[FIC] "Bienvenue dans la police criminelle monsieur Célestin Chancla"
GentarouHongou
il y a 6 mois
J'ai explosé au pseudo gandalf l'aigri
Je vote 1
PubliusOvidius
il y a 6 mois
Si je reste ainsi, les dix prochaines minutes vont être vraiment très gênantes.
Votre décision est prise : vous vous levez et prenez sa direction.
CHAPITRE 6 : UNE NOUVELLE ÉQUIPE
- Excusez-moi, je peux vous aider ?
- Non merci, c'est gentil. J'ai rendez-vous avec le commissaire. Je suis le capitaine Alice Barrios, je viens d'être mutée ici.
- Ah, vous êtes le nouveau capitaine ! Je suis Céle... le major Célestin Chancla. Je serai sous vos ordres.
Elle vous tend sa main que vous vous empressez de lui serrer.
- Enchantée, major Chancla. Tu es très jeune pour ce poste ! Qu'est-ce que tu es, un petit génie qui a surperformé à l'école de police ?
- Euh... Pas tout à fait. Je laisserai le commissaire vous expliquer.
Comme pour accompagner vos paroles, le commissaire et le lieutenant Gréville firent leur entrée au même moment.
- Enchanté, Capitaine. Je suis content que vous ayez pu rejoindre la brigade plus tôt. Je vous prie de passer dans mon bureau avec le lieutenant pour un briefing. Major Chancla ?
- Oui, Commissaire ?
- Préparez un rapide topo pour vos officiers sur votre samedi à Barthod et vous sur l'enquête.
- Tout de suite, Commissaire.
Alors que vous retournez au bureau dont vous avez pris possession, le commissaire reste interdit en vous fixant.
- Un problème ?
- Non, rien. C'est juste que... il fait plus vrai que les vrais.
- Je ne suis pas sûre de comprendre.
- Ça viendra, croyez-moi.
Vous patientez bien vingt minutes que la réunion se termine. L'autre brigade étant sur le terrain, vous n'avez pas pu en profiter pour faire leur connaissance. Le son de la poignée du bureau finit par se faire entendre. Gréville et Barrios vous lancent tous deux un regard sec. Ils prennent votre direction, s'emparent chacun d'une chaise et s'assoient à votre bureau.
- Bien, Célestin. Fais-nous ton rapport.
La phrase du capitaine était dénuée de chaleur. Vous ressentiez tout le poids de sa défiance envers vous. Gréville gardait le silence et affichait un visage fermé, presque hautain. Vous rassemblez vos esprits et leur racontez tout : l'appel de la radio, la première visite dans la forêt du Boucicaut, votre visite chez la mère de la victime, puis votre retour macabre à la forêt. À la fin de votre rapport, vos deux officiers restent silencieux. Gréville finit par rompre le silence.
- On ne pourra rien en tirer. C'est trop dangereux et il nous ralentira.
Barrios continuait de vous dévisager sans un mot. La situation vous oppressait et vous ne trouviez rien à dire pour vous défendre. Vous restiez muet, entièrement livré à eux et à leurs jugements. Le capitaine prit enfin la parole.
- Est-ce que tu penses que tu nous ralentiras, Célestin ?
- C'est une évidence.
- Lieutenant Gréville !
- ...
- Réponds à ma question, Célestin.
- Je...
Votre regard bondit d'un visage à l'autre. Lucien Grévillle vous méprise, c'est une évidence. Dans le regard d'Alice Barrios, vous y lisez la totale absence de confiance en vos capacités, mais aussi d'autres choses qui n'ont rien à voir avec vous et que vous ne parvenez pas à déchiffrer. Son regard est complexe, rempli des idées qui la préoccupent. Elle en cache leurs sens sans pouvoir occulter leurs existences. Vous vous surprenez vous-même à voir tout cela en elle. D'une certaine manière, elle a le regard de Barthod.
- Je... Je ne sais pas.
- ... D'accord.
Elle se lève de sa chaise et pose ses mains sur ses hanches.
- Gréville, tu te rends sur la scène de crime et tu repasses après la scientifique. Tu t'organises avec la police locale pour faire interroger tous les habitants du quartier. Passe-moi un coup de fil si tu as quelque chose d'intéressant.
