le capitalisme meurt et il nous emporte avec lui
habitanpoete
il y a 17 jours
Le capitalisme meurt. Avant de mourir, il s'assure de ne laisser rien ni personne derrière lui. Les ressources exploitées jusqu'à leur disparition ne se renouvelleront pas. Des espaces sont laissés détruits, tandis que d'autres, comme le septième continent, sont créés. Mais aucun n'est aménagé pour la nature et les hommes. Le capitalisme se recrée un monde parfaitement accordé à ses besoins inhumains.
Et en mourant, il détruit nos vies. S'il laisse la vie proliférer et gère le développement des populations, c'est seulement pour s'assurer un contingent de capital variable, capital humain, à exploiter. Ce qui n'est pas capital variable, la surpopulation qui ne peut être absorbé par les besoins du capital, il la laisse périr.
Mais la présence d'une main d'oeuvre corvéable ne contredit pas l'inévitable mort de la croissance est refoulée par l'économie mondiale. L'emploi s'automatise inexorablement et le travail humain se perd. Dans les années 30, on discutait de ce futur utopique où l'on aurait plus besoin de travailler, les machines faisant tout. Et bien le capitalisme a réussi l'exploit de maintenir l'exploitation malgré la désindustrialisation massive. Des usines, nous sommes passés aux services.
Mais cette économie tertiaire est difficilement profitable, basée sur le capital variable, le travail humain, elle peine à tirer des marges. Chaque gouvernement tente donc de faire oublier la crise latente en favorisant politiquement les conditions d'exploitations. Politiques fiscales avantageuses, destruction du droit (constitutionnel, du travail, etc.), abolition des services publics, le réel se soumettra au capitalisme, et les acquis pseudo-fondamentaux s'écroulent pour faire droit à ses exigences. Nul Etat de droit ou acquis social ne résistera aux exigences du capital qui se meurt.
habitanpoete
il y a 17 jours
dépit de ent
Sorenk1995
il y a 17 jours
il meurt jamais il mute rien de plus
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Flot ininterrompu de chialeries gauchistes. Rien de ce que tu baragouines n'a une quelconque emprise sur le mouvement de la réalité. Tu ne fais que jargonner de la manière la plus pompeuse et donc la plus détestable qui soit.
Le capitalisme est mort avec la fin de l'étalon or et le "super-impérialisme" américain garanti par la mise en place du dollar comme réserve mondiale. Le mode de production actuel n'a du capitalisme que des résidus. Nous vivons sous le règne du socialisme bourgeois, autrement dit l'économie est un réseau complexe de cartels qui réunis des fonds d'investissement, de grandes banques, des institutions monétaires nationales et supra-étatiques, des grandes entreprises etc.
habitanpoete
il y a 17 jours
il meurt jamais il mute rien de plus
Il meurt bel et bien, les taux de profit comme les taux de croissance chutent sans jamais pouvoir se relever. Ce n'est pas une question de conjoncture défavorable, la cause est structurelle: la machinisation tue la source du profit à savoir l'exploitation des hommes.
habitanpoete
il y a 17 jours
Flot ininterrompu de chialeries gauchistes. Rien de ce que tu baragouines n'a une quelconque emprise sur le mouvement de la réalité. Tu ne fais que jargonner de la manière la plus pompeuse et donc la plus détestable qui soit.Le capitalisme est mort avec la fin de l'étalon or et le "super-impérialisme" américain garanti par la mise en place du dollar comme réserve mondiale. Le mode de production actuel n'a du capitalisme que des résidus. Nous vivons sous le règne du socialisme bourgeois, autrement dit l'économie est un réseau complexe de cartels qui réunis des fonds d'investissement, de grandes banques, des institutions monétaires nationales et supra-étatiques, des grandes entreprises etc.
Je n'y peux rien si tu es illettré khey. Cela dit, quelle est ta définition du capitalisme ? du socialisme ? Le problème de la définition esquissée en négatif de ton post est de supposer essentielle au capitalisme le libre marché, la concurrence libre et non faussée. Or il n'en a jamais été ainsi.
Lidiou
il y a 17 jours
bon ça pourrait être pire,
on pourrait imaginer un remboursement des dettes, un tel effondrement de la culture que l'humanité ne se verra même pas s'entre-tuer, une sélection sois disant naturelle, avec in fine une mini caste d'humains continuant de vivre dans un monde de verre, avec quelques parcs quand même, ça a déjà été décrit
sinon, en terme de système politique l'émancipation individuelle n'a-t-elle pas toujours été la clef ?
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Et bien le capitalisme a réussi l'exploit de maintenir l'exploitation malgré la désindustrialisation massive. Des usines, nous sommes passés aux services.
