Un peu de fap intellectuel que personne ne lira en cette chaude nuit d'été hihi

• Version alternative du Chat de Schrödinger

Préliminaires pour les néophytes :

Source : https://fr.wikipedia.org//wiki/Chat_de_Schr%C3%B6dinger

Imaginons que l'on ajoute un dispositif à cette boîte permettant de nourrir le chat sans que vous ne sachiez s'il est mort ou vivant. Continueriez-vous à le nourrir sachant qu'il y a une chance sur deux qu'il soit mort ?

L'expérience dure un an et demi dans une salle assez grande pour lui permettre de se déplacer.

Vous avez espoir et choisissez de le nourrir : Il y a une chance que cela lui permette de survivre, s'il est encore vivant...

Vous choisissez de ne pas le nourrir : Il y a une chance que vous soyez en train de gaspiller de la nourriture, car il est probable que le dispositif de gaz toxique se soit activé et que ce pauvre animal soit mort. Mais vous encourez également le risque de le tuer de faim.

• Quel lien avec le fait de croire en la vie après la mort ?

Mon raisonnement ne s'applique qu'au cas où l'au-delà inclut l'Enfer ET le Paradis.

Tout comme personne n'est certain de ce qui se passe dans cette salle, personne n'est certain de la présence d'un au-delà. Au final, aucune preuve explicite au XXIème siècle ne nous prouve réellement l'existence de celui-ci. Mais de la même façon, rien ne nous prouve sa non-existence. Il y a, pour moi, une corrélation entre les croyances de chacun et ce raisonnement. Il y a un bon nombre de théories permettant de réfuter ou confirmer et au final, c'est la vision de la vie de chacun qui l'emporte. Chacun gère ses paramètres d'hypothèse comme il veut, mais n'oublions pas, il ne s'agit que d'hypothèses puisque personne ne dispose de l'ensemble des paramètres/valeurs .

Par ailleurs, mon raisonnement ne traite aucunement des potentiels bienfaits ou méfaits, que peut apporter la religion. Je me concentre uniquement sur le fait de "croire" en un enfer et un paradis supposément éternels.

L'éthos est goliard, mais quid de ta prosopographie ?

Point d'emphase dans la synalèphe, n'ai-je ouï que tes circonlocutions ?

La verve synecdochique que tu dévoies me fait ribaudir

Quel colophon intronises-tu ? Je te prie de te sourdre immédiatement par ta catabase

Isocolie sur ton afférence, en volition pour

Intéressant

Mon cerveau est donc dans un état quantique puisque je peux pas savoir si il est mort ou vivant

Que nenni, cher interlocuteur, ma prosopographie est à l'image d'un théâtre en perpétuel mouvement.

Ta synalèphe semble se perdre dans un dédale de circonlocutions, pourtant je perçois l'emphase d'un discours caché.

Quant à ta verve synecdochique, elle m'amuse tout en suscitant un certain ribaudage.

Mon colophon est celui d'un érudit en quête de sens, une catabase vers les abysses du savoir.

Ton isocolie n'est point dénuée d'intérêt, et je suis en volition pour continuer ce dialogue.