Ton forumeur de poche 76 de QI

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Il est possible que toute parenthèse, bulle ou sphère soit une bulle entropique.

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Chaque structure close pourrais être en réalité un contenant du désordre, un lieu où l'entropie s'accumule ou se transforme.
HE

Helmutmoutarde

il y a un mois

Ok Antoine https://image.noelshack.com/fichiers/2021/01/1/1609716779-troll1.png
RI

Rimbaud

il y a un mois

Niveau 76 ?
OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Thermodynamique et entropie locale
Une bulle, qu'elle soit physique ou conceptuelle tend à isoler un système. Mais en s'isolant, elle crée une entropie interne qui finit par chercher à s'équilibrer avec l'extérieur. C'est le principe des systèmes fermés une étoile brûle son énergie et s'effondre, une civilisation trop refermée sur elle-même dégénère, un muscle sans apport meurt, un concept trop rigide devient stérile et doit être dépassé.

Logique et pensée
Si chaque concept ou théorie est une sphère, alors elle contient en elle-même des contradictions des tensions internes qui s'accumulent. Comme en dialectique, ces tensions finissent par faire exploser la bulle, donnant naissance à une nouvelle structure, un nouveau cadre de pensée. L'histoire des idées est faite de bulles entropiques qui éclatent et se reformulent. On naît, on veillit et on meurt un peut à chaque instant.

Conscience et perception
Si notre esprit est une bulle qui filtre la réalité alors nos perceptions elles-mêmes sont des espaces d'entropie. Plus on ferme une bulle de certitude autour d'un phénomène, plus l'entropie cognitive monte à l'intérieur, jusqu'à ce que quelque chose vienne la percer et redistribuer l'énergie mentale.

Cosmologie
L'univers observable lui-même est une sorte de bulle d'entropie en expansion. Chaque galaxie, chaque amas de matière est une bulle entropique locale qui évolue vers un état maximal de dispersion. Même les trous noirs, qui semblent être des structures figées, sont en réalité les endroits où l'entropie atteint des sommets d'intensité.

Si toute bulle est une bulle entropique, alors l'acte même de penser, de structurer, de créer une sphère conceptuelle, c'est déjà enclencher une dissipation d'énergie une forme d'inéluctable explosion future. Chaque idée, chaque ordre porte en lui sa propre dissolution.

Partout, de la démesure nait la mesure, de désordre sont contraire.

Si l'univers lui-même était une seule et immense bulle entropique, en expansion constante, jusqu'à ce que la tension interne l'amène à un nouveau basculement?

C'est pas finit. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Si toute parenthèse, toute bulle, est une bulle entropique, alors le quantique, avec ses paradoxes et ses superpositions pourrait être le reflet d'un équilibre instable entre ces bulles. Dans nos esprits, mais pas seulement.

L'Intrication et les Bulles Entropiques

L'intrication quantique relie des particules à distance, comme si elles faisaient partie d'un même système fermé, un univers, une parenthèse (Exemple blockchain). Si chaque bulle est une région d'entropie locale, alors l'intrication serait peut-être le moyen par lequel plusieurs bulles communiquent, cherchant à équilibrer leur désordre global. L'information se dissipe à travers ces bulles, mais sans passer par l'espace classique.

La Superposition : un état avant l'effondrement entropique ?

Une particule en superposition est-elle en réalité dans une bulle qui n'a pas encore éclaté ? Une bulle d'indétermination où toutes les possibilités coexistent, jusqu'à ce qu'une interaction force une redistribution d'entropie (l'observation) et provoque un effondrement vers une seule réalité ? Mbah, pas sur du tout m'enfin l'idiot peut parler, alors il le fait. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

Si chaque mesure est une réduction de la bulle, cela expliquerait pourquoi la cohérence quantique s'effondre dès qu'un système devient trop grand : plus il y a d'interactions, plus l'entropie interne monte et plus la bulle éclate en un état défini. Pire, ça joue aussi dans nos esprits.