Rien que cette partie témoigne d'une stupidité profonde. En quoi le bifurcation de l'économie occidentale vers des secteurs improductifs est-il censé cesser l'automatisation ? Au contraire, l'IA et ses progrès rendent peu à peu évident le caractère superflu d'une majeure partie des secteurs improductifs. Par ailleurs, si le développement des forces productives devraient amener une réduction du temps de travail, pourquoi est-ce que cette réduction n'est pas appliquée ?
Parce que ce n'est pas le capitalisme que tu invoques comme une force abstraite sur laquelle placer tous les maux du monde, ce sont les états. Le caractère changeant du mode de production fait des états les parasites les plus évidents. Ce sont eux qui freinent la réduction de la journée de travail.
habitanpoete
il y a 17 jours
bon ça pourrait être pire,
on pourrait imaginer un remboursement des dettes, un tel effondrement de la culture que l'humanité ne se verra même pas s'entre-tuer, une sélection sois disant naturelle, avec in fine une mini caste d'humains continuant de vivre dans un monde de verre, avec quelques parcs quand même, ça a déjà été décrit
sinon, en terme de système politique l'émancipation individuelle n'a-t-elle pas toujours été la clef ?
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Je n'y peux rien si tu es illettré khey. Cela dit, quelle est ta définition du capitalisme ? du socialisme ? Le problème de la définition esquissée en négatif de ton post est de supposer essentiel au capitalisme le libre marché, la concurrence libre et non faussée. Or il n'en a jamais été ainsi.
Je suis marxiste donc je ne raisonne pas à travers des définitions.
Maintenant, petit quizz : si l'étalon or fut abandonné et la monnaie fiduciaire massivement adopté, qu'est-ce que ça dit du mode de production ?
Lidiou
il y a 17 jours
je pense que la culture sera de plus en plus inaccessible, jetée dans l'obscur internet qui oublie tout, qu'on arrivera à un système du contrôle de tous par tous mais aux valeurs effondrées. il ne manquera rien pour que l'humanité s'effondre, moralement. je pense aussi qu'individuellement on peut tout recréer, et qu'on peut vivre notre vie sans se soucier d'un effondrement. ce que fait déjà l'élite depuis "longtemps" (années 80 peut être)
habitanpoete
il y a 17 jours
Je suis marxiste donc je ne raisonne pas à travers des définitions.
Maintenant, petit quizz : si l'étalon or fut abandonné et la monnaie fiduciaire massivement adopté, qu'est-ce que ça dit du mode de production ?
Être marxiste, comme être hégélien, c'est faire progresser la détermination concrète d'un contenu et ne pas s'en tenir à l'immédiateté première, ce que tu fais manifestement en maniant des signifiants creux. Enoncer les déterminations d'une chose ne condamne pas à la fossiliser dans la fixité du concept, un marxiste est censé le savoir.
Epargne moi ce mépris ridicule qu'aucune compétence intellectuelle ne justifie, et expose ta thèse clairement, sans te contenter de signifiants creux.
habitanpoete
il y a 17 jours
je pense que la culture sera de plus en plus inaccessible, jetée dans l'obscur internet qui oublie tout, qu'on arrivera à un système du contrôle de tous par tous mais aux valeurs effondrées. il ne manquera rien pour que l'humanité s'effondre, moralement. je pense aussi qu'individuellement on peut tout recréer, et qu'on peut vivre notre vie sans se soucier d'un effondrement. ce que fait déjà l'élite depuis "longtemps" (années 80 peut être)
je vois, perso je pense que ce que tu décris est déjà là
habitanpoete
il y a 17 jours
Être marxiste, comme être hégélien, c'est faire progresser la détermination concrète d'un contenu et ne pas s'en tenir à l'immédiateté première, ce que tu fais manifestement en maniant des signifiants creux. Enoncer les déterminations d'une chose ne condamne pas à la fossiliser dans la fixité du concept, un marxiste est censé le savoir.
Epargne moi ce mépris ridicule qu'aucune compétence intellectuelle ne justifie, et expose ta thèse clairement, sans te contenter de signifiants creux.
d'ailleurs c'est pas illégal de répondre au texte, au lieu de l'éviter immédiatement comme le petit sophiste que tu es
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Ce qu'on a aujourd'hui, c'est une espèce de capitalisme zombie, maintenu artificiellement en vie par les banques centrales, et qui ne tourne plus sur le travail ou l'innovation, mais sur la dette, la rente et le racket monétaire.
