Aucune femme à la naissance ne rêve de faire carrière dans une corporation et de réprimer ces instincts de maternité pour boucler dans un open space

Deja qu'aucun homme saint n'en rêve....

La femme moderne est une fabrication récente, un être conditionné qu'on prétend libéré pour consommer tout aussi fortement que l'homme

Résultats salaires divisés par deux, chute de la natalité, relations amoureuses marchandisés

La femme est invitée se pervertir aussi fréquemment qu'elle le veut

Le capital a réussi à ma convaincre que sa valeur ne réside plus dans sa pudeur, sa chasteté, son côté maternel, son caractère de maîtresse de maison mais plutôt dans sa capacité à consommer aussi fortement qu'un homme

Résultat la femme au foyer, la mère aimante qui forge un enfant et s'y consacre est devenu une anomalie sociétale en occident

On préfère prôner la carrieriste libéré qui est prête à sacrifier toute une vie de fertilité procréatrice pour accumuler du patrimoine

Puis se rendre compte à 50 piges qu'elle n'a rien ni personne à qui léguer ce patrimoine

Entraînant l'homme dans cette chute émasculé devenu adulescant me mettant aussi à renier ses capacités reproductrices pour s'adonner à l'hédonisme

Croyant que "c'est chiant de faire des enfants" passant son temps et gaspillant sa force vitale entre le travail pour un salaire de misère divisé par deux à cause de l'intrusion de l'autre sexe dans le monde du travail des passions futiles et sa recherche d'une compagne moderne qui l'emasculera en lui rappelant sans cesse qu'il travaille pour rien puisque qu'elle en fait autant et que le temps doit être consacré non pas la préparation d'une descendantce à qui léguer mais à des plaisirs égoïstes juste à la mort

Bref une vie ou plus tôt deux vies futiles sans aucun sens au service de la consommation et de l'enrichissement du grand capital