J'ai demandé à chatgpt de me mélanger les deux univers

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Kaamelott, Saison Inconnue : Les Chevaliers et la Chimie

Épisode 1 : La discussion sur les épées
[Scène 1 : Salle de la Table Ronde]

Arthur : Bon, on va s'attaquer au problème des épées. Parce que je vais pas vous mentir, ça devient une sacrée galère. Les épées en bronze, ça se tord, ça casse, ça tient pas le choc.

Léodagan : Et les épées en fer, elles coûtent un bras. On va pas commencer à armer tous les clampins avec ça.

Bohort : Peut-être qu'on pourrait envisager... une solution pacifique ?

Arthur : Bohort, arrêtez de dire des trucs inutiles. On parle de se battre, là. Pas de danser la gigue.

Perceval : Mais pourquoi pas des épées en bois ? Ça coûte rien, et ça fait pas mal.

Karadoc : Ouais, mais dans ce cas, c'est plus un combat, c'est une partie de cache-cache.

Léodagan : Ah bah c'est sûr qu'avec vos idées à la noix, on est pas prêts de foutre les Saxons dehors.

[Un bruit étrange surgit : une sorte de vrombissement suivi d'un éclair de lumière bleutée.]

Arthur : C'est quoi, ça encore ?! Merlin, vous avez encore foutu le bordel avec vos potions ?!

[Walter White et Skyler apparaissent soudain, éberlués.]

Walter : (fixe la table) Mais... Qu'est-ce que c'est que ça ?! Où est mon laboratoire ?

Skyler : (regardant autour, effarée) Walter... qu'est-ce que tu as encore fait ?

Arthur : (fronçant les sourcils) C'est qui ceux-là ? Des espions saxons ?

Walter : (visiblement perdu) Saxons ? Non, non. Attendez... (Il se pince le bras.) On est en plein délire.

Skyler : (en colère) C'est une de tes expériences, pas vrai ? Encore un de tes trucs dangereux !

Léodagan : Ils causent bizarrement. On les enferme direct ou on leur file une tarte d'abord ?

Arthur : Non mais attendez, on va pas taper tout ce qui bouge, non plus. (se tournant vers eux) Vous êtes qui ? Et vous venez d'où ?

Walter : (prenant un ton professoral) Je suis Walter White, professeur de chimie... enfin, ancien professeur. Et elle, c'est ma femme, Skyler.

Karadoc : C'est quoi, la chimie ?

Perceval : Ça se mange ?

Skyler : (désespérée) Non, ça se mange pas.

Walter : (tentant de garder son calme) Bon, écoutez, on va essayer de comprendre ce qui se passe. Mais d'abord... (se retournant) Où sommes-nous exactement ?

Arthur : Vous êtes à Kaamelott. Et moi, je suis Arthur, roi de Bretagne.

Skyler : (regard incrédule) Bretagne ? Mais c'est où, la Bretagne ?

Walter : (blanc, avant de soupirer) Bon sang, je crois qu'on n'est plus en 2009.

[Les chevaliers échangent des regards confus.]

Perceval : 2009, c'est quoi ? Un code secret ?

Arthur : Merlin ! Ramenez votre fraise ! On a deux zigotos à identifier !

[Merlin entre, son chapeau de travers.]

Merlin : J'arrive, j'arrive. Qu'est-ce qui se passe encore ?

Arthur : Ces deux-là viennent de se téléporter dans la salle.

Merlin : Ah, intéressant. Ça pourrait être une distorsion temporelle. Ou alors, un vortex dimensionnel...

Walter : (interrompt) Vous parlez de distorsion temporelle ? Vous êtes sérieux ?

Arthur : Oh, vous commencez à me taper sur le système, tous. On va les foutre au cachot jusqu'à ce qu'on y voie plus clair.

Skyler : (protestant) Attendez, vous pouvez pas faire ça !

Arthur : (soupirant) C'est parti pour être une longue journée...

[FIN DE L'ÉPISODE 1]

Épisode 2 : Comprendre le monde
[Scène 1 : Le cachot de Kaamelott]

[Walter et Skyler sont assis sur des bancs en bois, jetant des regards autour d'eux. Une torche vacillante éclaire la pièce.]

Skyler : (sarcastique) Génial. On fait un bond dans le temps, et voilà où on atterrit : un cachot médiéval. Bravo, Walter.

Walter : (irrité) Comment pouvais-je savoir que cette expérience provoquerait une téléportation ?

Skyler : Je sais pas, peut-être parce que t'es censé être un génie ?

[Perceval et Karadoc entrent avec des plateaux contenant du pain et des écuelles de soupe.]

