Gérard Larcher se fait séquestrer par un nain puis relâcher finalement le nain change d'avis

Le Nain :
(hurlant d'un ton sadique)
"Eh, Larcher ! T'as cru que c'était terminé ? J'ai changé d'avis ! Toi, tu vas finir dans une cocotte, mon vieux !"

Avant que Gérard puisse esquisser le moindre geste, le nain le rattrape, agrippe son bras et le traîne jusqu'à un sentier menant à un petit supermarché à la lisière de la forêt.

Une fois dans le supermarché, le nain pousse Gérard dans les rayons, une liste à la main.

Le Nain :
(en pointant le papier avec un sourire diabolique)
"Allez, Larcher, sois un peu coopératif ! On va bien s'amuser. Choisis donc avec quoi tu veux être assaisonné. Herbes de Provence, poivre noir, peut-être un peu de romarin ?"

Gérard Larcher :
(horrifié, essayant de raisonner le nain)
"Mais... mais c'est insensé ! Vous êtes complètement malade ! Je suis un homme, pas un rôti !"

Le Nain :
(avec un sourire carnassier)
"Pour moi, y'a pas de différence, Larcher. Allez, un peu de sérieux ! On prend quoi, de l'huile d'olive ou du beurre ? Personnellement, je trouve que le beurre se marie mieux avec toi."

Alors qu'ils avancent dans les rayons, Gérard tente de jeter des regards désespérés aux clients et au personnel du magasin, mais personne ne semble prêter attention à la scène étrange qui se déroule. Le nain est de plus en plus excité par l'idée de transformer Gérard en son dîner, au point que ses idées deviennent de plus en plus... excentriques.

Le Nain :
(en gloussant, son fusil en main)
"Tu sais ce qui serait amusant ? Un peu d'assaisonnement en avance, juste pour te faire sentir ce que ça fait."

Avant que Gérard ne comprenne ce qu'il veut dire, le nain se met à caler le canon du fusil en direction de son postérieur, s'amusant à le menacer avec une lueur de pure folie dans les yeux.

C'est à ce moment précis qu'un agent de sécurité du supermarché arrive dans le rayon, attiré par le comportement suspect du nain. Il observe la scène avec des yeux écarquillés.

Agent de Sécurité :
(se raclant la gorge pour attirer l'attention)
"Excusez-moi, monsieur… que faites-vous avec ce fusil ? Et pourquoi le dirigez-vous vers... cet homme ?"

Le Nain :
(se redressant, feignant l'innocence)
"Ah ! Rien, rien du tout, monsieur l'agent. On rigole, c'est tout. Juste une petite plaisanterie entre amis."

Gérard Larcher :
(s'écriant, l'air désespéré)
"Aidez-moi ! Il veut me transformer en rôti ! Il me force à choisir avec quoi je vais être... assaisonné !"

L'agent de sécurité plisse les yeux, comprenant rapidement que la situation est plus qu'inhabituelle. Il se précipite sur le nain, lui arrache le fusil des mains et l'attrape par le col.

Agent de Sécurité :
(se tournant vers Gérard, qui est en train de reprendre son souffle)
"Ne vous inquiétez pas, monsieur, on va s'occuper de cet... individu. Vous êtes en sécurité maintenant."

Le nain, se débattant dans les bras de l'agent, se met à hurler comme un possédé.

Le Nain :
(criant en direction de Gérard)
"Tu m'échapperas pas, Larcher ! Un jour, je te ferai cuire à petit feu ! Tu m'entends ?!"