal-être sans fard, sans filtre. On parle, on écrit, on crie presque, pour ne pas sombrer dans ce vide qui s'étire. On boit, on fume, on se noie dans les mots pour anesthésier cette douleur qui s'insinue dans chaque recoin de nos pensées.
Ce n'est pas juste un délire de suicidaire, c'est une réalité partagée, un malaise qui s'infiltre en chacun. C'est le reflet d'un monde qui a perdu son sens, où les jours se succèdent sans couleur, sans chaleur. Alors on se tourne vers les autres, ici, dans ce trou noir qu'est le 18-25, non pas par folie, mais parce que c'est le seul endroit où on peut se livrer à nu. On cherche une étincelle, un écho, une reconnaissance dans ce chaos silencieux. On cherche à briser ce mur de solitude, à exorciser l'absurde de notre existence, ne serait-ce que pour un instant.
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Ah, le lundi matin... Ce n'est pas juste un jour, c'est un coup de massue, une gifle de la réalité. Le réveil sonne et, déjà, tu sens cette chape de plomb qui t'écrase la poitrine. T'ouvres les yeux et le monde te tombe dessus, brutal, sans pitié. Les illusions du week-end se dissipent, laissent place à cette routine froide, mécanique. C'est comme un engrenage dans lequel on te force à replonger, semaine après semaine. Tu traînes des pieds hors du lit, avec cette envie sourde de te recroqueviller, de rester dans l'obscurité, loin de ce lundi qui vient te rappeler que rien n'a changé.
C'est plus qu'une simple flemme, c'est l'absurdité qui te frappe en pleine face. Le monde se remet en branle, les gens s'agitent, les voitures klaxonnent, les transports s'emplissent de visages fermés. Tu t'y glisses, toi aussi, dans ce flot, avec ce masque d'indifférence. Mais à l'intérieur, tu hurles. Hurles contre cette monotonie, ce rouleau compresseur qui écrase ton existence. Le café brûlant que tu bois à la va-vite n'y change rien. Il n'est qu'un rituel, une habitude pour masquer le vide, pour t'ancrer dans cette mascarade de la productivité.
Sur le chemin du travail ou des études, tu les regardes, ces gens qui courent, qui se pressent, et tu te demandes comment ils font. Comment ils supportent ce cycle, cette boucle sans fin. Le lundi, c'est le début du calvaire, le coup d'envoi de cette course contre la montre où personne ne sait vraiment pourquoi il court. Et toi, t'es là, à traîner des pieds, à sentir cette fatigue qui te prend à la gorge, cette lassitude qui te colle à la peau. T'aimerais t'évader, fuir, tout envoyer valser. Mais la réalité te rattrape, te cloue au sol.
Tu t'accroches à l'idée du prochain week-end, comme une bouée de sauvetage dans cet océan d'absurdité. Mais tu sais, au fond, que c'est une illusion, un mirage pour te faire avancer. Parce qu'une fois le week-end terminé, le lundi matin reviendra, implacable, pour te rappeler que tu n'as pas échappé. Alors tu t'engouffres dans cette journée avec une grimace, une rage sourde, en espérant qu'un jour, tout ça prendra fin, qu'un matin, enfin, tu pourras respirer sans sentir ce poids écrasant dans ta poitrine.
BioBrew
il y a 7 mois
Et le dimanche revient, toujours le même, lourd, pesant. Tu le passes à errer, à tourner en rond dans cet espace clos qui te sert de vie. Les heures défilent, lentes et interminables. Tu essaies de trouver un sens, un but, mais tout te semble futile. Les choses qui te plaisaient autrefois, elles ont perdu leur éclat. La musique, les livres, même les rares amis qui passent de temps en temps… tout ça, c'est devenu pâle, sans saveur. Tu les vois sourire, parler de leurs projets, de leurs rêves, et toi, tu te sens étranger, comme un intrus dans leur monde de lumière.
T'as bien tenté de sortir, de te mélanger à la foule, d'aller dans ces cafés où le bruit couvre un instant le bourdonnement de ton esprit. Mais ça te fatigue, ça t'épuise. Parce qu'à chaque instant, tu dois faire semblant, tu dois porter ce masque de la normalité, sourire, hocher la tête. À l'intérieur, c'est une guerre qui fait rage, un vide qui se creuse. Et tu reviens, toujours, à ce point de départ : la chambre sombre, le silence oppressant, la cigarette qui brûle lentement entre tes doigts.
