Mon histoire d'amour avec Gérard Larcher

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Un après-midi pluvieux au Palais du Luxembourg, l'ambiance était lourde. Les séances sénatoriales battaient leur plein, mais dans un bureau discret au fond des vastes couloirs du Sénat, une confrontation bien plus personnelle se préparait. Alexis Bossé, le jeune facteur, était assis, bras croisés, dans le fauteuil face à Gérard Larcher. Ce dernier, habituellement confiant, semblait nerveux. Alexis, habituellement réservé, affichait aujourd'hui une assurance inhabituelle.

Le silence pesant fut enfin rompu par Alexis, dont le ton calme cachait une menace sous-jacente.

    • Alexis** :

"Gérard… il est temps que tu fasses quelque chose pour moi."

Gérard releva la tête, son regard perplexe. Depuis quelque temps, il avait senti que quelque chose avait changé dans l'attitude du jeune homme. Mais il ne s'attendait pas à ce qui allait suivre.

    • Gérard** :

"Que veux-tu dire, Alexis ? Tu sais que je suis toujours prêt à t'aider, mais... qu'est-ce que tu veux exactement ?"

Alexis sortit un papier de sa poche, le déplia lentement et le posa sur le bureau de Gérard. C'était un brouillon d'une proposition de loi, tapée à la hâte. Gérard la parcourut rapidement, ses yeux s'écarquillant au fur et à mesure qu'il comprenait.

    • Gérard** :

"Le port d'armes pour les facteurs ? Tu es sérieux ?"

    • Alexis** (calmement, mais avec une détermination froide) :

"Très sérieux. J'ai beaucoup réfléchi à ça. Tu sais combien c'est devenu dangereux de livrer des colis dans certains quartiers. Les agressions sont de plus en plus fréquentes. Je pense que les facteurs devraient avoir le droit de se défendre."

Gérard posa la feuille sur le bureau, se frottant le front, clairement déstabilisé.

    • Gérard** :

"Alexis, c'est… c'est un sujet très sensible. Tu réalises les complications que cela impliquerait ? Armer les facteurs… c'est totalement disproportionné. Je ne peux pas défendre ça au Sénat. C'est hors de question."

Le jeune facteur se redressa dans son fauteuil, ses yeux s'assombrissant.

    • Alexis** :

"Je m'attendais à cette réponse. Mais vois-tu, Gérard, je ne suis pas venu ici pour te demander ton avis. J'ai quelque chose que tu veux garder secret, quelque chose qui pourrait faire beaucoup de bruit si c'était révélé à la presse."

Gérard, sentant la menace arriver, pâlit légèrement, bien que son visage reste stoïque.

    • Gérard** :

"De quoi tu parles ?"

    • Alexis** (les yeux perçants, le ton sec) :

"De nous, Gérard. De notre relation. Je pense que les médias adoreraient savoir que le Président du Sénat entretient une relation avec un jeune facteur. Imagine les gros titres, les scandales, les insinuations... ça pourrait ruiner ta carrière, et tu le sais."

Gérard se leva brusquement, comme si un coup lui avait été porté. Il fit quelques pas dans la pièce, essayant de garder son calme, mais l'agitation se lisait dans chacun de ses gestes.

    • Gérard** :

"Tu ne ferais pas ça, Alexis. Ce que nous avons vécu, c'était… spécial, sincère. Tu ne peux pas me menacer comme ça."

    • Alexis** (le visage dur) :

"Spécial ou pas, ça ne change rien. Je te donne un choix. Soit tu soutiens cette proposition de loi et tu la portes au Sénat, soit tout le monde saura ce qui se passe entre nous. Tu ne pourras plus cacher ça."

Gérard s'arrêta, le dos tourné à Alexis, respirant profondément. Il comprenait maintenant qu'Alexis n'était plus le même jeune homme naïf qu'il avait connu. Il pesait ses options. La presse, les scandales, l'opprobre… tout cela pouvait détruire des décennies de carrière en une seconde. Mais cette loi était tout simplement impensable, une bombe à retardement pour l'image du Sénat et la sécurité publique.

