https://www.laprovence.com/article/societe/8700313188714214/cest-comme-une-epee-de-damocles-en-un-an-il-doit-changer-deux-fois-le-moteur-1-2-puretech-de-sa-citroen

C'est l'histoire touchante d'un homme, un Norwood 4, qui pensait avoir acheté une voiture fiable avec sa '''''''''Citroën PureTech'''. Deux moteurs explosés plus tard, il réalise qu'il est en fait un heureux privilégié : '''avec seulement trois moteurs changés par an, il se situe dans la moyenne basse des propriétaires de PureTech. '''“C'est presque une chance,” confie-t-il, un sourire nerveux sur le visage et des '''factures longues comme sa calvitie.'''

Un moteur par saison : la nouvelle routine PureTech

Avec son moteur 1.2 PureTech, ce Norwood 4 vit une expérience unique que seuls les propriétaires Stellantis peuvent comprendre. “C'est comme un abonnement Netflix, mais pour moteurs,” plaisante-t-il. Tous les quatre mois, c'est le même rituel : voyant moteur qui clignote, bruit suspect, puis explosion magistrale du bloc. Le garagiste, désormais intime avec lui, lui a même offert une carte de fidélité : “Au dixième moteur changé, le onzième est offert,” raconte-t-il avec ironie.

Pour financer ses changements de moteur, il a dû prendre des décisions radicales. Sa dernière trouvaille ? Revendre ses racines de cheveux en Turquie. “J'ai plus grand-chose à perdre de ce côté-là, alors autant transformer ma calvitie en cash,” dit-il en caressant son crâne désormais aussi lisse que le plan marketing de Stellantis. Grâce à cette opération, il a pu payer son dernier moteur, tout en finançant une vidange supplémentaire pour préparer la prochaine panne.

Un moteur fiable, mais pour Stellantis seulement

Les experts sont formels : avec trois moteurs changés par an, ce Norwood 4 est en dessous de la moyenne haute des propriétaires PureTech, qui culminent à cinq moteurs par an. Stellantis, de son côté, continue de qualifier le moteur PureTech de “révolutionnaire”. Et ils ont raison : aucun moteur n'a jamais révolutionné les statistiques des garagistes autant que celui-ci.

À force de fréquenter les garages, ce Norwood 4 a même envisagé de louer un espace de coworking chez son concessionnaire Citroën. “Au moins, je serais sur place quand le prochain moteur lâchera,” plaisante-t-il, mi-figue mi-pleurs. Il ne reste plus qu'à espérer que sa prochaine courroie de distribution tienne jusqu'à Noël.

Conclusion :

Avec des moteurs PureTech qui lâchent aussi souvent que ses cheveux, ce Norwood 4 est devenu le symbole de la fidélité des clients Stellantis. En attendant, il conseille aux futurs acheteurs de prévoir un budget annuel pour les moteurs, équivalent à celui d'une Rolex Daytona. Mais au moins, il garde le sourire : “Je pourrais avoir pire. Je pourrais rouler en PureTech ET perdre mes cheveux… Oh, attendez, c'est déjà le cas.”