Perceval : C'est pour vous. Mais bon, c'est pas très raffiné, hein.

Karadoc : On peut pas se permettre des folies pour des prisonniers.

Walter : (regardant la soupe avec méfiance) C'est quoi, ça ?

Karadoc : Bah, c'est de la soupe. Avec des... trucs dedans.

Skyler : (blessante) C'est ça, leur gastronomie ?

Karadoc : (offensé) Eh, doucement, hein. Si ça vous plaît pas, vous avez qu'à crever de faim.

Walter : (calmant le jeu) Non, non, c'est bon. Merci.

Perceval : (curieux) Alors comme ça, vous venez de 2009 ? C'est une autre région, ça ?

Walter : (hésitant) Disons que c'est... un autre temps.

Perceval : (ébloui) Genre, vous êtes des prophètes ?

Karadoc : (à voix basse) Non mais attends, ça pourrait être vrai, ça.

Skyler : (roule des yeux) On n'est pas des prophètes.

Walter : Écoutez, si vous nous laissez sortir d'ici, je pourrais... peut-être vous aider.

Perceval : Aider à quoi ?

Walter : (réfléchissant rapidement) À fabriquer des armes.

Karadoc : (enthousiaste) Des armes ?! Genre, des gros trucs qui explosent ?

Skyler : (abasourdie) Walter !

Walter : (calme) Ce serait juste pour gagner leur confiance, Skyler.

Skyler : Ah oui, et après ? Tu deviens le chimiste officiel du roi Arthur ?

Perceval : (à Karadoc) C'est peut-être pas une si mauvaise idée, finalement.

[Ils sortent, laissant Walter et Skyler seuls.]

[Scène 2 : La salle de la Table Ronde]

[Les chevaliers discutent avec animation.]

Léodagan : Moi, je dis qu'on les garde enfermés. On sait jamais ce qu'ils mijotent.

Arthur : (fatigué) Mais s'ils viennent vraiment du futur, peut-être qu'ils ont des trucs utiles à nous dire.

Bohort : (optimiste) Oui, ils pourraient nous parler des merveilles du monde à venir.

Léodagan : Ou nous raconter n'importe quoi pour qu'on les lâche.

[Merlin entre avec un vieux grimoire.]

Merlin : J'ai regardé dans mes textes. Les anomalies temporelles, c'est rare, mais pas impossible.

Léodagan : Et donc ?

Merlin : Et donc... je sais pas trop quoi faire.

Arthur : Super. Vous servez vraiment à rien.

[Perceval et Karadoc reviennent, visiblement excités.]

Perceval : Ils disent qu'ils peuvent nous aider à fabriquer des armes.

Arthur : (intrigué) Des armes ?

Karadoc : Ouais, des trucs super modernes, apparemment.

Léodagan : Ça commence à m'intéresser, là.

Arthur : Bon, allez me chercher ces deux-là. On va voir ce qu'ils ont dans le ventre.

[Scène 3 : Salle de la Table Ronde, un peu plus tard.]

[Walter et Skyler sont debout devant les chevaliers.]

Walter : Très bien. Si vous me fournissez les bons matériaux, je peux améliorer votre arsenal.

Arthur : Et vous voulez quoi en échange ?

Walter : De la nourriture, un endroit où travailler, et... qu'on nous traite correctement.

Léodagan : (sarcastique) Ça va, vous voulez pas non plus qu'on vous masse les pieds ?

Walter : (fixant Léodagan avec intensité) Faites-moi confiance. Ce que je peux créer dépassera tout ce que vous avez jamais vu.

Skyler : (agacée) Walter, tu t'emballes.

Arthur : (pensif) On va leur donner une chance. Mais si ça tourne mal, c'est vous, Léodagan, qui vous en occupez.

Léodagan : (maugréant) Toujours pour ma pomme...

[Walter esquisse un sourire discret.]

[FIN DE L'ÉPISODE 2]

Épisode 3 : Questions à travers le temps

[Scène 1 : La salle de la Table Ronde]

[Walter et Skyler sont assis devant la Table Ronde. Les chevaliers les entourent, les observant avec un mélange de méfiance et de curiosité. Arthur est en bout de table, l'air concentré.]

Arthur : Très bien, maintenant qu'on est là, vous allez nous expliquer. Vous venez de quelle époque exactement ?

Walter : 2009.

Perceval : Ah, mais ça fait un sacré bout de temps, ça.

Léodagan : (sarcastique) Merci, Perceval. On avait pas capté.