Il se retourna, affrontant Alexis avec une expression entre colère et résignation.

    • Gérard** :

"Tu joues un jeu dangereux, Alexis. Très dangereux."

    • Alexis** (impassible) :

"Peut-être, mais je n'ai plus rien à perdre. Toi, par contre… tu as tout à perdre."

Le silence qui suivit était glacial. Gérard savait qu'il était piégé. S'il refusait, sa carrière pourrait être ruinée. Mais s'il acceptait, il s'engageait dans une bataille politique insensée. Il s'approcha finalement de son bureau, reprenant la feuille de proposition de loi, la relisant lentement.

    • Gérard** (murmurant presque pour lui-même) :

"Je vais voir ce que je peux faire. Mais sache une chose, Alexis… ce genre de menaces ne te mènera pas loin. Il y a toujours des conséquences."

    • Alexis** (se levant, un sourire satisfait) :

"J'accepte de prendre ce risque. Je te laisse réfléchir à ta décision, mais ne tarde pas trop."

Sur ces mots, Alexis quitta le bureau, laissant Gérard seul, avec un dilemme dévastateur. Les mains crispées autour du papier, Gérard comprenait qu'il venait de perdre le contrôle d'une situation qu'il avait, un temps, pensé maîtriser.

GL

GodLindzei

il y a 7 mois

Tarax + sweet

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


Tarax + sweet

La suite prochainement merci

AK

AvaKeading

il y a 7 mois

tu es de la nourriture ?

AK

AvaKeading

il y a 7 mois

Alexis le beignet fourré

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


tu es de la nourriture ?

La suite prochainement merci

Oui

AK

AvaKeading

il y a 7 mois

il faut rendre Alexis comestible sinon ça ne marchera jamais

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


il faut rendre Alexis comestible sinon ça ne marchera jamais

Oui

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Dites moi si vous me croyez ou non

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Gérard Larcher

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

CM

CosmoMemo38

il y a 7 mois

la suite nom de dieu

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


la suite nom de dieu

Ça arrive

AL

AeronLine

il y a 7 mois

Sweet or swat

AP

AbrutiPutride

il y a 7 mois

Qu'est-ce que viens-je de lire

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Gérard Larcher, assis à une table discrète du bar tamisé du club échangiste, consultait son téléphone d'un air absorbé. Le bruit feutré des conversations autour de lui créait une atmosphère étrange, un mélange de tension et d'excitation qui flottait dans l'air. La lumière rougeoyante donnait au lieu une ambiance presque irréelle. Il jetait des coups d'œil furtifs vers l'entrée, attendant impatiemment Alexis, le jeune facteur qui occupait ses pensées depuis un moment déjà.

Alexis arriva enfin, vêtu de son uniforme de facteur, un léger sourire aux lèvres. Son allure décontractée et son assurance contrastait avec la nervosité palpable de Gérard. Le jeune homme s'avança, traversant le bar avec aisance, ignorant les regards curieux des autres clients.

« Gérard », dit Alexis en s'asseyant face à lui, « c'est un endroit… particulier pour discuter du port d'armes des facteurs, non ? »

Gérard sourit légèrement, essayant de dissimuler sa gêne. « On ne risque pas d'être interrompus ici », répondit-il, sa voix plus ferme qu'il ne se sentait réellement. « Et puis, il faut qu'on prépare un plan solide. »

Alexis croisa les bras, l'observant avec une lueur amusée dans les yeux. « Je t'écoute, alors. Que proposes-tu ? »

Gérard prit une gorgée de son verre pour se donner du courage avant de poursuivre. « Il est crucial que les facteurs soient protégés. Avec les agressions en hausse, il est impératif qu'ils aient le droit de porter une arme pour se défendre. Il nous faut une stratégie pour convaincre le parlement et l'opinion publique. »

Alexis hocha la tête, prenant l'affaire au sérieux, malgré le lieu incongru. « Je suis d'accord, mais il faudra aussi montrer que ce n'est pas un geste excessif. Peut-être qu'on pourrait mettre en avant des témoignages de facteurs agressés, ou des études sur la sécurité au travail ? »

Leurs regards se croisèrent un instant, et Gérard sentit son cœur s'accélérer. Malgré la tension de la discussion politique, il ne pouvait ignorer l'attirance qu'il ressentait pour Alexis. Mais il savait que ce n'était ni le lieu ni le moment pour aborder ses sentiments.

