Le capitalisme, c'est la tyrannie du marché, un système de domination totale qui réduit tout à la marchandise, y compris l'existence humaine. Ce n'est pas simplement « travailler plus pour gagner plus », c'est la soumission à la logique impitoyable du profit où le travailleur est transformé en simple rouage d'une machine à accumuler du capital.

Dans ce système, l'exploitation est la règle : on extorque la plus-value du travailleur, on détruit les liens humains authentiques, et on réduit les relations à des transactions commerciales. Le capitalisme crée des inégalités monstrueuses, où une petite élite capitaliste accumule des richesses inimaginables en exploitant la majorité.

C'est un système fondé sur la crise permanente, qui s'effondre sans cesse sous le poids de ses propres contradictions et qui perpétue l'aliénation de l'individu, coupé de ses véritables besoins et aspirations. Le capitalisme, c'est la négation de l'homme en tant qu'être social et la glorification du fétiche marchand. C'est un régime de servitude moderne où l'humain est dépossédé de sa vie, de son travail, et de son être même.