Le problème avec l'Europe

OP
A1

acedique10

il y a 2 mois

salut les kheys je vous dis le problème avec l'Europe voilà le problème est le suivant il y a trop de petits pays bordel. Ma solution est la suivante, il faut un gros chef, je propose le pape (je suis meme pas chrétien), voilà le papa devient une sorte d'empereur, après comme dans crusader kings tu lui donnes des royaumes vassaux, bon on a pas le temps de revenir comme dans crusader kings donc on prend les nations tah entités de natifs, et pour rappel il faut moins de pays parce que 30 a la table ça va cinq minutes aya, déjà le Portugal et l'Espagne ça fusionne désolé c'est comme si la Bretagne et la Normandie continuait de se foutre sur la gueule #enfet, pareil l'Irlande pete pas les couilles et rejoint la GB, la Belgique se fait absorber par la France, d'ailleurs la France pousse ses frontières jusqu'au Rhin, bouffe un bout des pays bas, l'Allemagne prend le reste, la Suisse se fait bouffer par Italie/France/Allemagne, Autriche rejoint Allemagne, les pays scandinaves forment un seul pays sah pourquoi ils petent encore les couilles ? Les balkans créent un gros pays du Danube à Istanbul, bref vous voyez l'idée. Comme ça on a un big boss (le pape, c'est au moins stylé) et on a quelques vassaux (7-8 max) qui en imposent, genre la France a plus besoin de s'assoir a côté de la belgique quoi. Tu fais un bon conseil de guerre avec quelques vassaux et le pape non ? Et voilà to the moon

OP
A1

acedique10

il y a 2 mois

Up c'est la solution non?

OP
A1

acedique10

il y a 2 mois

Up c'est la solution non?

OP
A1

acedique10

il y a 2 mois

Qui est d'accord

OP
A1

acedique10

il y a 2 mois

Quelqu'un est d'accord ?
GM

GarbageMan

il y a 2 mois

Aère ton texte déjà, c'est illisible là
OP
A1

acedique10

il y a 2 mois


Aère ton texte déjà, c'est illisible là

    • Une réflexion géopolitique sur la fragmentation européenne et la nécessité d'une consolidation structurelle**

L'Europe contemporaine souffre d'une fragmentation institutionnelle et territoriale excessive, qui entrave son efficacité diplomatique et stratégique sur la scène internationale. Avec un nombre trop élevé d'entités étatiques, la prise de décision collective devient laborieuse, voire paralysante. Il est donc impératif d'envisager une restructuration profonde de l'architecture politique du continent, fondée sur une rationalisation des entités souveraines et une centralisation accrue du pouvoir.

Une solution pertinente consisterait à instituer une figure d'autorité supranationale, dotée d'une légitimité morale et historique incontestable. En ce sens, le pontife romain, bien que dépourvu aujourd'hui d'une influence politique directe, pourrait incarner un souverain symbolique, garant d'une unité restaurée. Dans un tel schéma, l'Europe serait réorganisée en un ensemble de grandes entités régionales vassales, calquées sur des réalités historiques et culturelles consolidées.

Par souci d'efficacité, certaines fusions étatiques s'imposeraient : l'Espagne et le Portugal, partageant un héritage historique commun, formeraient une seule entité ibérique. De même, l'Irlande rejoindrait le Royaume-Uni, mettant un terme à une partition devenue obsolète à l'ère de l'intégration européenne. La Belgique, en tant qu'anomalie historique du XIXe siècle, serait intégrée à la France, qui étendrait par ailleurs son influence jusqu'au Rhin, absorbant certaines régions frontalières des Pays-Bas et d'Allemagne. Cette dernière, de son côté, unifierait les territoires germaniques, englobant l'Autriche dans un projet pan-germanique rénové. La Suisse, en raison de sa nature hybride, serait divisée entre la France, l'Italie et l'Allemagne. Enfin, la Scandinavie, dont les divisions internes paraissent artificielles au regard de leur homogénéité culturelle et politique, constituerait un seul et même État unifié.

Les Balkans, quant à eux, constitueraient un vaste ensemble politico-administratif s'étendant des rives du Danube jusqu'à Istanbul, rétablissant ainsi une cohérence stratégique dans cette région historiquement fragmentée. À l'issue de ce processus, l'Europe se retrouverait structurée en un ensemble restreint de sept ou huit grandes puissances vassales, sous l'égide d'un pouvoir centralisé incarné par un souverain pontifical réinventé en monarque suprême d'un nouvel ordre impérial européen.

Une telle réforme, en réduisant le nombre d'interlocuteurs au sein des instances décisionnelles, permettrait une meilleure fluidité des échanges diplomatiques et une rationalisation des mécanismes de gouvernance. Loin d'être une utopie médiévale, ce projet s'inscrit dans une perspective de consolidation géopolitique, visant à restaurer la prééminence de l'Europe sur l'échiquier mondial.