Michael Hudson l'explique très bien dans Superimperialism : les États-Unis ont transformé la finance mondiale en un système de pillage organisé. Avec le dollar comme monnaie de réserve mondiale, ils peuvent imprimer autant de billets qu'ils veulent, balancer leur dette partout, et faire en sorte que les autres payent pour leurs conneries. Les pays étrangers achètent des bons du Trésor américains avec leur excédent commercial, pendant que l'Amérique, elle, s'endette sans limite, et vit au-dessus de ses moyens. C'est pas une économie, c'est une arnaque géopolitique à grande échelle.
Et ce modèle, il a été copié à l'intérieur même des pays occidentaux. Le but, c'est plus de produire des biens utiles, c'est de créer des bulles d'actifs (immobilier, actions, brevets, éducation, santé) pour que les gens soient obligés de s'endetter à vie juste pour avoir accès à la base. Résultat : tu bosses pas pour vivre, tu bosses pour rembourser. À qui ? Aux banques, aux fonds d'investissement, aux rentiers. Les mêmes qui ne foutent rien mais qui ramassent tout.
Quand le système commence à flancher, comme en 2008 ou en septembre 2019 (sous Trump, là encore) - qu'est-ce qu'on fait ? On appelle la banque centrale, et elle fout des milliards sur la table pour éviter l'effondrement. Les responsables ? Jamais inquiétés. Les ménages ? Largués. Les services publics ? À la diète. Et après ça, ces guignols de gauchistes de merde (ceux de LFI en tête mais pas que) osent encore nous parler de “libre marché”, "d'ultralibéralisme". Il n'y a plus de concurrence, plus de discipline, plus de risque. C'est un socialisme blindé pour les riches, et un capitalisme sauvage pour tout le reste de la population.
Ce système tient grâce à l'endettement perpétuel. Tu ne peux pas rembourser ? Pas grave, on refinance, on repousse, on restructure. Ce qui compte, c'est pas que tu t'en sortes, c'est que tu restes prisonnier. Prisonnier de ton crédit immo, de tes mensualités, de ton assurance, de ta bagnole à crédit. Et comme l'État est totalement aligné avec les intérêts de la finance, aucune réforme ne vient casser cette logique. Au contraire, ils la blindent légalement.
Alors ouais, on n'a jamais été aussi loin d'un capitalisme “productif”. Ce qu'on vit, c'est un régime rentier-planificateur, où les flux d'argent sont organisés pour toujours remonter vers le haut, et où les perdants, eux, n'ont même plus le droit à la parole. Une pyramide, version 2.0. Mais tant qu'ils (l'aristocratie financière et les états) tiennent les rênes de la dette, des médias et de la monnaie, ils peuvent encore faire croire que tout ça est normal.
Fort heureusement, le communisme chinois montre aujourd'hui la voie.
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Être marxiste, comme être hégélien, c'est faire progresser la détermination concrète d'un contenu et ne pas s'en tenir à l'immédiateté première, ce que tu fais manifestement en maniant des signifiants creux. Enoncer les déterminations d'une chose ne condamne pas à la fossiliser dans la fixité du concept, un marxiste est censé le savoir.
Epargne moi ce mépris ridicule qu'aucune compétence intellectuelle ne justifie, et expose ta thèse clairement, sans te contenter de signifiants creux.
Ce que tu as fait, c'est me demander une définition, Demeurin, autrement dit la fossilisation dans "la fixité du concept".
Tu n'as pas lu Hudson, tu penses que le capitalisme est un horizon indépassable alors que ce mode de production est d'ores et déjà dépassé, tu te branles sur un jargon déconnecté de la moindre réalité matérielle et tu répètes des poncifs (notamment pseudo-écologiques) que des pseudo-intellectuels à la Lordon aiment déblatérer : tu n'es pas quelqu'un de sérieux.
Maintenant, réponds au quizz. J'ai envie de te voir t'enfoncer jusqu'au bout.
Crusibold
il y a 17 jours
Ça en dit long sur la société, pauvre planète.
Amitiés, Thérèse.
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Allez, dis-moi ce qui se passe au niveau du mode de production quand la monnaie n'est plus fondée sur l'or.
JMSNVelvet
il y a 17 jours
Ça tient en une phrase que Marx a placé dans les "Grundrisse", t'as pas d'excuses.
Lidiou
il y a 17 jours
en quoi le communisme chinois montre la voie ?
JMSNVelvet
il y a 17 jours
en quoi le communisme chinois montre la voie ?
En quoi une approche du communisme adapté à un contexte national spécifique, qui a su s'intégrer à l'économie mondialisée tout en assurant le développement des forces productives sur ses terres et le maintien d'une rigoureuse dictature du prolétariat montre la voie ? C'est ça la question ?
