Ma bagnole, ce n'est pas une simple Lexus. Non. C'est un chef-d'œuvre intemporel, une œuvre d'art roulante, assemblée à la main par des Takumi, des maîtres artisans japonais dont le niveau de concentration ferait passer un moine Shaolin pour un hyperactif sous Red Bull.

Chaque vis de son moteur a été polie à la main par un vieil ingénieur ayant passé 40 ans de sa vie à méditer sur la façon de serrer un écrou à la perfection. Le cuir de l'habitacle ? Issu de vaches japonaises nourries au saké et massées quotidiennement par des geishas expertes en relaxation musculaire. La peinture ? Appliquée en 17 couches fines, chacune bénie par un moine bouddhiste avant d'être polie par un maître laqueur ayant prêté serment de ne jamais toucher une Peugeot.

Le moteur, lui, n'est pas une simple machine thermique. C'est une entité vivante, réglée au nanomètre près par un ingénieur ayant passé cinq ans en méditation dans les montagnes du Mont Fuji avant d'être jugé digne d'assembler un seul bloc moteur. Chaque soupape a été harmonisée sur les fréquences du zen japonais, garantissant une combustion aussi douce qu'un haïku récité au lever du soleil.

Les roues ? Forgées dans le même alliage que les katanas des samouraïs légendaires, elles ne connaissent ni l'usure ni la déformation. Le châssis ? Coupé dans un bloc de titane extrait d'une météorite tombée en pleine mer du Japon. Chaque Lexus sortant d'usine subit une cérémonie shintoïste, où un prêtre bénit chaque boulon et exorcise toute présence de Stellantis pouvant contaminer sa fiabilité.

Pendant ce temps, les propriétaires de PureTech prient chaque matin pour que leur moteur survive jusqu'au soir. Mais Fiondechabrier, lui, n'a jamais eu besoin de lever le capot de sa Lexus. Car cette voiture ne tombe pas en panne. Jamais. Et si un jour elle venait à cesser de rouler, ce ne serait pas une panne : ce serait un seppuku mécanique, une ultime démonstration d'honneur après des millions de kilomètres de loyauté absolue.