Le pavé : SpoilAfficherMasquerL'éducation nationale est un système "rotatif" qui "se nourrit de lui-même", avec une dynamique de fermeture intellectuelle. Il y'a une stagnation des méthodes éducatives, et la répétition des mêmes schémas par une génération d'enseignants qui forme les nouvelles sans remise en question des pratiques
Cette image d'un système autocentré, qui refuse toute intervention extérieure ou innovation, s'apparente à la notion d'"institution insulaire", où l'isolement et la reproduction des mêmes pratiques freinent toute évolution.
L'école ne développe chez les élèves aucune des qualités comme l'esprit critique, la créativité, ou la collaboration, qui seraient pourtant essentielles dans la société contemporaine.
Le système d'évaluation scolaire, est figé et peu représentatif des compétences nécessaires à la vie moderne. (A part si l'on souhaite un modèle de société fait de cage à lapins et de bétail bon pour le tertiaire)
En fait, la réussite dans le système actuel est mesurée par des critères crétins qui ne valorisent que la capacité à régurgiter des connaissances.
Les élèves sont comme des créatures enfermées dans un aquarium, dont la seule valeur réside dans leur capacité à grossir, c'est-à-dire à assimiler mécaniquement ce qui leur est enseigné.
Chaque élève devrait être encouragé à développer ses talents spécifiques plutôt que de suivre un parcours uniformisé et normatif
L'école est une machine rotative basée sur le clonage des enseignants. L'institution est inapte à encourager des changements ou des approches pédagogiques novatrices.
Cette inertie institutionnelle, est responsable de la formation en masse d'élèves incapables de développer une vision critique du monde
Le système éducatif français, en particulier l'enseignement des mathématiques, ne forme pas des esprits critiques ou créatifs. Au contraire, il produit des clones disciplinés, des individus programmés à reproduire mécaniquement des réponses préformatées, sans développer de réelles compétences intellectuelles ou humaines. L'école se focalise sur des tâches répétitives et solitaires qui ne préparent en rien à la vie réelle. Ainsi, être bon en mathématiques à l'école ne rend pas "moins con", mais simplement "capable de régurgiter ce qu'on a appris".
L'école est telle que c'est devenu une institution close sur elle-même, où les enseignants forment des enseignants qui, à leur tour, reproduisent les mêmes schémas. Ce processus, empêche toute remise en question et innovation. Les professeurs ne sont ni clairvoyants, ni adaptatifs, ni créatifs alors que ce sont des qualités essentielles dans un monde en mutation rapide avec l'iA, mais des agents d'un système figé qui tourne en rond sans fin.
La course aux bonnes notes pousse les élèves à se conformer à un modèle archaïque, les orientant vers des carrières souvent inutiles ou condamnées à disparaître avec les progrès technologiques, notamment l'intelligence artificielle. La note est un critère de crétin qui transforme les élèves en poissons dans un bocal, obsédés par la comparaison et la compétition, au lieu de développer des compétences coopératives et utiles.
L'école, dans sa forme actuelle, sera balayée par la révolution technologique qu'apportera l'IA, car elle est incapable de préparer les élèves aux défis futurs. Les professions d'aujourd'hui deviendront obsolètes, et même la notion de profession elle-même risque de perdre tout son sens. La seule manière de survivre dans ce monde en mutation sera d'acquérir des compétences comme l'agilité mentale et l'autonomie, des qualités que l'école échoue à enseigner.
L'éducation nationale est finalement à l'image de la France, comme un géant bureaucratique qui s'autocongratule et se protège de toute remise en question.
En tant que monopole, elle empêche l'émergence d'alternatives éducatives innovantes. Malgré les arguments contre le libéralisme sauvage, l'absence de concurrence maintient l'école publique dans un état de stagnation dramatique, au détriment des générations futures.
L'école est aujourd'hui une nef des fous, un vaisseau perdu sans direction, où l'on discute et débat en musique, sans jamais avancer.
Elle forme des esprits dociles et conformistes, incapables de s'adapter aux réalités d'un monde en mutation
TD;LR : SpoilAfficherMasquer Lis ou cancer sale fainéant
Conclusion : SpoilAfficherMasquerPost ou tumeur

Post sale enfoiré