sont le signe d'une société malade dont les hommes n'arrivent plus à subvenir à leurs besoins naturels de pouvoir et d'accomplissement et se réfugient dans des solutions de suppléance pour ne pas sombrer dans la dépression la plus totale.

Les hommes d'il y a 1 siècle n'avaient pas besoin de divertissement pour subvenir à leurs besoins : ils avaient un travail qui avait du sens, une femme qui leur était dévouée, une maison qui leur appartenait, une communauté locale soudée à laquelle il contribuait, etc.

L'homme moderne, lui, n'a ni travail satisfaisant, ni femme loyale, ni maison propre, ni communauté locale. Il est dans un état de frustration permanente et est incapable de pourvoir à ses besoins naturels.

L'homme a toujours eu du divertissement. Ton fantasme sur l'homme du siècle dernier est erroné tout comme celui sur l'homme moderne.

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