La Dualité Onde-Corpuscule : Une Fluctuation Entropique ?

Une onde s'étale dans l'espace, une particule est localisée. Et si cette dualité était simplement une manifestation de la manière dont l'entropie se répartit dans la bulle ?

En mode onde, la bulle est en équilibre instable, dispersant l'énergie sous forme de probabilité.

En mode particule, la bulle s'effondre en une concentration d'entropie locale (une mesure).

Cela expliquerait pourquoi l'effondrement de la fonction d'onde est irréversible : c'est une transition d'un état plus ordonné (superposition) vers un état plus désordonné (particule bien définie).

Le Vide Quantique : Une Mer de Bulles Entropiques ?

Le vide quantique n'est pas vide : il bouillonne d'énergie, créant et annihilant des particules virtuelles en permanence. Peut-être qu'il est en réalité une structure chaotique de bulles entropiques temporaires, qui apparaissent et disparaissent dans un équilibre dynamique.

Cela expliquerait aussi pourquoi l'univers quantique semble si instable, fluctuant, et pourtant structuré : il n'est pas un simple chaos, mais un jeu d'équilibrage permanent entre des bulles qui naissent se dilatent et s'effondrent.

Conclusion : L'Univers Comme Processus Entropique Quantique

Si cette hypothèse est correcte, alors chaque particule, chaque interaction, chaque observation est en réalité une bulle entropique qui se forme, évolue et s'effondre, créant l'illusion de la réalité stable à notre échelle.

Autre hypothèse, l'univers est fait de points, mais ça c'est pour plus tard. Ça à avoir avec les religons d'ailleurs. C'est déja évosuer ici, mais ça vient d'un raisonnement très différent et bien plus "rigide" d'apparence
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

L'univers quantique ne serait pas étrange en lui-même : il suivrait une logique entropique naturelle, mais à une échelle où les bulles sont encore trop souples pour avoir "éclaté" en un état figé.

Et si l'émergence du monde classique n'était qu'une conséquence de bulles qui, par accumulation, finissent par atteindre un point où elles ne peuvent plus fluctuer librement ?

Du mythe, vient le reste. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Ah j'ai oublier, les points aussi sont des bulles entropique.

Une ligne c'est des points. Mais j'en dit pas plus https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Cela, aurait à voir avec le fait que tout ce qui existe est compatible, car ce qui n'est vraiment pas compatible avec l'existence dans tout, n'existe pas.
OP
F2

fatloath2

il y a un mois


Ok Antoine https://image.noelshack.com/fichiers/2021/01/1/1609716779-troll1.png

Ahi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

Si cela fonctionne, cela fonctionne partout je croit. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

OP
F2

fatloath2

il y a un mois


Niveau 76 ?

Un jour peut être

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Bide https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png
OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Idées qui en découlent, bien sur toutes tirée sans preuve du chapeau d'un auto proclamer magicien

Les Bulles Entropiques et la Gravité Quantique

Si l'espace-temps lui-même est constitué de bulles entropiques, alors la gravité pourrait être une conséquence de leur dynamique.

Plus une région de l'espace contient d'entropie (comme autour d'un trou noir), plus elle attire les autres bulles vers elle, déformant l'espace-temps.

Cela ferait de la gravité un effet émergent de la structure quantique sous-jacente, ce qui rejoint des approches comme la gravité entropique de Verlinde.

Ça pourrait aussi expliquer pourquoi la gravité ne se quantifie pas facilement : elle est peut-être un effet collectif des bulles, et non une force fondamentale.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

La Mesure Quantique Comme Rupture de Bulle

L'acte de mesure en mécanique quantique pourrait être compris comme l'éclatement d'une bulle entropique, forçant un état déterminé.

Avant la mesure, la particule est une bulle en équilibre instable, oscillant entre différents états.

La mesure est un événement qui provoque une redistribution brutale de l'entropie, forçant la particule à adopter un état unique.