« C'est exactement ce qu'il nous faut », répondit Gérard, la voix plus douce. « Travaillons là-dessus ensemble. On formera un front uni. »

Le jeune facteur sourit en retour, conscient du trouble de Gérard mais respectueux de la distance qu'il maintenait. Tandis qu'ils continuaient à élaborer leur plan pour défendre le texte sur le port d'armes des facteurs, l'atmosphère particulière du club échangiste semblait s'effacer autour d'eux, laissant place à une étrange complicité.

Leurs discussions finirent par se fondre dans la musique ambiante du bar, deux mondes en apparence incompatibles se rejoignant dans une cause commune, à la fois sérieuse et teintée d'une attraction inexprimée.

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


Qu'est-ce que viens-je de lire

Oui? Donne moi ton avis

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

La scène se déroule au Sénat, en plein après-midi. L'atmosphère est solennelle, comme à l'accoutumée, mais une certaine tension plane, alimentée par les discussions houleuses des dernières semaines. Gerard Larcher, président du Sénat, monte à la tribune, son visage serein mais déterminé. Il ajuste ses lunettes, consulte rapidement ses notes, puis lève les yeux vers l'assemblée, ses collègues sénateurs pendus à ses lèvres.

Un léger murmure parcourt la salle. Chacun s'attend à un discours technique, comme toujours. Mais très vite, quelque chose d'inhabituel s'installe dans l'air.

"Mes chers collègues," commence-t-il, sa voix posée mais légèrement tremblante. "Je me tiens devant vous aujourd'hui non seulement pour parler d'une question cruciale pour notre société, mais aussi pour partager quelque chose de plus personnel."

Les regards se tournent les uns vers les autres, intrigués.

"Nous avons discuté longuement des dangers auxquels nos facteurs sont confrontés au quotidien. Je pense, et je le dis sans détour, que la sécurité de nos postiers doit être renforcée. C'est pourquoi je défends, ici, devant vous, l'idée controversée que les facteurs puissent porter une arme pour se défendre face aux risques croissants dans certaines zones."

Un silence stupéfait envahit l'hémicycle. Certains froncements de sourcils, des murmures s'élèvent. Larcher lève la main pour demander le silence.

"Je comprends que cette proposition puisse paraître radicale, mais je vous assure qu'elle est mûrement réfléchie."

Il fait une pause, prenant une inspiration, son regard se perd un instant au-delà des murs imposants du Sénat.

"Mais avant de poursuivre, il y a autre chose. Quelque chose de plus... personnel."

À ce moment, tout le monde est suspendu à ses lèvres. Larcher hésite, puis pose ses notes. Son visage s'adoucit.

"Vous connaissez tous Alexis Bossé, n'est-ce pas ?" dit-il en cherchant du regard l'homme en question, assis au fond de la salle, visiblement surpris.

"Alexis... Cela fait longtemps que nous travaillons ensemble. Depuis des années, nous avons partagé bien plus que des idées et des débats. Aujourd'hui, ici même, devant vous tous, je voudrais dire une chose importante. Alexis, veux-tu m'épouser ?"

Un silence total s'abat dans la salle. Les yeux écarquillés de certains sénateurs se posent tour à tour sur Gerard Larcher puis sur Alexis Bossé, figé sur son siège, rouge de surprise.

Le Sénat entier semble retenir son souffle, puis, petit à petit, des murmures, des exclamations de surprise et même quelques rires nerveux commencent à se faire entendre. Les caméras de télévision captent chaque seconde de cette scène surréaliste, diffusant en direct ce moment inattendu à des millions de téléspectateurs.

Alexis, après une seconde d'hésitation qui paraît une éternité, se lève, le visage ému et encore sous le choc. Tous les regards sont braqués sur lui. Et, d'une voix à peine audible mais claire, il répond : "Oui."

