Face à cette femme tatouée, l'homme ressent un paradoxe. D'un côté, il perçoit la profondeur du passif sexuel de la femme, sa vitrification émotionnelle, et cela le repousse. Il devine cette accumulation de relations et de ruptures, cette distance intérieure, et cela crée un mur invisible qui freine tout rapprochement affectif. Mais d'un autre côté, cette même distance éveille en lui un désir plus primaire, plus brut. C'est comme s'il retrouvait dans cette situation une dynamique ancienne, un écho des temps reculés où la compétition entre mâles pour accéder à une partenaire les poussait à des rapports plus intenses, plus violents, pour laisser leur marque.

"si on donne pas le sein à une femme elle finira tatouée"

"Une analyse très profonde"

Il y a un problème quelque part là non ?

G pa tout lu mais oui les filles tatoués sont des filles faciles
Il suffit de voir dans le porn elles sont quasi toutes tatoués surtout celles qui font les pires trucs

Tu ne contredis aucunement le pavé

C'est profond dans le sens où il part très loin, pour proposer une analyse psychologique/psychanalytique. Cela rend son propos subjectif, et on peut plus ou moins adhérer, mais il n'est pas à côté de la plaque

J'ai jamais compris la critique "les employés de bureau qui ont des tatouages ahah la honte". Tu dis pareil pour ceux qui mettent des jeans alors qu'ils sont pas des ouvriers américains ou ceux qui mettent des chinos alors qu'ils sont pas soldats ?

Un employé de bureau pourrait s'habiller en costume comme ça se faisait à l'époque

Merci OP, c'est un beau rappel : on peut bien maîtriser la langue française et être complètement con.