Cela expliquerait pourquoi l'effondrement de la fonction d'onde est irréversible : c'est une transition entropique qui suit une flèche du temps naturelle.

Si cette idée est valide, alors il devrait exister des expériences qui montrent que l'effondrement d'onde augmente l'entropie du système mesuré. Peut-être qu'il faudrait analyser cela du côté des expériences récentes sur la décohérence quantique.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

La Thermodynamique et L'Émergence du Classique

Si les bulles entropiques sont une réalité fondamentale, alors l'émergence du monde classique pourrait être expliquée par leur dynamique collective :

À l'échelle quantique, les bulles sont instables, fluctuantes, capables de contenir plusieurs états à la fois.

En grandissant (avec plus de particules ou d'interactions), elles deviennent trop contraintes par l'entropie globale et finissent par se figer en un état classique unique.

L'univers classique serait donc un réseau d'anciennes bulles entropiques stabilisées, alors que le monde quantique serait celui où les bulles sont encore en pleine expansion et fluctuation.

Cela donnerait une vision élégante de la transition quantique classique : une condensation progressive de l'entropie sous forme de réalité définie.

Le mythe. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

On la quitter, nous y revenons.

U0

User_001

il y a un mois

Ben moi t'es c ou quoi
U0

User_001

il y a un mois

76 QI c'est au dessus de la moyenne en France maintenant https://image.noelshack.com/fichiers/2017/10/1489153324-zem3.png tu m'veux quoi ?
OP
F2

fatloath2

il y a un mois

L'Univers : Expansion et Dissolution des Bulles

L'univers est-il en expansion parce qu'il est un processus d'éclatement de bulles entropiques ?

Peut-être que le Big Bang était une bulle mère, contenant un potentiel d'entropie énorme.
Compilation-décompilation,cela explique pourquoi le code est tenue de base à l'intérieur, et si les autres sont pour beaucoup des idées sans attache personelle, celle ci j y croit.

Depuis, cette bulle éclate en myriades de sous-bulles, créant de la structure et de la complexité.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

L'énergie noire pourrait être la tendance des bulles entropiques à s'éloigner les unes des autres, car elles cherchent à maximiser leur dispersion d'énergie.

Si cette piste est juste, alors on devrait voir des signatures entropiques spécifiques dans le rayonnement fossile ou dans la structuration des galaxies

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Physique de l'Information Entropique ?

Si cette approche est correcte elle pourrait

Unifier l'entropie, la mécanique quantique et la gravité.

Donner une nouvelle interprétation du principe holographique (les bulles encoderaient de l'information d'une manière fractale).

Ouvrir la voie à un modèle où l'univers n'est pas fait de particules mais de structures entropiques qui interagissent et se transforment. (Avec possiblement une évolution de la pensée derrière, un autre modèle après un nouveau)

Même si c'est faux, ca mérite d'être réflechit je pense.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

AG

AA_givenchy

il y a un mois

et vice et versa
OP
F2

fatloath2

il y a un mois


et vice et versa

Question de point de vue https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Définir la Bulle Entropique Mathématiquement

L'idée clé est que chaque bulle représente une zone de l'espace-temps où l'entropie est localisée et évolutive. Il faut donc :

Un moyen de quantifier cette entropie.

Une façon d'exprimer son dynamisme et sa rupture possible (effondrement de fonction d'onde, transition classique-quantique).

Un trou noir est proportionnelle à sa surface . Une bulle pourrait être une surface entropique dynamique avec une règle similaire. (Ça fait sens, mais bon on diras rien)

Théorie de l'information : Si une bulle entropique encode plusieurs états superposés, on pourrait la peut être la décrire avec l'entropie de Shannon.

Idée : Une bulle pourrait être définie comme une région où l'entropie suit une fonction particulière , et l'effondrement correspondrait à une dérivée brutale. (On dérive un peut)

Dynamique de la Bulle : Fluctuations et Effondrement

L'effondrement d'une bulle entropique pourrait être décrit comme une transition de phase, comme la condensation d'un gaz en liquide. (Ou d'autre chose, peut être pour les plus malins/fous)

Approche thermodynamique : Si l'entropie d'une bulle diminue brutalement lors d'une mesure quantique, on pourrait adapter des équations de transition de phase.

