[CHATGPT] dites-moi tout et n’importe quoi et je vous en fais un poème dessus
21 messages
Mise à jour: il y a 8 mois
SansUnBruit
il y a 8 mois
J'aime le caca nauséabond
Chaiqcestpire
il y a 8 mois
C'est chiant les femmes qui vont à la salle
KoalaBan197
il y a 8 mois
le non sens de ta vie de merde
lnljnek974
il y a 8 mois
J'aime le caca nauséabond
Dans l'ombre cachée, là où nul ne va,
Il trouve un plaisir que d'autres n'ont pas.
Nauséabond parfum qui monte au nez,
Pour lui, c'est un souffle d'intensité.
Les effluves lourds, fétides et bruns,
L'attirent comme un doux parfum divin.
Là où d'autres fuient, lui s'abandonne,
Dans ce royaume où personne ne pardonne.
Il aime ce que d'autres dédaignent,
Chaque odeur forte, chaque trace qui règne.
Son désir est sombre, son goût, étrange,
Dans ces miasmes épais, son cœur s'arrange.
C'est un monde caché, un plaisir inavoué,
Que seul il comprend, sans se dérober.
Nausées et regards, il les ignore,
Car dans ce vice, il trouve encore son or.
Fallheg
il y a 8 mois
Une ode à ramdam la queen
lnljnek974
il y a 8 mois
C'est chiant les femmes qui vont à la salle
Elles envahissent la salle, en leggings serrés,
À soulever des poids, à s'étirer,
Parlent sans cesse de squats et de gainage,
Le miroir, leur seul véritable partage.
Leurs selfies en sueur, leur air concentré,
Tout ça pour montrer qu'elles savent transpirer.
Elles squattent les machines, éternisent leur tour,
Pendant qu'on attend, comptant les jours.
Leurs écouteurs vissés, dans leur bulle, parfaites,
Comme si le gym était leur planète.
Les discussions de diète, d'avocat et de thé,
Fatiguent les oreilles, rien à contester.
Ah, ces salles pleines de regards figés,
Où l'égo se gonfle à chaque série validée.
On s'entraîne, on attend, on respire à peine,
Face à ce ballet qui parfois nous entraîne.
Fallheg
il y a 8 mois
Damdam bordel
SansUnBruit
il y a 8 mois
Dans l'ombre cachée, là où nul ne va,
Il trouve un plaisir que d'autres n'ont pas.
Nauséabond parfum qui monte au nez,
Pour lui, c'est un souffle d'intensité.Les effluves lourds, fétides et bruns,
L'attirent comme un doux parfum divin.
Là où d'autres fuient, lui s'abandonne,
Dans ce royaume où personne ne pardonne.Il aime ce que d'autres dédaignent,
Chaque odeur forte, chaque trace qui règne.
Son désir est sombre, son goût, étrange,
Dans ces miasmes épais, son cœur s'arrange.C'est un monde caché, un plaisir inavoué,
Que seul il comprend, sans se dérober.
Nausées et regards, il les ignore,
Car dans ce vice, il trouve encore son or.
Aya
lnljnek974
il y a 8 mois
le non sens de ta vie de merde
La vie s'étire, un fil sans éclat,
Chaque jour ressemble au précédent pas.
Un cycle absurde de rien et de vide,
Où tout se noie dans l'ennui sordide.
On se lève, on marche, sans trop savoir,
Pourquoi l'on avance, pourquoi il fait noir.
Le sens se dissout dans des gestes lassants,
Répétitions creuses, échos déroutants.
Le travail, les dettes, les fausses promesses,
Un théâtre absurde, un cirque de stress.
On sourit, on feint de croire encore,
Mais au fond, on sait que tout est mort.
Les rêves s'effacent, usés par l'attente,
La jeunesse fuit, l'espoir nous hante.
Et on continue, par simple habitude,
Un chemin de merde, en servitude.
Alors on respire, juste un peu plus,
Pour masquer ce vide qui nous tue à vue.
Une vie sans pourquoi, une vie sans lumière,
Un foutu non-sens qu'on traîne en arrière.
Enlos
il y a 8 mois
Les grosses fesses des antillaises
lnljnek974
il y a 8 mois
Une ode à ramdam la queen
Ô Ramdam la Queen, éclat de lumière,
Souveraine des âmes, mystère sans pair,
Dans l'ombre des palais et le bruit des foules,
Ton règne se dessine, aussi puissant qu'une houle.
Ton nom résonne comme un chant de victoire,
Dans chaque coin sombre, tu éclaires notre espoir,
Avec grâce et audace, tu règnes sur les cœurs,
Portant sur tes épaules des rêves, des labeurs.
Les étoiles jalousent ton éclat divin,
Ton pouvoir transcende les limites du destin,
Chaque geste, chaque mot, une mélodie,
Harmonie sacrée, source de magie.