- Ce sera fait, Capitaine.
- Chancla, tu viens avec moi.
Vous prenez tous les trois la direction du parking. Gréville prend la première voiture, tandis que vous montez avec Barrios dans la seconde. Après avoir chacun respectivement fermé vos portières, le capitaine se tourne vers vous.
- Écoute-moi bien, Célestin. Nous ignorons pour combien de temps nous allons nous retrouver dans cette situation, alors il y a plusieurs choses que je veux que tu fasses. Je voudrais en priorité que tu suives un programme physique pour te remettre en forme. Ensuite, j'aimerais que tu ailles quand tu le peux au stand de tir du bâtiment.
Vos yeux s'écarquillent.
- Ne pense pas que je vais te mettre une arme dans les mains tout de suite, mais nous recherchons quelqu'un de très dangereux, et si tu venais à pouvoir utiliser une arme, ce serait une bonne chose. En attendant, je veux que tu prennes ceci.
Elle vous tend ce que vous reconnaissez comme une sorte de taser.
- C'est un pistolet à impulsion électrique. Si tu te retrouves dans une situation qui l'exige, et seulement à cette condition, tu enfonces la charge au bout du pistolet et tu tires pour immobiliser la personne. Vise en priorité le tronc. C'est compris ?
- Compris.
- ... Tout à l'heure, quand je t'ai demandé si tu nous ralentirais, tu m'as répondu la vérité. Sois toujours sincère, même si cela te met en défaut, et tu auras toujours ma confiance personnelle.
- C'est d'accord... merci.
- Je n'en reste pas moins consciente que tu es totalement inapte pour ce travail.
- ...
Le capitaine plonge sa main dans sa poche et en sort un insigne.
- J'ai une dernière chose pour toi. Le commissaire a demandé un bref compte rendu écrit sur toi au lieutenant Barthod sur l'après-midi que vous aviez passé ensemble.
- Ah...
- Il a dit que tu étais le plus mauvais policier qu'il avait jamais vu...
- Comment lui donner tort ?
- Mais que tu avais des aptitudes naturelles pour devenir un bon enquêteur et que tu apprenais vite.
- ...
Elle vous tend l'insigne.
- Il a aussi dit que si quelqu'un devait récupérer son insigne, il voulait que ce soit toi, et pas, je cite, “un connard dont il ignorait encore l'existence”. C'était un homme charmant, de toute évidence.
- Il avait son caractère.
Vous prenez dans vos mains la plaque de métal que vous observez avec fascination, mais aussi une certaine fierté.
- Et maintenant Major, vous connaissez mieux le dossier que moi pour l'instant. Que pensez-vous que nous devrions faire ?
1) Retourner à la maison des parents de la victime pour interroger les parents et mieux fouiller ses affaires.
2) Se rendre à son université pour y interroger ses amis.
3) Partir interroger les parents d'Émilie pour savoir si la victime et son ami ont effectivement passé la nuit chez eux.
PubliusOvidius
il y a 6 mois
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272198881
OuestLarry
il y a 6 mois
Vote 2, Émilie devrait être là-bas et nous pourrons en apprendre plus sur la victime en parlant à ses amis
Wistiqwam
il y a 6 mois
Je commence seulement la lecture mais ça me plaît bien cette petite fic.
"Zero Tout Detective"
il y a 6 mois
Le nouveau lieutenant me fait déjà regretter Barthod. C'était un con mais on apprenait vite grâce à lui. En plus j'aime déjà pas trop Pattinson de base
Le choix est difficile mais je vote 3 pour l'instant. C'est une manière d'avoir la version des parents avant d'aller interroger l'amie avec qui elle est censée avoir passé la soirée. On la coincera si elle nous ment
Dhauentu
il y a 6 mois
Le nouveau lieutenant me fait déjà regretter Barthod. C'était un con mais on apprenait vite grâce à lui. En plus j'aime déjà pas trop Pattinson de base
Le choix est difficile mais je vote 3 pour l'instant. C'est une manière d'avoir la version des parents avant d'aller interroger l'amie avec qui elle est censée avoir passé la soirée. On la coincera si elle nous ment
il y a 6 mois
Je vote 2
La scientifiques donnera une estimation sur l'heure de la mort ce qui permettra de déduire si elle a bien passé la nuit chez ça pote.