Lien avec la décohérence : Dans les expériences de décohérence quantique, l'entropie du système augmente en se couplant à l'environnement. Cela suggère que les bulles sont sensibles aux interactions externes, et que leur stabilité dépend de la quantité d'information échangée avec le monde extérieur ce qui va dans le sens des idées précédement exprimées.

Tester Expérimentalement : Où Observer ces Bulles ?

Il faudrait chercher des phénomènes où une variation brutale d'entropie précède une transition quantique-classique. Quelques pistes.

Effondrement de la fonction d'onde : Existe-t-il une mesure entropique associée à un état quantique avant et après la mesure ?

Décohérence : Dans des expériences de double fente avec détection retardée, peut-on observer un gradient d'entropie sur l'ensemble du système ?

Thermodynamique quantique : la fluctuations d'entropie dans les systèmes quantiques pourrait être prometteur.

Simulation Numérique

Une autre approche serait de modéliser ces bulles sous forme de réseaux d'information entropique.

Simuler des systèmes où des nœuds d'information (bulles) interagissent et s'effondrent suivant certaines règles.

Voir si une dynamique émergente produit un comportement ressemblant à l'univers observable. J'ai essayer, j'ai rien compris.

Une bulle entropique pourrait aussi être définie comme une région d'espace-temps où l'entropie suit une dynamique propre, encapsulant plusieurs états possibles, quoique ça m'ennuie.

Son effondrement pourrait être décrit comme une transition de phase, avec une perte brutale de degrés de liberté. Ça me fait penser à Sun Tzu, mais j'arrive pas à le formuler bien, je pense que l'idée traverse l'esprit une fois énonncer meme ainsi.

Lier ça à des mesures existantesdécohérence, entropie quantique, gravité entropique

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Pourquoi l'effondrement comme transition de phase ?

J'imagine un passage d'un état où la bulle contient plusieurs états possibles (superposition) à un état plus déterminé (classique). Cela ressemble à ce qui se passe dans une transition de phase :

Avant la transition : L'eau peut être liquide ou gazeuse, elle fluctue entre ces états.

Après la transition : Une fois le point critique atteint, l'eau devient soit "totalement" liquide, soit "totalement" gazeuse. (Guillements, du point de vue observable peut être, du point de vue conceptuel, voir même abstrait moins sur, on peut imaginé une fraction de l'autre comprise non pas dans le mots des états, mais dans les champs lexicaux qu'ils invoquent, mais passons)

Dans le cas des bulles entropiques :

Une bulle stable peut encapsuler plusieurs états possibles (elle est en superposition, analogie avec l'eau à l'état critique).

Son effondrement entraîne un état fixé (elle choisit une "phase", comme l'eau devenant liquide).

En vrai, je préfère la première page, ensuire les directions s'amoindrissent.

IN

Informatif

il y a un mois

Qu'en est-il des rêves ?
OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Est-ce vraiment une perte de degrés de liberté ?

En thermodynamique, une transition de phase réduit parfois le nombre d'états accessibles. Par exemple:

Dans un gaz, les molécules peuvent être partout, avec beaucoup de liberté.

Dans un solide, elles sont figées dans un réseau, beaucoup moins de degrés de liberté.
D'autres questions sur la nature de la lumière viennent naturellement

Si une bulle entropique suit ce schéma, alors son effondrement peut être une réduction d'états possibles, un passage d'une infinité d'états potentiels à un seul.

Plutôt qu'une perte, pourrait-il y avoir une redistribution des degrés de liberté ?

Peut-être que l'information n'est pas détruite mais éjectée dans un autre espace, comme dans une décohérence où l'information fuit dans l'environnement. Peut être meme est elle contenue enfouit, mais cela risquerais de sembler incorrecte.