Lidiou
il y a 17 jours
bref il montre pas la voie du tout
vu que l'op répond pas, on s'en fout que la monnaie soit basée sur l'or ou pas
pas besoin de lire Marx par ailleurs ---> poubelle
Orwell suffit
habitanpoete
il y a 17 jours
Ce qu'on a aujourd'hui, c'est une espèce de capitalisme zombie, maintenu artificiellement en vie par les banques centrales, et qui ne tourne plus sur le travail ou l'innovation, mais sur la dette, la rente et le racket monétaire.Michael Hudson l'explique très bien dans Superimperialism : les États-Unis ont transformé la finance mondiale en un système de pillage organisé. Avec le dollar comme monnaie de réserve mondiale, ils peuvent imprimer autant de billets qu'ils veulent, balancer leur dette partout, et faire en sorte que les autres payent pour leurs conneries. Les pays étrangers achètent des bons du Trésor américains avec leur excédent commercial, pendant que l'Amérique, elle, s'endette sans limite, et vit au-dessus de ses moyens. C'est pas une économie, c'est une arnaque géopolitique à grande échelle.
Et ce modèle, il a été copié à l'intérieur même des pays occidentaux. Le but, c'est plus de produire des biens utiles, c'est de créer des bulles d'actifs (immobilier, actions, brevets, éducation, santé) pour que les gens soient obligés de s'endetter à vie juste pour avoir accès à la base. Résultat : tu bosses pas pour vivre, tu bosses pour rembourser. À qui ? Aux banques, aux fonds d'investissement, aux rentiers. Les mêmes qui ne foutent rien mais qui ramassent tout.
Quand le système commence à flancher, comme en 2008 ou en septembre 2019 (sous Trump, là encore) - qu'est-ce qu'on fait ? On appelle la banque centrale, et elle fout des milliards sur la table pour éviter l'effondrement. Les responsables ? Jamais inquiétés. Les ménages ? Largués. Les services publics ? À la diète. Et après ça, ces guignols de gauchistes de merde (ceux de LFI en tête mais pas que) osent encore nous parler de “libre marché”, "d'ultralibéralisme". Il n'y a plus de concurrence, plus de discipline, plus de risque. C'est un socialisme blindé pour les riches, et un capitalisme sauvage pour tout le reste de la population.
Ce système tient grâce à l'endettement perpétuel. Tu ne peux pas rembourser ? Pas grave, on refinance, on repousse, on restructure. Ce qui compte, c'est pas que tu t'en sortes, c'est que tu restes prisonnier. Prisonnier de ton crédit immo, de tes mensualités, de ton assurance, de ta bagnole à crédit. Et comme l'État est totalement aligné avec les intérêts de la finance, aucune réforme ne vient casser cette logique. Au contraire, ils la blindent légalement.
Alors ouais, on n'a jamais été aussi loin d'un capitalisme “productif”. Ce qu'on vit, c'est un régime rentier-planificateur, où les flux d'argent sont organisés pour toujours remonter vers le haut, et où les perdants, eux, n'ont même plus le droit à la parole. Une pyramide, version 2.0. Mais tant qu'ils (l'aristocratie financière et les états) tiennent les rênes de la dette, des médias et de la monnaie, ils peuvent encore faire croire que tout ça est normal.
Fort heureusement, le communisme chinois montre aujourd'hui la voie.
toujours des signifiants vides, découpons ce pavé insipide:
1. Pour qu'un capitalisme soit « zombie », quelles caractéristiques survivent et lesquelles se perdent ?
2. Et en quoi celles perdues seraient si essentielles au capitalisme qu'on puisse diagnostiquer le nôtre comme zombie ?
3. En quoi l'impérialisme, même « super », est-il contradictoire avec le capitalisme, comme s'il était autre chose que l'un de ses outils ?
4. « c'est pas une économie c'est une arnaque géopolitique à grande échelle », très beau style, très incisif et critique, c'est super, mais ça ne veut rien dire. L'économie n'a jamais été opposé à l'arnaque, elle repose même sur l'arnaque de l'exploitation.
4. Le but n'a jamais été de produire des « biens utiles ».... Le capital se fiche de la valeur d'usage, il ne cherche que la valeur d'échange... On dirait les économistes naïfs qui critiquent le capitalisme financier et spéculatif parce qu'il serait hors sol, complètement inutile, décorrélé de « l'économie réelle », celle « utile et productive », alors que le capitalisme n'a jamais visé la valeur d'usage mais toujours la valeur d'échange (la valeur d'usage n'existant que comme subordonnée à la valeur d'échange, la servant)... Le capitalisme financier c'est toujours du capitalisme, le capitalisme n'est pas un système au service des besoins d'une société, il est au service de lui-même et de son auto-accroissement égoïste...