Markovsanskov
il y a 6 mois
Je vote 2
La scientifiques donnera une estimation sur l'heure de la mort ce qui permettra de déduire si elle a bien passé la nuit chez ça pote.
Selucide
il y a 6 mois
Vote 1
Il faut rapidement fouiller la chambre. Des preuves pourraient disparaître si on attend trop pour y aller
ZeRaptorGuevara
il y a 6 mois
Je vote 2
PubliusOvidius
il y a 6 mois
Décompte :
1 vote pour la 1
3 votes pour la 2
2 votes pour la 3
PubliusOvidius
il y a 6 mois
- Euh... Interroger ses amis et ses professeurs me semblerait être une bonne idée, surtout qu'elle est censée avoir passé la nuit de sa disparition chez une camarade.
- Très bien. Je vais te donner quelques conseils pour interroger avec efficacité. Tu t'occuperas des professeurs tandis que j'irai voir cette Émilie ainsi que les camarades proches de la victime. Les interroger sera plus délicat, je me les garde... Ah, et tu peux me tutoyer, tant que tu continues de respecter mon grade.
CHAPITRE 7 : EN RANGS SERRÉS
- Bonjour monsieur Rahim. J'aurai, comme à vos collègues, quelques questions à vous poser.
- Oui, bien sûr. C'est très triste ce qui lui est arrivé… Je suis le dernier à passer ?
- Tout à fait.
- Je crains de ne faire que répéter ce que vous ont déjà dit mes collègues.
- J'aimerais quand même que vous me parliez de Léa Vacquerie.
- Eh bien… C'était une élève agréable et studieuse, même si elle avait quelques difficultés dans ma matière… Pour tout vous dire, nous sommes dans une fac de médecine réputée, je pourrais dire ça de tous mes élèves. Il y a toujours quelques jeunes plus dissipés, mais jamais vraiment de brebis galeuses.
- Vous êtes prof de français, c'est ça ?
- C'est exact.
- Semblait-elle changée ou différente dernièrement ?
- Hum... Je n'ai rien remarqué de particulier. J'avais cru comprendre qu'elle avait rompu il y a quelques semaines avec son copain, un autre élève, mais cela ne s'était pas ressenti sur son travail.
- Vous connaissez le nom de son ex-petit ami ?
- Il s'agit d'Arthur Marchand. Ils sont dans la même promotion.
- Vous avez une idée de la raison de leur séparation ?
- Parce que vous pensez que je me tiens au courant de ces choses ?
- Non, pardon. Ce n'était pas une bonne question.
- Il faudra demander à monsieur Marchand ou à leurs amis, même si je doute qu'ils vous le disent.
- Pourquoi ?
- Je ne suis là que depuis cette année, mais j'ai bien remarqué que dans cette fac existait un cercle clos, incluant certains professeurs, mais aussi des élèves. Une question d'origine sociale et peut-être plus. Il est difficile de l'extérieur de savoir ce qu'il s'y passe, et la police fait partie de cet extérieur.
- Qu'appelez-vous un “cercle clos”?
- L'image est assez parlante, qu'y a-t-il à expliquer ?
- Et... mademoiselle Vacquerie faisait-elle partie de ce cercle ?
- Oui, ainsi que tous ses amis. Le principe d'un cercle social.
- Je vois. Et aucun problème ou tension récente dans son groupe d'amis ? Avait-elle des ennemis ?
- Non et non. Léa était appréciée.
- Je vous remercie pour vos réponses.
- Puis-je vous poser une question à mon tour : cela fait longtemps que vous êtes dans la police ?
- Non... pas vraiment. Pourquoi ?
- Là où j'ai grandi, la police faisait partie du paysage. Vous, vous n'êtes pas policier.
- ... Merci d'avoir répondu à mes questions.
Vous refermez votre grand cahier et quittez le professeur pour retrouver le capitaine Barrios. Elle vous attendait, pensive, assise sur un banc dans le couloir vide, les yeux perdus dans des affiches.
