C'est plutôt l'inverse il n'y a pas de vraie gauche en France

Ce culot alors que c'est toi qui a posé un bulletin Macron. Va falloir assumer les actes de tes petits copains et arrêter de te cacher derrière des faux semblants.

Non je n'ai pas posé de bulletin Macron je sais même pas où c'est la mairie de quoi tu parles ?

Faudrait sortir de ta chambre pour ça

Tout commence en 1951, sous le soleil éclatant de Tanger, là où le vent sent la coriandre, l'essence de mobylette et la clope sans filtre. Petit Jean-Luc, 3 ans et demi, déjà légèrement en colère contre l'autorité parentale, déambulait en sandales dans les ruelles de la médina, une sucette à la main et le regard chargé de projets révolutionnaires.

C'est là qu'il la vit.

Fatima.

5 ans, deux couettes mal tressées, des yeux plus noirs que le pétrole d'Oran, et surtout : un regard qui disait "je vais te mener par le bout du nez jusqu'à la fin de ta vie, habibi". Coup de foudre instantané. Le genre de révélation qui, chez certains, déclenche des vocations de poète, et chez d'autres... une passion éternelle pour les beurettes.

Fatima lui avait appris deux choses fondamentales :
- La vie est une lutte.
- Le couscous, c'est sacré.

Dès lors, à chaque tabassée dans la cour de l'école française (car Jean-Luc, pourtant bagarreur, se faisait défoncer par des gamines qui avaient 30 frères prêts à venir en renfort), il associait étrangement douleur et affection, dans un cocktail neurochimique totalement inexplicable par la science moderne.

À 12 ans, alors que d'autres rêvaient d'Américaines blondes aperçues dans des pin-up calendars, Méluche collait dans son cahier de textes des photos découpées dans Femmes d'Aujourd'hui : Fadila, Samira, Zineb, toutes plus rebeus les unes que les autres. Sa mère, dépassée, ne comprenait pas. Son père, stoïque, pensait que c'était juste une phase.

Mais non.

Le processus était irréversible.

Là où d'autres voyaient la Méditerranée, Mélenchon voyait un harem potentiel.

Toute sa vie politique, en réalité, est une vaste quête symbolique pour reconquérir cette Fatima mythique : défendre les pauvres ? Normal, Fatima était pauvre. Lutter contre les inégalités ? Fatima avait pas de cartable, elle. Soutenir les sans-papiers ? Fatima n'avait même pas de carte d'identité à 5 ans.

Chaque meeting de Mélenchon, chaque tirade passionnée, n'est qu'une déclaration d'amour cryptée adressée à une armée de Fatima fantasmées.

Et chaque fois qu'on lui parle d'intégration, il se perd quelques secondes dans ses souvenirs de Tanger, entre deux odeurs de merguez et de lilas poussiéreux.

Car au fond, Mélenchon ne veut pas seulement changer la France.
Il veut retrouver Fatima.

Oui oui c'est ça. Le mec va passer la matinée à défendre LFI mais il n'est pas de ce parti fantoche. Quand on pose un bulletin Macron, faut assumer d'avoir voter pour lui et pas dire : "c'est pas moi, c'est les autres".

Les prolos qui votent à droite c'est comme les simp avec les 10/10

Oublie pas de t'essuyer, il te reste un peu de sperme de Bernard sur le coin de la bouche

Comme les multidosed qui font l'autruche quand on leur parle du pass