Je frapperai deux fois à la porte puis j'entrerai directement, puisqu'elle aura laissé la porte ouverte comme tu le lui aura suggéré. J'avancerai dans le salon pour la trouver assise sur le canapé, en petite jupe moulante. Je m'amuserai de sa tentative de me paraitre fière et sûre d'elle par le regard alors qu'elle n'arrive pas à réprimer un frisson de nervosité.

Aucune parole n'a encore été échangée. Je la fixe et elle détourne le regard en premier, assez rapidement. Je comprends immédiatement que, si dans votre couple elle joue le rôle de la dominante, ce soir elle ne pourra rien faire d'autre que se soumettre.

Je vois qu'elle ose un regard vers mon pantalon, probablement attiré par les prémices de mon érection. Je décide de faire durer un peu ce moment d'incertitude et d'appréhension de sa part, et je me contente pour le moment de rester à quelques pas d'elle. Je la déshabille du regard, fixe tour à tour son décolleté, le haut de ses cuisses et sa bouche entrouverte, et à chaque seconde qui passe mon envie d'en faire une chienne lascive s'accentue. Il en va de même pour mon excitation, et au moment où ma trique atteint sa pleine maturité, tendant le tissu de mon entrejambe depuis la braguette jusqu'au milieu de la cuisse, j'entends sa voix pour la première fois, un minuscule gémissement, tel le cri d'un petit animal craintif, mélange de surprise et, je le comprends déjà, d'adoration pour le membre qui la marquera bientôt à jamais