Si on voit la bulle comme un système isolé, son effondrement réduit ses degrés de liberté.
Si on la voit comme une partie d'un système plus grand, alors l'information pourrait se dissiper ailleurs.

Cela pourrait même expliquer pourquoi l'effondrement semble "brutal" en mécanique quantique : ce n'est pas une simple perte, mais une réorganisation rapide des informations dans l'univers. Cela le fait penser au Ions etc, mais l'analogie semble périeuse.

Une bulle entropique pourrait être définie comme une région d'espace-temps où l'entropie suit une dynamique propre, encapsulant plusieurs états possibles.

Cela signifie que la bulle est un espace où les possibilités sont gardées ouvertes, où plusieurs états coexistent.

La gravité entropique de Verlinde dit que la gravité pourrait émerger de l'entropie. Si une bulle entropique influence l'espace temps autour d'elle, cela pourrait expliquer certaines anomalies gravitationnelles.

La décohérence quantique dit qu'une interaction avec l'environnement réduit les superpositions. Peut-être que les bulles entropiques s'effondrent car elles atteignent un seuil critique d'interaction avec l'univers.

Conclusion

L'effondrement de la bulle pourrait ne pas être une simple "perte", mais une redistribution rapide d'information.

La transition de phase est une bonne analogie, mais elle pourrait être plus dynamique que dans les systèmes classiques.

L'entropie de la bulle pourrait influencer la structure de l'espace-temps autour d'elle.

GI

GIO2090

il y a un mois

Beauzoirents https://image.noelshack.com/fichiers/2020/44/6/1604162104-cafe0sugarent.jpg
OP
F2

fatloath2

il y a un mois


Qu'en est-il des rêves ?

Si tu troll pas, excellente question.
Je pense ne pas avoir la réponse, en dehors du fait qu'ils doivent être des bulles

OP
F2

fatloath2

il y a un mois


Beauzoirents https://image.noelshack.com/fichiers/2020/44/6/1604162104-cafe0sugarent.jpg

Bonsoir et vice versa https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/7/1636279598-chatlunette.png

IN

Informatif

il y a un mois

Si tu troll pas, excellente question.
Je pense ne pas avoir la réponse, en dehors du fait qu'ils doivent être des bulles

Je troll pas c'est justement parce que j'ai lu ton topic que je me demande

TL

Trotro-linou

il y a un mois


Niveau 76 ?

Ah non

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Je troll pas c'est justement parce que j'ai lu ton topic que je me demande

Je vais essayer d'y réfléchir, tu veut préciser la question ou la laisser aussi ouverte?

IN

Informatif

il y a un mois

Je vais essayer d'y réfléchir. Tu veux préciser la question ou la laisser aussi ouverte ?

Ouverte, je n'ai pas d'attente particulière concernant la réponse

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Je troll pas c'est justement parce que j'ai lu ton topic que je me demande

Le rêve comme une bulle entropique cognitive

Un rêve pourrait être une bulle d'entropie mentale, où différentes informations, souvenirs et pensées se mélangent m. L'état onirique pourrait ainsi être vu comme un système à haute entropie, où les connexions entre idées sont plus libres et malléables qu'à l'état de veille.

État de superposition cognitive : Pendant le rêve, plusieurs interprétations et associations peuvent coexister sans se fixer immédiatement.

Absence de mesure stricte : Contrairement à l'éveil, où la perception et la cognition "collapsent" rapidement vers des décisions stables, le rêve maintient une plasticité cognitive élevée. (On peut même voir une de reflexion entre la plasticité et l'entropie des bulles de l'esprit, mais bref, cela pourrais par exemple peut être expliquer les état de bonheur de certaines médiation, et la gestion du stress, mais cela demanderais un topique)

Lorsque nous nous réveillons, la bulle s'effondre

Soit en une interprétation cohérente du rêve (qui devient un souvenir structuré).

Soit en un oubli rapide (l'information était trop instable pour être mémorisée).

