Avant d'aller plus loin, je dois informer le lecteur que les urinoirs de ces toilettes, d'où échappaient de forts relents durine et d'excréments, n'étaient pas séparés par des murets, ce qui laissait une vue dégagée sur les appareils des jeunes hommes en train d'uriner. D'autres part, il était possible, en collant son oreille au mur, d'entendre les bruits d'éclaboussures provenant des toilettes des filles et qui jouxtaient les toilettes des garçons. Ces deux éléments expliquaient la présence anormalement marquée de nombreux Célestins (une dizaine).
Je m'engouffrais en précipitation dans une cabine. Je fis sortis mon chibre et l'inserais dans l'intérieur cordon bleu encore chaud. Le fromage dégoulinant et le rose du jambon m'excitait encore plus. Après des vas-et-viens frénétiques et bruyants, je me vidai et remplis le cordon bleu - perdant du même temps ma virginité -
Après que les dernières sensations se soient dissipées, je constatait le cordon bleu maculé de cum. Je le mangeais avec satisfaction, en humant les odeurs d'urine et merde. Je ressortis alors de l'habitacle.
Un Célestin entra alors. Il ne me vis pas et sortis un cordon bleu de l'habitacle. Honteux, il rangea rapidement le cordon bleu dans sa poche. C'est alors qu'il vit des traces de cum et de fromage au niveau de mon pantalon. Son visage s'éclaira, il me fis un signe et je le suivis dans les toilettes.
Après avoir réitéré mon expérience, nous ressortîmes de la cabine. Il me guida jusqu'à l'urinoir où traînaient des bouts de pain. Il me demanda si c'était à moi, je luis répondis que non et il me dis qu'alors, nous n'avions qu'à nous servir.
Avant de ressortir, je n'oubliais pas de redéposer des bouts de pains avec celui que j'avais pris au RU.