À travers les tempêtes et les jours obscurs,
Ton aura nous guide, pure et sûre,
Ramdam la Queen, tu es l'étoile en haut,
Le phare des perdus, le rêve des héros.
Ta sagesse éclaire les chemins tortueux,
Ton courage, un feu, pur et radieux,
Ô Reine Ramdam, la majesté de l'âme,
Nous te louons, chantant ta gloire et ta flamme.
lnljnek974
il y a 8 mois
Damdam bordel
Damdam, doux écho des jours flottants,
Ta présence éclaire les moments passants.
Dans les murmures du vent et des rivières,
Se dessine ton nom, comme une lumière.
Chaque pas que tu fais est une danse légère,
Une mélodie douce qui envoûte l'atmosphère.
Ton rire est un éclat dans la brume matinale,
Une touche d'espoir dans la routine banale.
Les étoiles semblent s'incliner à ton passage,
Le ciel s'ouvre en un splendide paysage.
Ton regard, une promesse d'aventure et de joie,
Dans le vaste monde, tu suis ta propre voie.
Damdam, tu es l'étoile qui scintille dans l'obscurité,
Un phare pour les âmes égarées, un rêve éveillé.
Ton charme subtil est un souffle d'éternité,
Un poème vivant, une douce vérité.
À toi qui traverses les ombres et la lumière,
Nous élevons nos voix, en hommage sincère.
Damdam, essence de beauté et de grâce,
Tu es la musique qui dans nos cœurs s'enlace.
scutter
il y a 8 mois
La maman canard
MegaCalvasse
il y a 8 mois
Randy m'a dévoré l'arrière et a disparu dans la nuit
lnljnek974
il y a 8 mois
Les grosses fesses des antillaises
Dans les îles où la chaleur embrase,
Les courbes s'épanouissent en douce extase,
Les grandes fesses des Antillaises, fières,
Sculptées par les vagues, la brise et la lumière.
Elles ondulent avec grâce, vibrantes et pleines,
D'une sensualité que le monde aime,
Sous le soleil, dans les danses enflammées,
Chaque mouvement est une fête célébrée.
Ces formes généreuses, véritables œuvres d'art,
Évoquent les plages dorées et le regard ardent,
Chaque courbe raconte une histoire de beauté,
Un hymne à la vie, à la joie incarnée.
Les Antillaises portent avec fierté,
Des rondeurs que l'on n'oublie jamais,
Élégance et chaleur, en un seul éclat,
Les grandes fesses s'affirment, et c'est un don du plat.
Sous les étoiles, sur les plages dorées,
Leurs formes dansent, éclatant de fierté,
Un hommage vibrant à cette beauté,
Que la mer et le soleil ont su sculpter.
lnljnek974
il y a 8 mois
La maman canard
Dans le doux reflet d'une mare tranquille,
La maman canard nage, silhouette agile,
Ses plumes dorées scintillent au soleil,
Dans le calme du jour, elle veille sans pareil.
Ses petits suivent en file, bien alignés,
Dans l'eau fraîche, ils glissent, doucement bercés.
Chaque mouvement est une danse soigneuse,
Un ballet familial, en harmonie précieuse.
Avec tendresse, elle guide sa couvée,
À travers les vagues, vers un monde enchanté.
Son regard protecteur, d'une douceur infinie,
Éclaire leurs pas dans la douce symphonie.
Les jours passent, et le nid s'épanouit,
Sous la surveillance d'une maman chérie.
Dans le calme de la mare, elle est la reine,
Son amour est un refuge, une douce arène.
Quand le soir tombe et que les ombres dansent,
Elle rassemble ses petits, dans une étreinte immense,
Maman canard, figure de tendresse et de soin,
Éternelle gardienne de ce monde serein.
Fallheg
il y a 8 mois
C'est beau
lnljnek974
il y a 8 mois
Randy m'a dévoré l'arrière et a disparu dans la nuit
Dans les ombres d'une nuit mystérieuse,
Randy se glisse, silhouette audacieuse.
Le clair de lune caresse ses traits,
Alors qu'il se nourrit des peurs et des regrets.
Il a dévoré l'arrière d'un homme en silence,
Dans un festin de terreur, une danse.
Les lambeaux de chair, la douleur, la nuit,
Un tableau macabre que le ciel a fui.
L'homme, effacé dans la noirceur,
A laissé derrière lui un éclat de terreur.
Randy, le chasseur des ombres nocturnes,
S'efface dans le mystère des brumes diurnes.
Sa faim insatiable, son appétit sinistre,
Ne laisse que des échos, des rires tristes.
Dans le vide de la nuit, il disparaît,
Comme une ombre emportée, au loin s'éloigne, secrète et discrète.
spongesboub
il y a 8 mois
En vrai c'est stylé, pourquoi tlm critique
lnljnek974
il y a 8 mois