5. Tu n'es pas un marxiste. Ta critique se réduit en fait à la critique libérale du capitalisme de connivence, avec sa méprise fondamentale sur la dette. Tout ce que tu sais faire c'est brandir l'insulte gauchiste à tout va comme le dernier des droitardés, même pas dans le sens de notre glorieuse tradition.
6. Je répéte: la concurrence libre et non faussée, le libre marché non-monopolistique n'est pas une caractéristique essentielle du capitalisme. Le capitalisme a au contraire pour propre la formation de monopoles...
Ton pavé copié/collé dogmatique ne justifie rien et se contente de manier des signifiants vides.
Lidiou
il y a 17 jours
En quoi une approche du communisme adapté à un contexte national spécifique, qui a su s'intégrer à l'économie mondialisée tout en assurant le développement des forces productives sur ses terres et le maintien d'une rigoureuse dictature du prolétariat montre la voie ? C'est ça la question ?
heu oui
en quoi ça résout les problématiques de :
dettes
climat
future apocalypse
Jorek
il y a 17 jours
JMSNVelvet
il y a 17 jours
bref il montre pas la voie du tout
vu que l'op répond pas, on s'en fout que la monnaie soit basée sur l'or ou pas
pas besoin de lire Marx par ailleurs ---> poubelle
Orwell suffit
Il montre la voie du progrès et des possibilités de développement pour l'humanité.
Le fait que la monnaie soit fondée sur l'or ou non est absolument crucial pour comprendre l'économie.
Orwell était une poucave du gouvernement britannique et un auteur médiocre.
Lidiou
il y a 17 jours
Lidiou
il y a 17 jours
Il montre la voie du progrès et des possibilités de développement pour l'humanité.
Le fait que la monnaie soit fondée sur l'or ou non est absolument crucial pour comprendre l'économie.
Orwell était une poucave du gouvernement britannique et un auteur médiocre.
j'ai déjà entendu ça mais en tant qu'auteur il n'est pas médiocre
Dans la dèche à Paris et Londres, bon roman, pour ne pas citer les connus
le fait de baser la monnaie sur le bitcoin ne change en rien la problématique de monopolisation des richesses par une caste
habitanpoete
il y a 17 jours
Ce que tu as fait, c'est me demander une définition, Demeurin, autrement dit la fossilisation dans "la fixité du concept".
Tu n'as pas lu Hudson, tu penses que le capitalisme est un horizon indépassable alors que ce mode de production est d'ores et déjà dépassé, tu te branles sur un jargon déconnecté de la moindre réalité matérielle et tu répètes des poncifs (notamment pseudo-écologiques) que des pseudo-intellectuels à la Lordon aiment déblatérer : tu n'es pas quelqu'un de sérieux.
Maintenant, réponds au quizz. J'ai envie de te voir t'enfoncer jusqu'au bout.
1. C'est bien tu joues sur les mots, tu es très intelligent. Mais la méprise n'est plus permise, je t'ai demandé de déterminer les termes que tu emploies, tu en es incapable.
2. je ne pense pas que le capitalisme soit un horizon indépassable
3. tu n'as toujours pas déterminé le « capitalisme » et montré son actuel dépassement
4. tu attaques mon « jargon » sur lequel je me branlerais pour éviter de répondre au texte, tu es un petit sophiste ridicule. Ta critique ne porte sur rien de concret, tu évoques (« pseudo-écologique » ?) parce que tu es incapable de lire et de répondre, illettré sophiste et anti-intellectualiste que tu es. Tu m'attaques personnellement en m'associant à d'autres personnes, jamais tu ne réponds sur le fond.
Tu te ridiculises....
Lidiou
il y a 17 jours
Ouai on peut dire qu'il a gagné mais l'adversaire était facile
PAPAPMM
il y a 17 jours
JMSNVelvet
il y a 17 jours
En quoi une approche du communisme adapté à un contexte national spécifique, qui a su s'intégrer à l'économie mondialisée tout en assurant le développement des forces productives sur ses terres et le maintien d'une rigoureuse dictature du prolétariat, montre la voie ? C'est ça la question ?
Le PCC est un parti révisioniste et bourgeois qui a abandonné la ligne de la dictature du prolétariat en 2003 quand Jiang Zemin a proclamé la politique des "Trois Représentations"
JMSNVelvet
il y a 17 jours
1. Pour qu'un capitalisme soit « zombie », quelles caractéristiques survivent et lesquelles se perdent ?
Dix ans pour aboutir d'une réponse médiocre.
Le peu que j'ai mis en lumière devrait te suffire à saisir ou au moins avoir une idée suffisante de ce qui a changé de manière fondamentale au sein du mode de production mais t'es le genre de déficient qui parle ouzbek quand on lui demande d'expliquer les conséquences de l'abandon de l'étalon or.
