Bordel les kheys, les toilettes des stations services c'est quelque chose

Une soudaine envie d'aller à la selle qui surviens, au bout d'une heure 45 de conduite sur l'autoroute A7

Se rendre compte que l'on viens de passer la station escence Esso de l'Aire de repos de Mornas Village de 500 mètres

Et que l'on doit encore attendre les sacro saints autres 19 virgule 5 kilomètres pour arriver à la prochaine station de rechargement des moteurs thermiques

Les premières goutes de sueur qui commencent à couler le long de notre front, étant brulé, à la fois à cause de la chaleur procuré par le soleil tapant à travers le par brise, chauffant notre visage
Mais aussi réchauffé par les 35 degrés et par le veston que l'on à mis ce matin car il faisait frais et qu'on ne peux pas enlever et qui devient de plus en plus inconfortable

Ouvrir la fenêtre et sentir l'air chaud, et l'assourdissant bruit d'hélicoptère que fait l'air en rentrant dans l'habitacle du bolide

Enfin s'arrêter dans la station SHELL de l'Aire de détente de Montélimar Est avec hâte, après avoir appuyé sur l'accélarateur faisant trembler la Peugeot 206 HDI, et ses 235milles kilomètres au compteur, que vous êtes en train de conduire

Chercher une place pour garrer le véhicule de locomotion piloté par nos mains moite par cette chaleur écrasante, que l'on est en train de manoeuvré et enfin voir une place bientot se libérer

Attendre que Magalie finisse de guider la manoeuvre de Jordan au volant du dacia duster hybride 7 places, pour sortir de ce bénit stationnement

Commencer à notre tour la manoeuvre de parkage en marche arrière dans les traits prévue à cette effet, et réussir du premier coup comme un chef

Enlever son veston et enfiller un short au plus vite pour avoir moins chaud

Sortir avec précipitation de la voiture, fermer la porte avec la clef dans la serrure car le bouton ne marche plus et se diriger vers les porte coulissante du SHOP

Entrer dans le magasin de la station avec la climatisation à fond provoquant un choc termique qui vous rendera malade plus tard

Se diriger pressement vers les waters de la dite station et passer fièrement devant toute les dames qui n'aurons pour certaines même pas franchis le seuil de l'entrée des cabinet quand votre affaire sera finie

Voir que personne n'est présent dans le local mais que dans la seule toilette disponible, la porte est fermé à clef

Voir un gros gaillard poilu, cheveux blanc, en marcel, transpirant, sortir du cabinet aussi large que lui

Entrer et constater le massacre ayant eu lieu avant vous, de la merde sur le rebord de la chiotte, du papier pennant à partir dans le fond et une trace de bousse sur la faïence du carelage du mur

Entrer en apnée et commencer à s'assoir et pousser le plus fort possible pour sortir de cet enfer fécale au plus vite

Prendre une petite bouffé d'air car n'en pouvant plus de ne pas respirer et avoir une envie de vomir montante que vous retener pour ne pas augmenter les douleurs

Une larme coule le long de votre joue, rejoignant l'eau émise par votre abondante transpiration amplifiée par l'effort fournie

Se torcher le cul au plus vite avec le peu de papier à disposition puis sortir de cette boite maudite

Faire la queue pour se laver les mains difficilement dans le seul évier partagé manquant de pression

Peiner à se sécher les mains avec le peu de papier restant et le sèche mains qui n'a aucune puissance de soufflage

Ne pas pouvoir s'abrever ou remplir sa gourde dans ce susnomé evier car le peu d'eau coulante est rendu chaude par la multinationnale petrolière dans laquel on est venue se soulager

Aller payer la bouteille d'eau 3€ TTC les 50cl pour s'hydrater convenablement puis craquer pour la formule comprenant un sandwich triangle une viennoiseries et un coca, le tous pour 12.99€ TTC la formule

Sortir dehors se reprenant la chaleur étouffante maintenant monté à 33 degrés et s'asseoir sur le bois chaud du banc de la table complètement défoncé pour manger ce repas

Repartir vers son moyen de locomotion et reprendre la route des vacances en repartant dubitatif de cette expérience

Je vous le dis, c'est vraiment quelque chose