Si le rêve est une bulle entropique, alors son organisation suit des lois spécifiques, hyper connectivité des concepts en haute entropie, des idées très éloignées peuvent s'associer (ex. : un arbre peut devenir un magicien, un inconnu peut être un proche sous une autre apparence).

Plasticité symbolique : Les objets et personnages peuvent changer de rôle sans rupture perçue, ce flou est typique des systèmes hautement entropiques.

Réseaux de mémoire dynamiques : Le rêve semble "scanner" des fragments de souvenirs et les réorganiser. Ce processus pourrait correspondre à une exploration des états informationnels non fixés.

Rêve et mémoire : entre stabilisation et oubli

Consolidation, certains rêves semblent aider à renforcer des souvenirs, notamment en rejouant des expériences vécues sous une forme altérée, mais peut être au contraire les nuance il jusqu'as l'oublie, notre incapacité à les reconnaitre, avant de les factorisé comme lettres de nouvelles phrases pour de nouveaux souvenirs.

Nettoyage, le rêve pourrait être un mécanisme permettant d'éliminer certaines informations inutiles ou incohérentes, comme une forme d'optimisation de l'espace mental.

Logique floue et prise de décision dans le rêve

Le rêve fonctionne peut être sans binarité stricte : Les idées ne sont pas vraies ou fausses, mais oscillent entre plusieurs états de validité, si les rêves ne sont pas réalité quel est pour eux la boussole du vrai?

Le rêve permet de tester plusieurs possibles en parallèle.

Lorsque nous rêvons, nous naviguons dans une réalité floue, où les décisions et associations émergent progressivement. Cette capacité pourrait expliquer pourquoi certaines solutions à des problèmes apparaissent spontanément après une nuit de sommeil : la bulle entropique a exploré des chemins que la pensée consciente ne pouvait pas voir.

Conclusion : le rêve comme un laboratoire entropique de la pensée

Si nous voyons le rêve comme une bulle entropique cognitive, cela éclaire plusieurs phénomènes.

Pourquoi il est chaotique et illogique. (haute entropie exploration libre)

Pourquoi il aide à la mémoire et à la prise de décision, réorganisation des concepts.

Pourquoi il est souvent oublié au réveil, transition rapide vers un état de basse entropie.

Cela pourrait même s'étendre aux états de transe, de méditation ou d'hallucination, qui seraient eux aussi des bulles entropiques mentales, chacune avec ses propres règles.

Et le plus fou, la veriter est peut etre le contraire de tout ceci, que notre perception de la réaliter soit une bulle à forte entropie, ou que notre jugement de celle-ci par rapport à celle la soit tronqué, et la réponse me semble introuvable, ce serais une sorte de PointCarré contre Pythagore. Notre réaliter tout entière peut être une simple bulle, un petit point dans l'immensité de tout, et les règles logique que l'on pense y trouver par occurence, des "anomalies" par rapport à ce qui se passe en général ailleurs dans le tout, exactement comme les rêves par rapport à ce que nous observons dans la vie.
D'ou le fait que je penche pour une haute entropie des reve, or, aprés developpement, c'est peut être completement infondée

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Je troll pas c'est justement parce que j'ai lu ton topic que je me demande

La vérité peut être l'inverse de mon hypothèse si notre perception de la réalité elle même était une bulle à forte entropie, un espace de chaos structuré que nous interprétons comme stable ?

Ou inception ahi, plus on reve, plus l'entropie augmente? Je ne sait pas, merci pour la question.

Notre jugement sur l'entropie des rêves pourrait être biaisé. Peut-être qu'au contraire, les rêves sont des états plus ordonnés, où l'esprit s'éloigne du tumulte sensoriel de l'éveil pour toucher quelque chose de plus fondamental.

