chaîne de rire pour les artistes à cause de l'IA
38 messages
Mise à jour: il y a 23 jours
Parapounet
il y a 23 jours
RegimeDuCampIVG
il y a 23 jours
Il était une fois Thomas, un graphiste talentueux, mais un peu trop sûr de lui. Il se moquait des logiciels automatisés et riait des premiers outils d'IA générative : **“Jamais une machine ne remplacera ma créativité !”** disait-il en bombant le torse.
Puis vint l'IA, plus rapide, plus efficace, et surtout… bien moins chère. Ses clients habituels commencèrent à disparaître un par un. **“Désolé Thomas, j'ai trouvé un outil qui fait le même boulot en 10 secondes…”**
Il baissa ses tarifs. Puis encore. Puis encore. Jusqu'au jour où même des boulots à 5€ sur des plateformes freelances lui passèrent sous le nez.
Un matin, en errant dans la rue avec ses dernières économies, il vit une affiche publicitaire magnifique. Son style, sa patte… **mais signée par une IA.** L'ironie était trop cruelle.
Aujourd'hui, on raconte que Thomas dessine encore… sur le trottoir, avec un morceau de craie, en espérant qu'un client nostalgique passe par là.
yoko-yoko
il y a 23 jours
Depuis 2 jours il chialent c'est un délice
AYAAAAAAAAAAAAAA
Cosmosed
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
mérité pour ces personnalités vaniteuses
développe
RegimeDuCampIVG
il y a 23 jours
Alice était graphiste freelance depuis dix ans. Talentueuse, passionnée, elle avait bâti sa réputation sur des designs uniques et un style qui mêlait modernité et nostalgie. Ses clients venaient du monde entier, attirés par son coup de crayon précis et sa capacité à raconter des histoires à travers ses visuels.
Mais un jour, tout changea.
L'intelligence artificielle, autrefois un simple outil, devint son plus grand rival. Des plateformes capables de générer des logos, des affiches et des visuels en quelques secondes firent leur apparition. Les clients, toujours à la recherche de solutions rapides et économiques, délaissèrent Alice. Les commandes s'effondrèrent. Ses économies fondirent comme neige au soleil. En quelques mois, elle passa d'une artiste respectée à une créatrice en détresse.
Elle passa des jours à pleurer, à hanter les forums où d'autres artistes se lamentaient du même sort. Elle dénonçait l'IA à longueur de journée, insultant ceux qui l'utilisaient et suppliant ses anciens clients de revenir. Mais personne n'avait besoin d'elle. L'IA produisait plus vite, moins cher, et même les grandes agences réduisaient leurs effectifs.
Bientôt, Alice ne put plus payer son loyer. Son compte en banque était vide, et même les petits boulots précaires se faisaient rares. Elle se retrouva à errer dans les rues, cherchant un moyen de survivre. Un soir, alors qu'elle comptait ses derniers centimes, un homme l'aborda. "Tu es jolie," lui dit-elil. "Si tu es prête à faire ce qu'il faut, je peux t'aider."
Au début, Alice refusa. Mais la faim et le froid eurent raison de sa fierté. Elle commença par de petits arrangements, des rencontres discrètes pour de l'argent facile. Mais très vite, elle fut entraînée dans une spirale plus sombre. Les clients se faisaient exigeants, certains violents. Elle n'était plus une artiste, juste un corps à vendre pour quelques billets froissés.
Un soir, en fixant son reflet dans une vitre sale, elle éclata en sanglots. L'IA lui avait tout pris. Son talent, son métier, sa dignité. Plus personne ne voulait de ses dessins. Plus personne ne voulait d'elle autrement que comme un objet. Elle était devenue un fantôme, errant dans un monde où la créativité humaine n'avait plus sa place.
Alice n'était plus graphiste. Elle n'était plus rien.
yoko-yoko
il y a 23 jours
CousinismeAigu
il y a 23 jours
Je ne suis pas artiste, cependant je ne vois pas ce qu'il y a de drôle.
Ok c'est marrant de voir des vaniteux qui se rassurent en vain mais pour l'art en lui-même c'est terriblement triste. C'est la mort de l'art.
À part des déchets nolife sans âmes, y'a vraiment des gens qui apprécient l'art des IA à long terme ?
RegimeLarcher
il y a 23 jours
Pour les illustrateurs tu veux dire?
