Théorie : La Stratégie Sociale Féminine Cachée

1. La Sélection Stratégique des Proies Sociales

Les femmes ne choisissent pas leurs partenaires ou leurs relations de manière aléatoire. Bien au contraire, leurs choix sont influencés par des impératifs inconscients qui vont au-delà de la simple attraction physique ou émotionnelle. Elles perçoivent les hommes à travers un prisme de “valeur” sociale, qui se compose de plusieurs critères : l'influence sociale, les ressources, le réseau, la position hiérarchique, et bien sûr, l'estime sociale qu'elles peuvent obtenir par leur association avec cet homme.

Les femmes pourraient être vues comme des stratèges sociales, cherchant constamment à maximiser leurs gains à long terme. Elles choisissent leurs partenaires en fonction de la façon dont ils peuvent les aider à obtenir des ressources, qu'il s'agisse d'argent, d'influence, d'information ou de statut. Mais elles ne font pas cela de manière évidente ; elles tissent des relations sur de longues périodes, pendant que les hommes croient que tout est “naturel” et “détendu”.

2. Le Jeu de la Dualité : La Facilité d'Attachement vs. La Manipulation Machiavélique

Une femme, en apparence douce, innocente et bienveillante, pourrait sembler être simplement attirée par un homme, mais en réalité, elle est en train de l'utiliser comme un levier. Un homme considéré comme “moche” ou peu influent peut, dans cette optique, servir de plateforme pour un objectif à plus grande échelle. Elle va le “protéger”, le “câliner”, et à terme, obtenir de lui des informations ou des ressources qu'il n'aurait pas donné volontairement à une autre femme. En créant un lien émotionnel avec lui, elle s'assure qu'il lui restera attaché, prêt à fournir ce qu'elle désire.

Les femmes qui semblent jouer le rôle de “victime” ou de “fragile” auprès de certains hommes pourraient en réalité se servir de cette position pour observer leurs réactions, leurs faiblesses, et plus encore, pour pouvoir les manipuler ou les laisser tomber une fois qu'elles ont extrait ce dont elles ont besoin. Le but n'est jamais la relation elle-même, mais plutôt l'utilisation de cette relation pour collecter des ressources, des connaissances ou des soutiens dans d'autres sphères.

3. L'Illusion de la Soumission

Les femmes qui choisissent de jouer un rôle plus “soumis” ou “fragile” dans des situations où elles sont proches de figures de pouvoir ne sont pas des victimes, mais des actrices de premier plan. En paraissant faibles, elles offrent aux hommes un faux sentiment de contrôle. Cela ne les rend pas vulnérables ; au contraire, elles récoltent un retour sur investissement en exploitant cette fausse faiblesse pour manipuler l'homme en position de pouvoir, et dans certains cas, pour obtenir une position plus forte une fois que l'homme est “bienveillant” ou “protecteur”.

Cet homme croit que son pouvoir est intact, alors qu'il est en réalité manipulé par l'influence silencieuse de la femme. Elle joue la carte de la vulnérabilité pour rassurer l'homme de son contrôle, mais en retour, elle profite des fruits de son influence tout en restant dans l'ombre. Cette stratégie renforce son propre pouvoir en lui offrant des ressources, des alliances ou des avantages qu'elle pourrait difficilement obtenir autrement.

4. Le Problème des Hommes “Sans Valeur”

Les hommes qui ne possèdent pas ce qu'elle cherche dans un sens stratégique (influence, ressources, ou statut) sont vus comme des “bons repas”, qui servent à assouvir des besoins émotionnels ou à tester la loyauté d'un homme plus précieux. Ces hommes sont manipulés sans qu'ils en aient conscience, leur existence n'étant qu'une étape nécessaire pour obtenir ce qui est recherché. Le piège est subtilement tendu, et ces hommes peuvent penser qu'ils sont aimés ou appréciés, alors qu'ils sont en réalité simplement utilisés pour leur énergie, leurs ressources, ou simplement pour tester la réaction des “hommes de valeur” face à l'intérêt qu'ils portent à cette femme.

