le communisme :

12. Que deviendrait donc la société humaine fondée sur de tels principes matérialistes ? Elle serait une collectivité sans autre hiérarchie que celle du système économique. Elle aurait pour unique mission la production des biens par le travail collectif et pour unique fin la jouissance des biens terrestres dans un paradis où chacun " donnerait selon ses forces et recevrait selon ses besoins ". C'est à la collectivité que le communisme reconnaît le droit ou plutôt le pouvoir discrétionnaire d'assujettir les individus au joug du travail collectif, sans égard à leur bien-être personnel, même contre leur propre volonté, et quand il le faut, par la violence. L'ordre moral aussi bien que l'ordre juridique ne serait plus, dès lors, qu'une émanation du système économique en vigueur; il ne serait fondé que sur des valeurs terrestres, changeantes et caduques.

Bref, on prétend ouvrir une ère nouvelle, inaugurer une nouvelle civilisation résultant d'une évolution aveugle : " une humanité sans Dieu ! "

https://www.vatican.va/content/pius-xi/fr/encyclicals/documents/hf_p-xi_enc_19370319_divini-redemptoris.html

non tu confonds avec le changement de genre khey

Et sinon ça a des effets bénéfiques démontrés sur le bien être de la personne

J'ai souvenir d'une étude conduite sur 40 ans au Danemark, qui aboutissait à la conclusion que les personnes transgenres connaissaient un taux de suicide 4x plus élevé que les personnes cis.

Je ne sais pas si les transitions réduisent drastiquement les taux, je ne sais pas si c'est la meilleure solution, mais en tout cas les transitions restent au centre de questions de vie ou de mort, et réduire ça à des espèces de lubies ou de caprices ou de dégénérescences ridicules c'est une manière obscène de nier la souffrance de ces gens, quoiqu'on pense des méthodes.

Avant même le communisme, il y a eu la Révolution française, piloté par la bourgeoisie qui a orienté la population contre la noblesse dont elle convoitait les privilèges, puis, selon les principes voltairiens, contre le clergé, qui était, en dehors des évêques liés à la noblesse, des petits curés qui vivaient avec le peuple, leurs peines, leurs espérances.

La Révolution française, une fois que la rente a été mise en sûreté, alors il fallait à tout prix réprimer la masse des paysans avant qu'elle ne prenne conscience d'elle même.
On l'a donc sévèrement réprimée, car Voltaire, Danton et d'autres, le peuple ils l'aiment mué et docile, à produire leur rente, et il faut juste de quoi les nourrir mais pas plus, ne pas les éduquer au delà de ce qu'il faut, l'éducation c'est pour les honnêtes gens

C'est bien commode, avant on pouvait dire que l'autorité du roi était injuste, c'était un individu, mais après la révolution, c'est l'autorité de la Nation, du peuple tout entier qui fait loi, elle est donc parfaitement juste puisqu'elle émane du peuple, sauf qu'il reste à définir qui sont le peuple, et ça, c'étaient les bourgeois capables de payer assez d'impôts pour être éligibles.

Ça n'a pas tellement changé d'aujourd'hui, nos représentants ne représentent qu'eux et se gavent tandis que nous leur avons abandonné notre souveraineté pour une illusion qui ne nous rend même pas heureux.