La course aux bonnes notes pousse les élèves à se conformer à un modèle archaïque, les orientant vers des carrières souvent inutiles ou condamnées à disparaître avec les progrès technologiques, notamment l'intelligence artificielle. La note est un critère de crétin qui transforme les élèves en poissons dans un bocal, obsédés par la comparaison et la compétition, au lieu de développer des compétences coopératives et utiles.
L'école, dans sa forme actuelle, sera balayée par la révolution technologique qu'apportera l'IA, car elle est incapable de préparer les élèves aux défis futurs. Les professions d'aujourd'hui deviendront obsolètes, et même la notion de profession elle-même risque de perdre tout son sens. La seule manière de survivre dans ce monde en mutation sera d'acquérir des compétences comme l'agilité mentale et l'autonomie, des qualités que l'école échoue à enseigner.
L'éducation nationale est finalement à l'image de la France, comme un géant bureaucratique qui s'autocongratule et se protège de toute remise en question.
En tant que monopole, elle empêche l'émergence d'alternatives éducatives innovantes. Malgré les arguments contre le libéralisme sauvage, l'absence de concurrence maintient l'école publique dans un état de stagnation dramatique, au détriment des générations futures.
L'école est aujourd'hui une nef des fous, un vaisseau perdu sans direction, où l'on discute et débat en musique, sans jamais avancer.
Elle forme des esprits dociles et conformistes, incapables de s'adapter aux réalités d'un monde en mutation