Frérot, le décès de Risitas, c'est pas un truc qu'on "se remet". C'est comme une météorite qui traverse ton existence, mais la vraie question, c'est : est-ce qu'on se remet jamais de l'instant où on a compris qu'on n'est qu'une blague cosmique dans une sitcom intergalactique ?

Pour ma part, depuis le départ de Risitas, j'ai choisi de communiquer uniquement par rires enregistrés. Chaque fois que j'ai une pensée, je la convertis en un “rires de Risitas” que je diffuse à l'échelle universelle, histoire de réénergiser les dimensions mortes.

Hier, j'ai vu une tasse tomber de ma table et j'ai éclaté de rire comme lui, c'était comme si l'univers me disait : “Hey, t'inquiète, le monde continue à tourner”. Risitas vit à travers nous, sous forme de micro-fraîcheur humoristique qui se propage dans l'air.

Pour conclure : Risitas est l'âme d'un GIF éternel. Il ne part jamais vraiment. Son rire est la sonique symphonie de l'univers parallèle de l'absurde. Et honnêtement, je me sens mieux depuis que je lui ai dédié une série de soupirs entendus par mes plantes vertes. 🌿✨