- J'ai fini avec les professeurs. Qu'est-ce que ç'a donné de ton côté ?
- Émilie m'a confirmé que Léa devait bien dormir chez elle, mais m'a assuré qu'elle ne l'a pas fait. Avec quelques amis, ils ont fait un petit truc en début de soirée chez les parents d'un de leurs camarades, mais au moment de partir, Léa a voulu rester un peu plus. Émilie est donc rentrée, pensant que Léa la rejoindrait plus tard, ce qui n'est jamais arrivé...
- On sait qui était à la soirée ?
- Que des amis de la fac que je viens tous d'interroger. Tout le monde l'a bien vu à la soirée, mais personne n'était vraiment avec et tous disent avoir seulement remarqué à un moment qu'elle n'était plus là.
- Et toi, t'en penses quoi ?
- J'en pense que tout le monde cache quelque chose.
- Le nouveau prof de français m'a prévenu que cela se passerait comme ça. Il a parlé d'un cercle social d'élèves dont rien ne sortait. Léa en faisait partie.
- Il y a toujours des groupes d'élèves dans les écoles, des groupes d'amis, tout le monde en fait partie d'un.
- ...
- Je ne crois pas que cela nous aide.
- Comme il me l'a dit, il insinuait que c'était différent, très hermétique, et que cela concernait des élèves, mais aussi des professeurs.
- Hum... et des autres professeurs, qu'est-ce que tu as tiré ?
- Pas grand-chose, que c'était une bonne élève que tous appréciaient. Seulement qu'elle venait de rompre avec son copain.
- Oui, j'ai su. Arthur Marchand. Je l'ai interrogé, mais rien de concluant. Il a dit ne plus avoir beaucoup de contact avec la victime depuis. Un garçon avec une haute estime de lui-même, qui croit que la réussite de son père lui permet de fouler un peu plus fermement la terre que les autres.
- C'est une bonne image.
- Attends de voir sa manière de marcher : ce n'était pas une image.
- Et qu'est-ce qu'on fait maintenant ?
- Je viens de recevoir le message que le légiste est prêt à nous faire son rapport, alors on rentre. Seulement, il y a une question qui me taraude depuis ce matin. Pourquoi tu te balades avec ton grand carnet en cuir ? On dirait un inspecteur des impôts.
- C'est le lieutenant Barthod qui me l'a donné. Il notait absolument tout dans un carnet semblable dès qu'il était sur le terrain. Ce n'est pas ce qu'il faut faire ?
- Pas forcément de cette manière. Tu peux simplement relever seulement ce qui est important et le garder en mémoire... mais si c'est ainsi que tu te sens le plus à l'aise, garde le cahier. Bon, partons. Le légiste nous attend.
Le capitaine se lève et prend la direction du parking. Vous lui emboitez le pas.
- Tu penses que l'on doit continuer de creuser du côté de ses camarades ?
- Célestin, la victime a eu les mains amputées par une découpe particulièrement nette. Rappelle-moi, où sommes-nous ?
- ... dans une fac de médecine.
PubliusOvidius
il y a 6 mois
Alors que vous rejoignez votre voiture, un homme en costume gris est adossé à celle-ci. Le regard de Barrios en le voyant se fait sombre.
- J'espère que je ne vous dérange pas ?
- Je ne le sais pas encore, permettez-moi de répondre à cette question plus tard.
- Qui êtes-vous ?
- La personne que j'ai besoin d'être en cet instant, mais je ne l'ai pas encore décidé car cela importe peu. Ce qui importe, c'est vous, capitaine Alice Barrios. Auriez-vous des informations qui pourraient intéresser la population sur le meurtre de Léa Vacquerie ?
- Un journaliste, j'aurais dû m'en douter. Dégagez de ma voiture.
L'homme lève subitement les bras au ciel.
- JOURNALISTE ! Quel mot affreux. Je préfère informateur, j'informe les gens sur ce qu'il arrive près de chez eux.
- Je vous ai dit de dégager de ma voiture, ou bien je vous arrête.
- Vous ne l'aviez pas formulé comme ça la première fois.
Le capitaine porte la main à son arme.
