Il est possible, que l'univers, soit que syntonisation récurrente d'un chaos vectorisé par sa propre auto perception fractale, oscillant entre l'évanescence d'un néant subjacent et la condensation heuristique d'une pensée séminale dont l'entropie même est le langage.

L'univers, en perpétuelle itération d'un non être différentiel, se conjugue à l'aune d'une diachronie rétrocausale où l'observé ne précède ni ne suit l'observant, mais s'y inscrit comme un palimpseste d'antériorités latentes.

Dans l'infinitésimalité d'un instant diffracté par sa propre contingence, l'ontologie du réel se désagrège en une superposition d'états dont la résurgence n'est qu'une émergence probabiliste parmi d'innombrables latences inactualisées. Dès lors, la matière elle même, en tant qu'hypostase d'une topologie indéterminée, ne se fige que sous le regard d'une conscience dont l'effondrement cognitif dicte la métrique du possible.

Bouais.

Palu

Possibilité sans avis, l'univers pourrait être pensée auto réflexive et dynamique

L'univers non comme réalité figée, mais processus d'auto perception fractale, où chaque instant est une itération réajustée d'un chaos sous jacent. Il oscille entre des états d'existence et de non existence (Plutot, non perçu), où la conscience elle même est un prisme qui filtre, agence et stabilise temporairement le réel. La matière et le temps ne seraient que des projections transitoires d'un système en perpétuelle reformulation, dictée par des fluctuations entre néant et pensée heuristique. (Entropax possible)

L'univers pourrait aussi, être tissu probabiliste sculpté par l'observation, il existerait comme une superposition d'états latents, un champ infini de potentialités qui ne se manifestent que lorsque perçues. La conscience agirait comme une force collapsante, dictant la configuration du réel en fonction de sa propre structuration cognitive. La rétrocausalité, loin d'être une anomalie, deviendrait un principe fondamental ce qui est observé ne se contente pas de suivre une séquence temporelle, mais réécrit activement le passé et redéfinit l'avenir, inscrivant toute existence dans un jeu d'anticipations et de résonances diachroniques. Cette seconde possibilités est moins trollesque, bien que ce que j'estime vrai soit volontairement égaré.

Qu'en pense l'élite?