marqueur social

c'est la mode

si demain la mode c'était déguster sa propre m

bah voilà quoi

Oui, littéralement. Si tu as un bonheur stable chez toi, tu as pas besoin de le fuir. Le besoin de " changer d'air " en dit plus sur le lieu où tu vis que sur ta destination

Et arrête d'utiliser le sticker PNJ par pitié, il y a pas plus PNJ que les voyages, tu es littéralement un produit du monde moderne, le système veut que tu voyages et tu y fonces sans y réfléchir une seconde. Tu as le droit d'être un golem, mais un peu de pudeur je te prie

"Seul le sot et l'intellectuel savent rester sédentaires. La médiocrité est inquiète et voyage." -Nicolas Gomez Davila.

Or, les femmes sont très moyennes, donc elles veulent toutes voyager.

Lorsque l'esprit voyage, il est enivré porté par un parfum qui l'enchante, et c'est cela que recherchent bien des femmes non pas trouver, mais parcourir, être séduites, se sentir en émoi.

C'est pourquoi dit on qu'elles aiment les menteurs, les tromperies se réécrivent, la vérité, elle semble figée. Je pense surtout qu'elles craignent les limites.

Une femme est symboliquement liée à la liberté que nous souhaitons approcher, c'est la complexité de nos relations. Sauvages, elles nous charment de l'innocence, trop les comprendre ou influencer, leur ôte. Elles sont un vent léger qui se porte souvent dans le sillon du souffle des hommes et qui, sans cesse cherche à s'enfuir, elles veulent la main qui sans les contraindre les accompagne comme dans une danse pour les guider.

Je dirais même qu'elles sont d'un pragmatisme mal compris. En partant du mensonge évident mais séduisant, on peut penser que le flatteur comprend le jeu. Elles ne craignent alors de trouver une vérité possiblement peu aimable, tout en prenant plaisir à l'approcher là où, d'une prétendue vérité invérifiable et sans allure, elles pourraient finir par trouver tromperie sans charme.

Le voyage est une allégorie de cela. Elles sont aussi souvent plus influençables. Elles créent alors, en acceptant nos suggestions, le contexte pour être séduites, avoeux non dits d'une confiance fragile, un pacte illusoire entre deux êtres, espérant que pour tous deux, profite le crime.

Je crois aussi qu'il ne faut pas trop les essentialiser, car dans la femme se trouve une part de l'homme, et l'inverse est vrai aussi. J'insiste quand même pour dire que la femme est liée à la liberté, et au vent qui se porte dans les interstices des fondations que nous, hommes, représentons. Et c'est pourquoi, parfois, elle fracture les cœurs de pierre.