Si un mode de production n'est plus fonde sur l'extraction du capital mais celle de la rente, qu'en déduire sur le mode de production ?
Le mec s'est arrêté au titre d'un des livres les plus complets pour comprendre l'hégémonie américaine, réédités plusieurs fois et la dernière au début de la décennie, pour poser une autre question stupide.
Depuis quand "l'impérialisme" est un outil du MDP capitaliste ? Lénine le décrivait comme un simple outil ou comme "le STADE SUPRÊME du capitalisme" ?
Le terme important est "géopolitique à grande échelle", demeurin.
SUBHANALLAH
ALORS JE VAIS LA FAIRE COURTE PARCE QUE JE RESPIRE PLUS LÀ :
-DÉJÀ, T'AS ÉCRIT DEUX POINTS "4"
-ENSUITE, LA DISTINCTION TRAVAIL PRODUCTIF ET IMPRODUCTIF EST ABSOLUMENT CRUCIAL DANS LE MODE DE PRODUCTION CAPITALISTE PARCE QUE LE TRAVAIL PRODUCTIF EST JUSTEMENT... LE TRAVAIL QUI PRODUIT ET REPRODUIT LE CAPITAL
-QUELLE CLASSE OPÈRE DANS LA SPHÈRE PRODUCTIVE ? LE PROLÉTARIAT
-EST-CE QUE TU COMMENCES À PIGER, DEMEURIN ? TA RÉPONSE TÉMOIGNE DE DEUX CHOSES : TU N'AS PAS LU LE CAPITAL ET EN CONSÉQUENCE, TOUT TON DISCOURS EST UN ÉPOUVANTAIL RHÉTORIQUE RIDICULE
Je t'ai demandé quelle était la conséquence du découplement de l'argent et de l'or (pour reformuler ça de manière très vulgaire, histoire que ton cerveau atrophié saisisse). Si pour toi, ce "découplement" n'a pas d'importance et ne nous renseigne pas sur la place fondamentale de la dette dans le MDP actuel, QU'EST-CE QUE TU FOUS À PARLER DE MARXISME AVEC MOI, YA WILD EL KELB ?
Cool, t'inquiète, j'ai lu Marx, Engels et Lénine contrairement à toi mais concentre-toi : tu réponds à nouveau à côté.
Après le ramassis de stupidités qu'est ta réponse, je pense qu'une telle remarque relève d'une inversion accusatoire.
JMSNVelvet
il y a 17 jours
That labourer alone is productive, who produces surplus-value for the capitalist, and thus works for the self-expansion of capital. If we may take an example from outside the sphere of production of material objects, a schoolmaster is a productive labourer when, in addition to belabouring the heads of his scholars, he works like a horse to enrich the school proprietor. That the latter has laid out his capital in a teaching factory, instead of in a sausage factory, does not alter the relation.
L'AUTRE JE LUI PARLE DE TRAVAIL PRODUCTIF, IL COMPREND DIRECT VALEUR D'USAGE PARCE QUE SA COMPRÉHENSION DU MARXISME S'ARRÊTE À UN ARTICLE WIKIPÉDIA MAL DIGÉRÉ
ET LES DEMI-ILLÉTTRÉS DERRIÈRE OSENT DIRE QU'IL A VAINCU ?
Capital, Vol. 1 ch. 16
Capital, vol. 2, chap. 5/6
ATTEND, LIS BIEN, DEMEURIN :
Grundrisse, carnet 3
DONC TU PEUX ME DIRE COMMENT UNE ÉCONOMIE FONDÉE SUR DU TRAVAIL IMPRODUCTIF DONC DU TRAVAIL QUI NE PRODUIT PAS DU CAPITAL D'APRÈS MARX PEUT ÊTRE CAPITALISTE ?
JMSNVelvet
il y a 17 jours
1. C'est bien tu joues sur les mots, tu es très intelligent. Mais la méprise n'est plus permise, je t'ai demandé de déterminer les termes que tu emploies, tu en es incapable.
2. je ne pense pas que le capitalisme soit un horizon indépassable
3. tu n'as toujours pas déterminé le « capitalisme » et montré son actuel dépassement
4. tu attaques mon « jargon » sur lequel je me branlerais pour éviter de répondre au texte, tu es un petit sophiste ridicule. Ta critique ne porte sur rien de concret, tu évoques (« pseudo-écologique » ?) parce que tu es incapable de lire et de répondre, illettré sophiste et anti-intellectualiste que tu es. Tu m'attaques personnellement en m'associant à d'autres personnes, jamais tu ne réponds sur le fond.Tu te ridiculises....