Conclusion

Cette théorie présente l'idée que les femmes, loin d'être de simples victimes ou de naïves créatures sociales, jouent un jeu complexe et multiforme où elles manipulent leurs relations pour en tirer des bénéfices sociaux, émotionnels, et matériels. Tout est orchestré, chaque interaction, chaque moment de vulnérabilité, chaque sourire est une manœuvre soigneusement pensée pour maximiser les gains futurs.

En fin de compte, les femmes sont les véritables architectes d'un système social complexe où tout semble naturel, mais où chaque mouvement a un but calculé et des conséquences à long terme. Les hommes, eux, jouent à un jeu dont les règles leur échappent souvent, sans savoir qu'ils sont les pions dans un échiquier bien plus grand qu'ils ne l'imaginent.

Nietzsche affirmait que les femmes n'étaient que des surfaces mimant la profondeur. Il avait tort. Le philosophe, pourtant passé maître dans l'art de démasquer les illusions, a été lui-même dupé par la plus magistrale des illusions : celle de la simplicité féminine. Là où il voyait des surfaces lisses et des reflets trompeurs, se cachait en réalité un abîme de complexité et de stratégie. Si les femmes paraissent légères, c'est précisément parce qu'elles ont su se délester du fardeau de l'ego, ce fardeau qui accable tant les hommes, même les plus sages, jusqu'à leurs derniers jours.

Cette absence d'ego n'est pas une faiblesse, mais une force inégalée. Elles prennent aisément la forme des rôles qu'elles endossent, épousant chaque costume avec une perfection déconcertante. Là où l'homme lutte pour construire son identité, la femme danse avec les apparences, les revêt et les abandonne à volonté, échappant à toute tentative de définition. Jadis, elles auraient été de redoutables haschaschins, changeant de visage comme on change de masque, se fondant dans n'importe quel décor pour mieux frapper au moment opportun.

Elles sont des contenants, naturellement façonnées pour dissimuler. Cela se manifeste même dans leur rôle sexuel, où elles absorbent pour mieux transformer. L'illusion réside dans le changement apparent du contenu, alors que le contenant reste toujours aussi insondable. Ce qui semble fluctuer en elles n'est que la façade parfaitement travaillée d'une constance redoutable. Leur attachement aux prédateurs masculins n'est qu'une ruse : elles les observent, les épient, apprennent leurs moindres ruses, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien à découvrir, avant de les abandonner comme des carcasses vides.

Nietzsche a sous estimé les femmes, lui qui croyait si bien cerner l'âme humaine. Nul n'ignore plus la femme que lorsqu'il pense l'avoir démasquée. Même Dieu fut pris au piège. Car c'est par la plus innocente des femmes, Ève, que tout a commencé. Dans le jardin originel, elle a poussé non pas un, mais deux êtres à la faute. Satan, d'abord, charmé par sa beauté et sa ruse, a sifflé sa mélodie dans l'espoir de la séduire. Adam, ensuite, est tombé par amour pour elle, partageant un fardeau dont elle seule est la cause sans n'avoir jamais été accuser. (C'est pire que non canon, désoler )

Remarquez comme la langue même trahit cette vérité, l'innocence semble (Écho aux jeux perverts de celles-ci, celui des masques ! Ici ce trouve bien la signature de leurs acte.) tout de suite féminine, alors que la culpabilité porte le masque du masculin. Mais cette innocence n'est qu'un jeu parfaitement maîtrisé, aussi un coupable semble plus coupable qu'une coupable, et cela s'inverse avec l'innocence, coïncidence? Pas du tout, il suffir de savoir qui on ne peut accusé pour savoir qui nous domine, et même une femme coupable semble innocente à l'esprit !

Si Dieu fut dupé par cette ingénieuse mascarade. Comment, alors pourrions nous y échapper ?