- Ok Ok Ok ! Je m'écarte. Mais n'oubliez pas que je ne suis pas journaliste, mais informateur. J'informe celui qui est prêt à m'écouter, et cela vaut pour vous. Je suis assez raisonnable dans mes prix, surtout avec mes amis de la police. C'est toujours un plaisir de travailler avec vous.
- C'est ça, je vous promets de ne pas y repenser à l'occasion.
Elle ouvre sa portière et se glisse sur son siège. Le journaliste profite de cette opportunité pour lancer trois cartes de visite dans l'habitacle. Barrios le fusille du regard.
- Oh si, vous repenserez à moi. Il viendra ce moment où vous aurez besoin de quelqu'un qui n'est pas à leurs bottes.
Le moteur vrombit tandis que vous attachez votre ceinture. Le capitaine fait un premier à coup pour forcer le journaliste à se reculer avant de partir pour de bon.
- Ils sont toujours comme ça ?
- Plus ou moins. Ne leur parle jamais, tu m'entends. Ce sont des vampires qui n'hésitent pas à compromettre des enquêtes si cela leur permet de gratter un bon article. Ils n'ont de respect pour rien, même pas pour les familles endeuillées. À cette heure-ci, ils doivent être une cinquantaine à harceler les Vacquerie devant leur porte.
- C'est horrible...
Après quelques minutes, Barrios tourne brusquement le volant pour se garer.
- Lucien nous rejoint au bureau, je vais nous prendre à manger. Il est déjà bientôt 13 h, je meurs de faim, et il vaut toujours mieux déjeuner avant le légiste plutôt qu'après, sinon tu ne manges rien. Attends-moi là, je reviens.
Le capitaine vous laisse seul avant de s'enfoncer dans le kebab devant lequel vous venez de vous garer.
S'ils nous filent déjà des appartements de fonction, les repas doivent certainement passer en note de frais. Ça ne va pas arranger mes débuts de bourrelet cette histoire.
Tout en étant dans vos pensées, vous remarquez une carte de visite du journaliste à vos pieds. Vous la prenez et l'inspectez.
Albert Mortin, journaliste indépendant. Je vais la garder, on ne sait jamais.
Tandis que vous surveillez la porte du restaurant, vous réfléchissez aux recommandations de Barrios en début de matinée.
Qu'essayerez-vous de faire en priorité ce soir ?
1) Vous pencher sur l'amélioration de votre physique. Mike doit bien connaître une salle de sport à proximité avec un tel physique.
2) Vous irez faire un tour au stand de tir pour vous renseigner.
3) Pour ce soir, vous privilégierez de vite rentrer chez vous et de relire tranquillement les notes prises dans votre cahier depuis vendredi.
PubliusOvidius
il y a 6 mois
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272198881
Chapitre 7 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442065
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442161
il y a 6 mois
Vote 3
Ce n'est pas la première fois qu'on nous propose de relire le cahier et nous aurons d'autres occasions pour go-muscu et s'entraîner au tir
Brad_Delsonne
il y a 6 mois
Vote 2 il le semble qu'un des persos nous avait dit d'y aller dès qu'on le pouvait donc autant le faire
OuestLarry
il y a 6 mois
GentarouHongou
il y a 6 mois
Vote 3
Ce n'est pas la première fois qu'on nous propose de relire le cahier et nous aurons d'autres occasions pour go-muscu et s'entraîner au tir
Je vote 3 pour les mêmes raisons
Lupin-le-3
il y a 6 mois
Interessant ce groupe d'ami bien fermé, à se demander s'ils sont juste pas tous dans le coup
Vote 2 nonobstant
PubliusOvidius
il y a 6 mois
PubliusOvidius
il y a 6 mois
Décompte de 10h39 :
2 votes pour la 2
3 votes pour la 3
Gayoull59
il y a 6 mois
Une fic ma foi forte intéressante, hâte de voir ou tout cela va mener.
Je vote 3
PubliusOvidius
il y a 6 mois
Décompte de 12h37 :
3 votes pour la 2
6 votes pour la 3
Clôture des votes à 19h
il y a 6 mois
Je vote 3
PubliusOvidius
il y a 6 mois