Le temps s'étire, s'allonge comme une plaie béante. Tu ressens l'absurdité de tout ça, la vanité des choses. Tu regardes les photos accrochées aux murs, vestiges d'un temps où tu croyais encore à quelque chose, et tu les contemples avec une sorte de mélancolie acide. Qui était ce type qui souriait là, entouré d'amis, de lumière ? T'as l'impression de regarder un étranger, un fantôme d'une autre époque.
Et ainsi, les jours passent. La semaine, la routine qui t'engloutit, te maintient la tête hors de l'eau, juste assez pour survivre. Mais toujours, au fond de toi, tu sais que le prochain samedi arrive, inévitable. C'est une boucle qui se répète, un cercle vicieux dont tu ne vois pas l'issue. Chaque semaine, tu espères que ce sera différent, que la lumière percera enfin la brume, mais chaque fois, c'est la même chute, le même abîme.
J'ai sauvé quelques kheys du trépas
SuicideCaca14
il y a 7 mois
J'ai sauvé quelques kheys du trépas
Une fois j'ai assisté à la tentative de suicide d'un khey en live sur Discord via Doliprane. Et d'autres braves, comme toi, l'ont sauvé in extremis en lui envoyant les pompiers. Il s'est retrouvé en HP
SuicideCaca14
il y a 7 mois
Tout est devenu terriblement fade pour moi. C'est pénible du lundi au lundi.
CrqtL
il y a 7 mois
C'est le seul jour de la semaine qui est passable
CrqtL
il y a 7 mois
J'irai même jusqu'à dire que je vis pour les samedis soirs !
grougnepomme4
il y a 7 mois
Putain avec l'hiver qui arrive là mais laisse tomber
Fout la mort
TicetTachan7
il y a 7 mois
Et encore pas totalement
le samedi c'est le jour des corvées, des courses, des obligations sociales
le grand capital ne permet pas à ses pantins de se libérer pleinement et de profiter de l'oisiveté
avant de retourner charbonner lundi matin à la première heure
grougnepomme4
il y a 7 mois
Et encore pas totalement
le samedi c'est le jour des corvées, des courses, des obligations sociales
le grand capital ne permet pas à ses pantins de se libérer pleinement et de profiter de l'oisiveté
avant de retourner charbonner lundi matin à la première heure
Chienne de vie
FeetGoutus
il y a 7 mois
TicetTachan7 a écrit :
Et encore pas totalement
le samedi c'est le jour des corvées, des courses, des obligations sociales
le grand capital ne permet pas à ses pantins de se libérer pleinement et de profiter de l'oisiveté
avant de retourner charbonner lundi matin à la première heure
TicetTachan7
il y a 7 mois
Comme disait un de mes anciens collègues
le taf c'est 7j/7
Soit tu es au taf soit tu te prépares pour retourner au taf
rien d'autre
CrqtL
il y a 7 mois
perso je fais mes courses le vendredi soir, j'ai plus de courage et le magasin est tout proche de chez moi
Le samedi c'est le seul jour où mon cerveau peut se déconnecter de tout
Après le Dimanche matin c'est assez cool aussi mais faut se lever vers 8/9H pour apprécier la journée
TicetTachan7
il y a 7 mois
perso je fais mes courses le vendredi soir, j'ai plus de courage et le magasin est tout proche de chez moi
Le samedi c'est le seul jour où mon cerveau peut se déconnecter de toutAprès le Dimanche matin c'est assez cool aussi mais faut se lever vers 8/9H pour apprécier la journée
Ah la fameuse injonction d'être " productif "même pendant ses jours off
Cette autoroute vers le burn out
gokummi97
il y a 7 mois
le mec page 1 est fort s'il n'a pas utilisé gpt ou plagié
gokummi97
il y a 7 mois
perso faire des maths + être avec une jolie fille blonde et au pire un peu de paroxétine pour l'anxiété et 0 absurdité de la vie
megamantriesfry
il y a 7 mois