Un tonnerre d'applaudissements éclate dans le Sénat. Certains sénateurs se lèvent, d'autres sont figés d'incrédulité. Les caméras zooment sur Larcher, un large sourire aux lèvres, et sur Alexis, qui, rougissant toujours, marche lentement vers la tribune.

La France entière assiste, médusée, à cette scène hors du commun : une déclaration d'amour enflammée au sein même du Sénat, sous l'éclat des projecteurs, en plein direct.

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

La scène se déroule dans un grand bureau feutré au Sénat, avec ses tentures lourdes et ses dorures imposantes. Gérard Larcher, assis à son bureau, fait face à son garde du corps, un homme imposant en costume noir, la mâchoire serrée et les bras croisés derrière son dos. À côté de lui, Alexis Bossé, légèrement confus, se tient debout, se demandant encore ce qu'il fait là.

Larcher, l'air grave mais avec un soupçon d'amusement dans les yeux, tape légèrement du doigt sur son bureau avant de lever les yeux vers Alexis. "Alexis, mon cher," commence-t-il, "j'ai pris une décision importante."

Alexis fronce les sourcils. "Oui, Monsieur le Président?"

Larcher prend une grande inspiration, dramatique, puis annonce : "Je te nomme garde du corps de... mon garde du corps."

Un silence pesant envahit la pièce. Le garde du corps, dont le visage n'a pas changé d'un millimètre, jette un regard furtif à Alexis, puis à Larcher. Alexis, quant à lui, reste bouche bée, tentant de comprendre s'il s'agit d'une plaisanterie ou d'une réelle annonce.

"Vous… vous voulez que je sois le garde du corps de votre garde du corps?" balbutie Alexis.

"Exactement !" réplique Larcher, les yeux brillants. "Tu es un homme de confiance, Alexis. Je ne peux pas laisser mon garde du corps sans protection. Il est précieux, tout autant que moi, tu comprends ? Si jamais quelqu'un venait à s'en prendre à lui, qui le protégerait ? C'est là que tu entres en jeu."

Le garde du corps, toujours impassible, se contente d'un léger soupir inaudible. Alexis, de plus en plus perplexe, cherche ses mots. "Monsieur, je n'ai aucune formation pour ce genre de… tâche. Je veux dire, c'est un professionnel, il sait se défendre."

Larcher sourit, comme si cette remarque ne faisait que confirmer la justesse de sa décision. "C'est là que tu te trompes, Alexis. La sécurité, c'est un travail d'équipe. Et je veux que mon équipe soit… infaillible. Tu seras là pour veiller sur lui, comme lui veille sur moi."

Le garde du corps acquiesce légèrement, visiblement habitué aux décisions farfelues de Larcher. Alexis, lui, finit par hocher la tête, comprenant qu'il n'a pas vraiment le choix. "Très bien, Monsieur le Président. Si c'est ce que vous souhaitez…"

Larcher se lève, tout sourire, et tend la main à Alexis. "Je savais que je pouvais compter sur toi ! À partir de maintenant, tu seras le pilier de ma sécurité. Ensemble, on est invincibles."

Alexis serre la main de Larcher, toujours un peu incrédule, mais déjà prêt à s'habituer à cette nouvelle et improbable mission. Tandis que Larcher retourne à son bureau, satisfait, Alexis et le garde du corps échangent un regard complice, partageant sans mot dire l'absurdité de la situation.

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

AP

AbrutiPutride

il y a 7 mois

Ce cerveau malade

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


Ce cerveau malade

Bah pourquoi

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


Ce cerveau malade

Bah pourquoi

[B

[Bloodydeath]

il y a 7 mois

ça manque de stickers

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


ça manque de stickers

J'ybainpas pensé

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

  1. up
OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

SL

sleepytower

il y a 7 mois

Encore https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/1/1618201359-nagatoro02.png

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


Encore https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/1/1618201359-nagatoro02.png

Vraiment?

Ca ne semble pas beaucoup intéresser les kheys

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Dans une petite salle de classe, les élèves sont rassemblés, impatients mais perplexes. Les murs sont décorés d'affiches colorées avec des messages de prévention contre le harcèlement. La lumière est vive, l'atmosphère légèrement électrique.

