Corriger j'étais vexer de la moquerie.

En topologie et en physique, le temps peut être vu comme une structure qui se comprend elle-même, ce qui signifie qu'il doit nécessairement conserver une certaine cohérence. La flèche du temps, souvent représentée comme une droite, ne fonctionne pas de la même manière en topologie qu'en géométrie classique.

Si l'on considère le temps (les droites, et le reste de tout ce qui existe, les droites, comparable aux chaînes d'évènements d'ailleurs) comme une série de bulles d'entropie (Ou espace topologique) mises bout à bout, alors le passage du présent au futur ne dépend pas d'un changement de valeurs d'énergie globale (Impossible pour un milieu qui ce comprend lui même ainsi que tout ce qui existe), mais plutôt d'un changement d'état. Ce passage pourrait être vu comme une factorisation et une défactorisation, une transformation qui maintient la cohérence interne de l'univers tout en permettant son évolution.

Dans un tel cadre, il n'existe aucun monde où le futur pourrait avoir une valeur fondamentalement différente du présent tout en restant dans un espace qui se comprend lui-même. Pourtant, c'est précisément à travers son développement que cette différence devient nécessaire : le futur doit émerger d'une transformation du présent pour que l'univers puisse exister et se déployer.

Il y a donc une distinction entre la perception conceptuelle du temps (ce que nous en pensons, la façon dont nous le définissons mentalement) et sa manifestation contextuelle (ce que nous expérimentons dans la matière). Ce que nous appelons "passé", "présent" et "futur" ne sont peut-être que des aspects d'un même ensemble, vus sous différents angles selon notre point de référence.

Ce que je dis être des bulles d'entropies sont comparables je pense, as des espaces topologiques.

7.

osef, va prendre ton traitement le schyzo

Je suis pas schyzo et j'ai jamais eu de traitement.