Eh, mon grand, je viens de te foutre à poil. J'ai même pas besoin de répondre à tes bulletpoints de gauchiste émasculé. Ton post précédent à suffit à lui seul à prouver que TU IGNORAIS CE QU'ÉTAIT LE TRAVAIL PRODUCTIF AU SEIN DU MODE DE PRODUCTION CAPITALISTE, c'est-à-dire le travail dont dépend LA REPRODUCTION MÊME DE CE MODE DE PRODUCTION CAPITALISTE.
Lidiou
il y a 17 jours
mais de quoi il parle pourquoi il crie ?
Lidiou
il y a 17 jours
en tous cas, c'est bien un communiste, y'a pas de doute
iceskimo
il y a 17 jours
mais de quoi il parle pourquoi il crie ?
c'est un des derniers zinzins du forum
on le voit souvent dès que ça parle d'économie le type part dans des pavés d'insultes à chaque fois à achque réponse on dirait un bot mais non il est juste taré
JMSNVelvet
il y a 17 jours
mais de quoi il parle pourquoi il crie ?
Je vais la faire simple parce que je sais que tu n'es pas le couteau le plus aiguisé du tiroir. Je dirais même que t'as la fonction d'une cuillère, à ce stade.
L'auteur - qui vient de fuir son topic comme le pleutre émasculé qu'il est - prétendait me donnait des leçons sur ma compréhension du marxisme. Or donc sa réponse pleine de suffisance, loin de me corriger, a trahi une incompréhension et une méconnaissance profonde des écrits de Marx sur ce qu'est le Capital.
Quand j'ai parlé de "travail productif", ce paumé a cru que je parlais de "valeur d'usage" (grosso modo, la valeur accordé à un objet selon sa fonction) sauf que je me référais à un concept fondamental qui décrit le travail produisant et reproduisant le capital, le travail qui participe à l'expansion du mode de production capitaliste. Cette erreur fondamentale n'aurait jamais pu être celle d'un lecteur attentif des trois volumes "Capital" de Karl Marx. J'ai donc mis en lumière ses mensonges et sa malhonnêteté intellectuelle.
JMSNVelvet
il y a 17 jours
c'est un des derniers zinzins du forum
on le voit souvent dès que ça parle d'économie le type part dans des pavés d'insultes à chaque fois à achque réponse on dirait un bot mais non il est juste taré
C'est faux.
Je ne parle d'économie que pour discourir sur le communisme, le mode de production capitaliste et le mode de production actuel (ce qui consiste à en parler autrement qu'avec des termes de petits étudiants en écoles de commerce). Je discute assez peu d'économie avec les autres membres du forum quand ça s'écarte de ces sujets.
Bardepala
il y a 17 jours
La France est un musée pour la jeunesse africaine et les adultes américains
Lidiou
il y a 17 jours
oui mais pourquoi à ton avis je dis Marx --> poubelle ?
qu'est-ce que t'as pas compris dans La ferme des animaux et lequel des cochons de l'histoire te semble-tu jouer ?
JMSNVelvet
il y a 17 jours
oui mais pourquoi à ton avis je dis Marx --> poubelle ?
qu'est-ce que t'as pas compris dans La ferme des animaux et lequel des cochons de l'histoire te semble-tu jouer ?
Tu dis ça parce que t'as pas lu Marx (comme l'auteur). Tu préfères te fonder sur ce qu'en disent des déchets qui ne l'ont pas lu (comme l'auteur).
Je m'identifie mieux aux hommes. Je te laisse jouer à une version orwellienne de "qui suis-je ?" fondée sur un livre médiocre.
habitanpoete
il y a 17 jours
Dix ans pour aboutir d'une réponse médiocre.Le peu que j'ai mis en lumière devrait te suffire à saisir ou au moins avoir une idée suffisante de ce qui a changé de manière fondamentale au sein du mode de production mais t'es le genre de déficient qui parle ouzbek quand on lui demande d'expliquer les conséquences de l'abandon de l'étalon or.
Si un mode de production n'est plus fonde sur l'extraction du capital mais celle de la rente, qu'en déduire sur le mode de production ?
Le mec s'est arrêté au titre d'un des livres les plus complets pour comprendre l'hégémonie américaine, réédités plusieurs fois et la dernière au début de la décennie, pour poser une autre question stupide.
Depuis quand "l'impérialisme" est un outil du MDP capitaliste ? Lénine le décrivait comme un simple outil ou comme "le STADE SUPRÊME du capitalisme" ?Le terme important est "géopolitique à grande échelle", demeurin.
