Le curé va te dire de faire des actes de bontés peu importe l'intérêt qui te pousse à les faire

du moment que du bien est fait

ça n'empêche pas que les actes désintéressés au sens premier du terme sont un abus de langage et sont impossible sémantiquement

Oui, bon, t'as jamais lu la Bible, quoi. Et tu me répètes à chaque fois la même chose sur le fait que les actes désintéressés sont impossibles alors qu'on est d'accord là-dessus. T'es un peu un disque rayé, tu tournes en boucle peu importe ce qu'on te dit.

Ecoute, je vais m'autociter : "Et tu me répètes à chaque fois la même chose sur le fait que les actes désintéressés sont impossibles alors qu'on est d'accord là-dessus."

Toi comprendre ?

Toi utiliser autre langage que mauvaise foi ?

pourquoi tu me fais un procès d'intention si t'es d'accord avec le fond

c'est typiquement frenchie comme raisonnement ça

ne jamais donner l'impression d'être d'accord même si on dit la même chose

on dirait un débat Marine vs Macron

Mais parce que ta réflexion est faussement profonde, comme je l'ai dit dans mon premier message, c'est une réflexion que tu te fais quand t'es ado. T'enfonces une énorme porte ouverte. C'est le niveau zéro de la philosophie.

Mais y'a rien à argumenter sur quelque chose qui paraît évident pour la majorité des penseurs de notre époque. C'est comme si tu voulais que je t'applaudisse parce que tu avais dit que le ciel était bleu.

Combien faut que je te dise que je suis d'accord avec toi sur le fond ? Je dis juste que c'est une réflexion inintéressante puisque tu enfonces une porte ouverte.

Je n'ai pas cliqué sur la liste des sujets parce que ça me soûle que des gens veulent se faire passer pour des philosophes en balançant des banalités superficielles alors que des gens se cassent à le cul à réfléchir à des questions bien plus complexes.

C'est aussi la conclusion de l'ado de confondre le fait de prêter intérêt à quelque chose avec l'attente d'en recevoir quelque chose, tout ça parce que la première expression est comprise dans la seconde. Mais l'inverse n'est pas vrai, ou du moins c'est indémontrable, et fortement incohérent, étant donné certains comportements de certains humains. La preuve, l'auteur ne fait que supposer.