Il faut savoir differencier les artistes qui eux s'en foutent des ia, des réalisateurs de commandes employés par un commanditaire
Prob3corps2
il y a 23 jours
Broyte
il y a 23 jours
Il était une fois Thomas, un graphiste talentueux, mais un peu trop sûr de lui. Il se moquait des logiciels automatisés et riait des premiers outils d'IA générative : **“Jamais une machine ne remplacera ma créativité !”** disait-il en bombant le torse.Puis vint l'IA, plus rapide, plus efficace, et surtout… bien moins chère. Ses clients habituels commencèrent à disparaître un par un. **“Désolé Thomas, j'ai trouvé un outil qui fait le même boulot en 10 secondes…”**
Il baissa ses tarifs. Puis encore. Puis encore. Jusqu'au jour où même des boulots à 5€ sur des plateformes freelances lui passèrent sous le nez.
Un matin, en errant dans la rue avec ses dernières économies, il vit une affiche publicitaire magnifique. Son style, sa patte… **mais signée par une IA.** L'ironie était trop cruelle.
Aujourd'hui, on raconte que Thomas dessine encore… sur le trottoir, avec un morceau de craie, en espérant qu'un client nostalgique passe par là.
EdgardBernay
il y a 23 jours
cobaltbleu
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
Tu peux aussi faire une chaîne de rire pour les traducteurs
AYAAAAAAAAAAAAAAAAA
yoko-yoko
il y a 23 jours
Ça m'inquiète pour Aline Dessine ça.
ok marvel
yoko-yoko
il y a 23 jours
MiniRuger6
il y a 23 jours
RegimeDuCampIVG a écrit :
Alice était graphiste freelance depuis dix ans. Talentueuse, passionnée, elle avait bâti sa réputation sur des designs uniques et un style qui mêlait modernité et nostalgie. Ses clients venaient du monde entier, attirés par son coup de crayon précis et sa capacité à raconter des histoires à travers ses visuels.Mais un jour, tout changea.
L'intelligence artificielle, autrefois un simple outil, devint son plus grand rival. Des plateformes capables de générer des logos, des affiches et des visuels en quelques secondes firent leur apparition. Les clients, toujours à la recherche de solutions rapides et économiques, délaissèrent Alice. Les commandes s'effondrèrent. Ses économies fondirent comme neige au soleil. En quelques mois, elle passa d'une artiste respectée à une créatrice en détresse.
Elle passa des jours à pleurer, à hanter les forums où d'autres artistes se lamentaient du même sort. Elle dénonçait l'IA à longueur de journée, insultant ceux qui l'utilisaient et suppliant ses anciens clients de revenir. Mais personne n'avait besoin d'elle. L'IA produisait plus vite, moins cher, et même les grandes agences réduisaient leurs effectifs.
Bientôt, Alice ne put plus payer son loyer. Son compte en banque était vide, et même les petits boulots précaires se faisaient rares. Elle se retrouva à errer dans les rues, cherchant un moyen de survivre. Un soir, alors qu'elle comptait ses derniers centimes, un homme l'aborda. "Tu es jolie," lui dit-il. "Si tu es prête à faire ce qu'il faut, je peux t'aider."
Au début, Alice refusa. Mais la faim et le froid eurent raison de sa fierté. Elle commença par de petits arrangements, des rencontres discrètes pour de l'argent facile. Mais très vite, elle fut entraînée dans une spirale plus sombre. Les clients se faisaient exigeants, certains violents. Elle n'était plus une artiste, juste un corps à vendre pour quelques billets froissés.
Un soir, en fixant son reflet dans une vitre sale, elle éclata en sanglots. L'IA lui avait tout pris. Son talent, son métier, sa dignité. Plus personne ne voulait de ses dessins. Plus personne ne voulait d'elle autrement que comme un objet. Elle était devenue un fantôme, errant dans un monde où la créativité humaine n'avait plus sa place.
Alice n'était plus graphiste. Elle n'était plus rien.
yoko-yoko
il y a 23 jours
kheyetteFlore
il y a 23 jours
Ça m'inquiète pour Aline Dessine ça.
Le gros boule bien appétissant d'Aline n'a rien à craindre
yoko-yoko
il y a 23 jours
Le gros boule bien appétissant d'Aline n'a rien à craindre
OSEF son hygiène est catastrophique
CrudeSenoj
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
nearless3
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
Ils sont ridicule à chialer, de toute façon rien n'arrêtera l'IA qu'ils continuent de chialer.
xaura
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
HumainAntiVax
il y a 23 jours
[OwO]
il y a 23 jours
Pour les illustrateurs tu veux dire?Il faut savoir differencier les artistes qui eux s'en foutent des ia, des réalisateurs de commandes employés par un commanditaire
yoko-yoko
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours
yoko-yoko
il y a 23 jours