Skyler : (exaspérée) Oui, un sacré bout de temps, c'est le moins qu'on puisse dire.

Arthur : (hésitant) Et… en 2009, c'est quoi, votre monde ? Vous êtes en paix ?

Walter : (réfléchissant) Pas exactement. Il y a des guerres, des crises économiques...

Léodagan : Donc rien n'a changé, quoi.

Skyler : On a des avions, des ordinateurs, des voitures...

Perceval : Des quoi ?

Walter : Des machines qui volent, qui roulent, qui calculent.

Bohort : (enthousiaste) Des machines volantes ?! Mais ça doit être merveilleux !

Léodagan : (dubitatif) Et vous êtes sûrs que c'est pas des conneries ?

Walter : (agacé) Vous croyez qu'on mentirait sur un truc pareil ?

Arthur : Et… ces "voitures", elles servent à quoi ?

Skyler : À se déplacer. Elles vont plus vite que les chevaux.

Perceval : (bluffé) Plus vite que les chevaux ?! Mais alors, elles mangent quoi, ces voitures ?

Walter : (impatient) Elles consomment de l'essence.

Perceval : De l'essence ? C'est un truc qu'on cultive ?

Walter : Non, c'est... un dérivé du pétrole, un liquide extrait du sol.

Karadoc : (pensif) Un liquide qu'on boit ?

Skyler : (abasourdie) Non, on ne boit pas de l'essence !

Karadoc : (à Perceval) Ils ont des trucs qui vont plus vite que les chevaux mais qui boivent du liquide... Moi, ça me dépasse.

[Scène 2 : La Table Ronde, plus tard.]

Arthur : Bon, assez parlé de votre époque. Vous, vous comprenez quoi de la nôtre ?

Skyler : (ironique) Eh bien, déjà, vous n'avez pas d'électricité.

Perceval : Ah, encore un mot bizarre ! C'est quoi, ça, l'électricité ?

Walter : (patient) C'est une forme d'énergie qu'on utilise pour éclairer, chauffer, faire fonctionner nos machines...

Perceval : Ah, comme le feu ?

Walter : (hésitant) Oui, mais c'est beaucoup plus... contrôlé.

Léodagan : (moqueur) Et ça, vous l'avez inventé avant ou après les voitures ?

Walter : Avant.

Skyler : Enfin, pas nous, hein. On n'était pas là.

Arthur : (fronçant les sourcils) Et votre monde, il est dirigé par qui ?

Walter : (hésitant) Des gouvernements.

Skyler : Et dans notre pays, un président.

Arthur : (intrigué) Un président ? C'est quoi, un président ?

Walter : (réfléchit à une explication simple) C'est... un chef élu par le peuple.

Léodagan : (sarcastique) Élu par le peuple ? Et personne n'a encore eu l'idée de le buter ?

Skyler : (blasée) Si, ça arrive aussi.

Arthur : (secoue la tête) Bon, et pour vous, un roi, c'est quoi ?

Walter : (hésitant) C'est... quelqu'un qui dirige sans être élu, souvent par héritage familial.

Skyler : (piquante) Ça explique beaucoup de choses ici, d'ailleurs.

Arthur : (soupire) Oui, bah, on fait ce qu'on peut.

[Scène 3 : La même salle, encore plus tard.]

Léodagan : (à Walter) Vous avez des armes dans votre monde ?

Walter : Oui, des armes à feu.

Arthur : (curieux) Comment ça marche ?

Walter : (se lançant dans une explication) On utilise une explosion contrôlée pour propulser un projectile à grande vitesse.

Perceval : (ébloui) Une explosion ?! Mais vous avez pas peur que ça vous saute à la figure ?

Skyler : (se frottant les tempes) Ça arrive, mais c'est rare.

Karadoc : (chuchotant à Perceval) Moi, je resterais avec mon épée, hein. Ça explose pas, au moins.

Bohort : (inquiet) Mais... toutes ces machines, toutes ces explosions... Vous êtes heureux, au moins, dans votre monde ?

Walter : (silence, puis une réponse froide) Pas vraiment.

Skyler : (soupire) Pas autant qu'on pourrait l'être.

Arthur : (pensive) Eh bien, ça fait pas rêver, votre époque.

Léodagan : (moqueur) Si c'est pour finir avec des trucs qui explosent et des présidents assassinés, on va rester au Vème siècle, merci.

Walter : (à demi-mot) Vous ne savez pas ce que vous manquez.

Arthur : (soupire) Et vous, vous ne savez pas ce que vous gagnez à ne pas avoir tout ça.

[Fondu noir.]

[FIN DE L'ÉPISODE 3]