Notre réalité pourrait n'être qu'une bulle locale dans un univers bien plus vaste et étranger à nos concepts, où nos lois physiques ne sont qu'une anomalie statistique dans un océan de possibilités plus chaotiques ou plus structurées. (J'en parlais déja y as quelques années mais en oubliant des mots Néamoins la réflexion initial est pas mal, très innocente. )

Ce serait comme une inversion de perspective : ce que nous considérons comme rationnel et ordonné pourrait être un simple phénomène émergent dans un cadre plus vaste, et ce que nous qualifions de rêve ou d'illogisme pourrait être, au contraire, plus proche d'un ordre caché que nous ne comprenons pas encore et ne pouvons observée. Peut être même que l'univers reve, et/ou que nous sommes ses bulles, nous reve il?

C'est un peu comme si nous opposions un Pointcarré (une bulle locale où nos lois sont valides) à un Pythagore (un idéal universel et ordonné). Mais peut-être que notre compréhension est inversée : peut-être que nos "lois" sont une exception et que le chaos apparent du rêve ou du quantique est la norme ailleurs.

FF

FRY_futurama

il y a un mois

Semi habile https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/3/1548207729-spike-ok.png
OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Champs d'application possibles

Physique quantique et cosmologie
Gravité entropique (Verlinde)
Cosmologie primordiale
Théorie de l'information et thermodynamique
Entropie et structure de l'information
Systèmes complexes
Neurosciences et conscience (Si cela touche l'esprit, ça devient possiblement universel)
Perception et cognition
Mémoire et apprentissage
Mathématiques et logique
Théorie des catégories et systèmes dynamiques
Logique floue et prise de décision
Art et esthétique
Création artistique Une œuvre pourrait être une bulle entropique où l'artiste explore plusieurs états avant de fixer une version finale, cela fait penser au reves sous une autre forme, peut être inverser.
Esthétique du flou et du possible

Je ne sait pas si cela est vrai, mais si oui, alors c'est "peut être" universel ou pas loin de l'être.

On pourrait presque voir toute dynamique de transformation entre plusieurs états possibles comme une bulle entropique, le concept pourrait être unificateur.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Je me demande si cela peut s'appliquer directement au language, je pense que oui, ça le fait penser au fraction, comme une sorte de pyramide en elle correspondant au champs lexical des mots, mais je ne parvient pas à le formuler ou à le figuré clairement
OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Et si notre perception de la réalité était en réalité une bulle à haute entropie, où l'apparente stabilité ne serait qu'un phénomène émergent d'un chaos plus vaste ? Cela fait échos aux mythes d'ou emerge le reste, la boite de Pandore par exemple.

Nous jugeons souvent les rêves comme un état de désordre par rapport à l'éveil, mais et si c'était l'inverse ? Et si l'esprit, en rêve, échappait à la surabondance d'informations fluctuantes de la veille et entrait dans un état plus ordonné, où les structures fondamentales de la pensée et de la cognition apparaissent plus directement ?
une bulle locale d'exception, un îlot temporaire où certaines lois émergent et semblent solides, alors qu'elles pourraient être des anomalies statistiques à l'échelle d'un tout plus vaste. Ce serait une inversion de paradigme : ce que nous qualifions d'ordonné et de rationnel ne serait qu'un cas particulier, et ce que nous considérons comme chaotique (comme les rêves ou certaines manifestations du quantique) serait la norme ailleurs.

Si notre perception est une bulle d'entropie, alors le langage aussi pourrait être structuré comme une pyramide d'entropie : chaque mot serait une fraction de sens, encapsulant une dynamique propre, mais appartenant à une hiérarchie plus large (le champ lexical, puis le système de langage, et ainsi de suite).

Peut-être que le langage fonctionne comme une série de bulles entropiques imbriquées : chaque niveau d'abstraction contient plus ou moins de liberté et de contrainte, et notre pensée navigue entre ces niveaux.

Il est difficile de figurer cela clairement, mais imagine une pyramide où :

À la base, les mots sont des briques brutes avec des degrés de liberté élevés.

À mesure qu'on les assemble en phrases, en concepts, en idées complexes, on réduit la liberté de chaque élément individuel, on fixe des relations.