Gérard Larcher, président du Sénat, entre avec un sourire bienveillant, suivi de son compagnon, Alexis Bossé, un facteur au physique imposant. Ils sont là pour sensibiliser les jeunes sur l'importance de dire non au harcèlement. Gérard, avec sa prestance habituelle, prend la parole.

    • Gérard :**

« Bonjour à tous, nous sommes ici aujourd'hui pour parler d'un sujet sérieux : le harcèlement. C'est un problème que personne ne devrait avoir à affronter, et il est essentiel de comprendre que… »

Alexis, se tenant à côté de lui, coupe Gérard en soufflant bruyamment, un sourire moqueur aux lèvres. Il brandit soudain un fusil à pompe en plastique, une sorte d'accessoire de spectacle, mais la situation devient rapidement inconfortable.

    • Alexis (d'un ton théâtral) :**

« Hé, Gérard, t'as oublié de dire que t'es la cible parfaite pour un peu de bizutage, non ?! »

Les élèves se regardent, mi-amusés, mi-inquiets. Gérard fronce les sourcils, essayant de garder son calme, mais Alexis continue, se tournant vers les enfants.

    • Alexis :**

« Alors, les jeunes, vous voulez savoir ce qu'il ne faut *pas* faire ? Regarder comment je traite Gérard ! »

Il pousse légèrement Gérard de l'épaule, toujours avec ce sourire provocateur. Gérard essaie de rire nerveusement, mais la tension est palpable. Alexis fait mine de viser Gérard avec son fusil factice, tout en ajoutant d'une voix plus grave.

    • Alexis :**

« C'est comme ça qu'on impose le respect, non ? Faut leur montrer qui est le patron ! »

Les élèves éclatent de rire, certains choqués, d'autres amusés par l'absurdité de la scène. Gérard, tentant de reprendre le contrôle, lève les mains en signe d'apaisement.

    • Gérard :**

« Heu, ce que fait Alexis, c'est justement ce qu'on appelle du harcèlement ! Et même si c'est pour rire, ce genre de comportement peut vraiment blesser. Alexis, tu exagères là… »

Mais Alexis, dans son rôle de clown, fait un clin d'œil aux élèves, insistant.

    • Alexis :**

« Allez, Gérard, on déconne, c'est pour la prévention ! »

Un silence gênant s'installe dans la pièce. Gérard soupire discrètement et se tourne finalement vers les élèves.

    • Gérard :**

« Le harcèlement, ça commence souvent par des blagues, des petites humiliations qui semblent sans importance. Mais ça peut rapidement devenir destructeur. Ce qu'Alexis fait ici est un exemple de ce qu'il ne faut *jamais* faire, même pour rire. »

Alexis, comprenant qu'il est allé trop loin, repose son fusil à pompe en plastique et prend un air plus sérieux. Il s'approche de Gérard et lui pose une main sur l'épaule.

    • Alexis (d'un ton plus doux) :**

« Bon, les enfants, Gérard a raison. Ce que je viens de faire, c'est un exemple de comportement toxique. J'ai voulu faire le malin, mais au fond, ça peut vraiment faire du mal. Le respect, c'est ce qui compte le plus, surtout entre amis. »

Les élèves sont désormais plus attentifs, l'ambiance ayant basculé. Gérard termine la session avec une note plus solennelle.

    • Gérard :**

« N'oubliez jamais, personne ne mérite d'être traité de cette manière. Si vous êtes témoins de harcèlement, parlez-en. Vous avez le pouvoir de changer les choses. »

La cloche retentit, mettant fin à cette étrange, mais mémorable session. Gérard et Alexis quittent la classe, laissant derrière eux des élèves pensifs et une leçon, bien que maladroitement donnée, sur l'importance du respect.

__

_lavieestbelle_

il y a 7 mois

j'ai fav

khey envoie l'histoire au sénat il faut qu'ils la lisent aussi

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


j'ai fav

khey envoie l'histoire au sénat il faut qu'ils la lisent aussi

Bonne idée

AK

AvaKeading

il y a 7 mois

le gars pourrait consacrer sa vie à être essayiste et chroniqueur LCI comme Louis Sarkozy

mais non il préfère écrire sur le forum...