SUBHANALLAH
ALORS JE VAIS LA FAIRE COURTE PARCE QUE JE RESPIRE PLUS LÀ :-DÉJÀ, T'AS ÉCRIT DEUX POINTS "4"
-ENSUITE, LA DISTINCTION TRAVAIL PRODUCTIF ET IMPRODUCTIF EST ABSOLUMENT CRUCIAL DANS LE MODE DE PRODUCTION CAPITALISTE PARCE QUE LE TRAVAIL PRODUCTIF EST JUSTEMENT... LE TRAVAIL QUI PRODUIT ET REPRODUIT LE CAPITAL
-QUELLE CLASSE OPÈRE DANS LA SPHÈRE PRODUCTIVE ? LE PROLÉTARIAT
-EST-CE QUE TU COMMENCES À PIGER, DEMEURIN ? TA RÉPONSE TÉMOIGNE DE DEUX CHOSES : TU N'AS PAS LU LE CAPITAL ET EN CONSÉQUENCE, TOUT TON DISCOURS EST UN ÉPOUVANTAIL RHÉTORIQUE RIDICULE
Je t'ai demandé quelle était la conséquence du découplement de l'argent et de l'or (pour reformuler ça de manière très vulgaire, histoire que ton cerveau atrophié saisisse). Si pour toi, ce "découplement" n'a pas d'importance et ne nous renseigne pas sur la place fondamentale de la dette dans le MDP actuel, QU'EST-CE QUE TU FOUS À PARLER DE MARXISME AVEC MOI, YA WILD EL KELB ?
Cool, t'inquiète, j'ai lu Marx, Engels et Lénine contrairement à toi mais concentre-toi : tu réponds à nouveau à côté.
Après le ramassis de stupidités qu'est ta réponse, je pense qu'une telle remarque relève d'une inversion accusatoire.
1. D'accord donc le capitalisme c'est l'étalon-or, et sans l'étalon-or donc on a plus de capitalisme. Vu le ridicule de la réponse, tu aurais mieux fait de continuer dans la stratégie du flou et des signifiants vides. J'attends la démonstration. En attendant, l'essentiel du capitalisme, c'est l'accumulation du capital, et son mouvement argent-marchandise-plus d'argent, en vue du profit, par l'exploitation d'une main d'oeuvre prolétarisée
2. Ton discours est complètemet hors-sol: le mode de production actuelle maintient l'extraction de survaleur. et son mouvement a-m-a'.. Il n'est pas « fondé » sur la rente, c'est seulement un des aspects de son fonctionnement, mais un aspect inessentiel par rapport à l'exploitation du travail.
3. L'impérialisme est depuis qu'il existe l'outil du capitalisme...? Lénine a montré sa fonction au temps de la Grande Guerre: ouvrir de nouveaux marchés extérieurs absorbant le surplus de capitaux financiers d'un capitalisme national déjà comblé de monopoles. L'impérialisme n'a jamais été une dynamique contraire au capitalisme, c'est l'outil d'un ou plusieurs capitalismes spécifiques contre d'autres. Tu joues encore sur les mots, que l'impérialisme soit l'outil du capitalisme ou une période historique (le capitalisme impérialiste qui succède au capitalisme de libre-concurrence) c'est la même chose.
4. Toujours pareil, tu réponds à rien, tu esquives et tu insultes, habile.
5. Je ne faisais pas référence à la distinction marxienne entre travail productif, qui produit de la survaleur et valorise le capital, et travail improductif. J'évoquais clairement et simplement l'opposition doxique entre économie réelle et productive et économie financière et spéculative. Bien sûr les deux économies s'opposent, mais le problème de l'opposition est d'ignorer que dans les deux cas, on a affaire au capitalisme, c'est-à-dire un système qui se fiche de la valeur d'usage, l'utilité d'un bien produit, ou ne la considère qu'en second lieu, subordonnée à la valeur d'échange, qui seule détermine l'orientation d'une production. C'est la valeur d'échange qui dicte les sphères de production que le capital investit. Bref, ta critique est HS, tu n'as pas su me lire et tu réponds à côté de la plaque.
6. Tes petites insultes de pouacre méprisable ne changent rien à ce que j'ai dit. Ta critique c'est une version modifiée de la critique débile et libérale du crony capitalism.
7. Je répéte: le capitalisme a pour principe l'exploitation du travail par le capital en vue du profit. L'exploitation subsiste, le capitalisme est donc toujours notre mode de production...
8. Tu répètes dogmatiquement que le découplement or-argent est primordial pour comprendre le mode de production. Démontre le, tu en as été incapable jusqu'ici (répéter la même affirmation dogmatiquement =/= démontrer)
habitanpoete
il y a 17 jours