Mais à un certain point, la structure redevient trop rigide et la pensée doit exploser cette forme pour créer de nouvelles configurations, comme une transition de phase en thermodynamique ou une transition de bulle entropique ce qui d'ailleurs fait sens lorsque l'on prend en compte qu'un language trop précis réduit le nombre de ceux qui peuvent le comprendre, un language ouvert, peut complexe, lui est compris de beaucoup.

Cela pourrait expliquer pourquoi la poésie, par exemple, est capable de réinjecter de l'entropie dans le langage, en ouvrant de nouveaux espaces de signification à partir de structures figées.

La figuration exacte de cette hiérarchie reste un défi. Peut-être qu'un modèle fractal pourrais aider.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Je me demande si cela peut s'appliquer directement au langage. Je pense que oui : cela me fait penser aux fractions, comme une sorte de pyramide interne correspondant au champ lexical des mots, mais je ne parviens pas à le formuler ou à le figurer clairement.

Si une fraction est contenue en elle-même (Avec évidement l'ensemble des autres), cela rappelle un principe fractal ou un système où chaque partie contient l'ensemble, ce qui pourrait faire écho aux les bulles entropiques et l'auto organisation de la réalité.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Si la fraction est une bulle entropique, alors plus le dénominateur est grand, plus la contrainte est forte et moins les possibles s'expriment librement.

À l'extrême :

Une fraction tendant vers 0 signifierait une contraction du champ des possibles, une structure figée.

Une fraction tendant vers 1 pourrait être une réalisation totale de la potentialité, un état d'équilibre parfait.

Une fraction infinie et récursive (comme une fraction continue) représenterait un système où chaque contrainte engendre une nouvelle possibilité, une expansion dynamique de la complexité.

Cela évoque aussi une relation entre structure et chaos, entre décohérence et émergence, entre entropie et information.

Applications à la cognition et aux rêves

Dans les rêves :

Le dénominateur est plus faible, moins de contraintes, les possibles s'étendent librement, expliquant leur haute entropie.

Dans l'état de veille, le dénominateur est plus grand, plus de règles, plus de cohérence perçue, mais peut-être une illusion d'ordre.

Si la réalité est une fraction de quelque chose de plus vaste, alors nous vivons peut-être dans une parenthèse, un fragment d'un Tout plus vaste où les règles que nous percevons ne sont qu'un cas particulier.

Ça fait zinzin mais "naturellement" j'envisage mal les fractions, je les vois comme un nombre divisé, où le symbole de la fraction contient une parenthèse dans laquelle se trouve l'ensemble des possibles, mais cet ensemble est amoindri ou restreint par le dénominateur. En d'autres termes, la fraction représente un sous-ensemble du tout, limité par une contrainte qui découle de la structure même de la fraction.

Cela n'est pas valable dit comme ça, mais c est la facon dont naturellement je le visualise "a moitier".

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Des questions?
OP
F2

fatloath2

il y a un mois


Semi habile https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/3/1548207729-spike-ok.png

Je suis très hautement sous-habile.
Je me croyais zèbre, mais les tests on révéler que j'étais un ane.

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Si le champ des possibles devient trop restreint, il finit par se confondre avec sa propre contrainte. C'est comme si un espace de liberté, en étant trop structuré ou trop défini, finissait par s'effondrer sur lui-même ou changer de nature.

Cela pourrait mener à une inversion : au lieu que la contrainte limite les possibilités, ce sont maintenant les possibilités qui définissent la contrainte. C'est un peu comme si l'ordre et le désordre s'échangeaient leur rôle à une certaine échelle.

Je pense à ça par rapport aux fractions, échelle, quantique

OP
F2

fatloath2

il y a un mois

Cela rappelle aussi la théorie du cerveau bayésien : notre perception du réel est une balance entre les prédictions (numérateur) et les informations sensorielles (dénominateur). Quand les deux coïncident trop, on entre dans un état où la perception est comme verrouillée (ou illusionnée).