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois


le gars pourrait consacrer sa vie à être essayiste et chroniqueur LCI comme Louis Sarkozy

mais non il préfère écrire sur le forum...

Oui j'aime bien

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Aidez moi

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Gérard Larcher, président du Sénat, se félicitait d'avoir pu obtenir une table discrète au bar du club échangiste, un lieu où il aimait passer des soirées intimes avec son compagnon, Alexis le facteur. Ils s'étaient préparés pour une soirée qu'ils espéraient inoubliable, loin des soucis politiques et des débats du Palais du Luxembourg. Gérard, déjà enjoué, avait même commandé une bouteille de champagne pour marquer l'occasion.

Cependant, dès qu'ils s'installèrent, Alexis, d'habitude jovial et détendu, semblait préoccupé. Ses sourcils froncés trahissaient une réflexion intense, presque rageuse. Après quelques instants de silence lourd, il lança abruptement, comme s'il ne pouvait plus se contenir :

"Gérard, il faut faire passer cette loi. Il est grand temps d'agir."

Le président du Sénat, surpris par le ton, posa son verre et le fixa, déconcerté. "Quelle loi, mon chéri ? De quoi tu parles ?"

Alexis, avec un regard dur, s'avança un peu plus vers Gérard, baissant la voix comme s'il dévoilait un secret d'État. "Interdire le droit de vote aux obèses. C'est devenu insoutenable, ils sont partout, et ils n'ont aucun sens des priorités. Ça ne peut plus durer."

Un silence glacé s'installa entre eux. Gérard sentit son cœur se serrer. Lui-même en surpoids, il ne put s'empêcher de se sentir visé. Ses mains tremblèrent légèrement alors qu'il tentait de comprendre ce qui animait cette haine soudaine chez Alexis. "Tu plaisantes, Alexis ? Tu… tu parles sérieusement ?"

Alexis, implacable, croisa les bras. "Très sérieusement. Les obèses n'ont pas la discipline nécessaire pour prendre des décisions politiques. Ils se laissent aller, et c'est ça que tu veux pour notre démocratie ?"

Gérard sentit une boule se former dans sa gorge. "Je te rappelle que je suis… moi aussi en surpoids. Est-ce que tu veux dire que je ne devrais pas non plus avoir le droit de vote ?" Sa voix tremblait d'une émotion qu'il tentait tant bien que mal de contenir.

Alexis ne broncha pas, son regard impitoyable ne quittant pas celui de Gérard. "Je ne fais pas d'exceptions, Gérard. Même toi."

Cette phrase résonna comme une gifle. Gérard, choqué, se redressa, vacillant entre colère et tristesse. Comment l'homme qu'il aimait pouvait-il tenir de tels propos ? Et pourquoi, tout à coup, cette obsession ?

À ce moment-là, d'autres habitués du club, ayant capté des bribes de la conversation, commencèrent à murmurer entre eux. Certains riaient doucement, d'autres secouaient la tête, incrédules. Gérard sentait tous les regards peser sur lui. Il était vexé, blessé dans son amour-propre.

La soirée, qui devait être un moment de détente, se transformait en un cauchemar. Gérard fixait Alexis, cherchant un signe d'humanité dans ses yeux, une trace de l'amour qui les liait. Mais tout ce qu'il voyait, c'était une froide détermination.

Gérard soupira profondément, sa voix cassée : "Je suis désolé, Alexis, mais je ne peux pas soutenir cette folie. Et je ne peux pas te suivre dans ce délire." Puis, se levant lentement, il quitta la table, la tête haute, mais le cœur lourd, tandis qu'Alexis restait là, imperturbable, fidèle à son idée fixe.

La soirée s'était terminée avant même d'avoir vraiment commencé.

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up

G3

Ging33

il y a 7 mois

Dommage que ce soit du chatgpt

OP
--

-offredestage-

il y a 7 mois

Up