Un nouveau drame lié aux réseaux sociaux a secoué la petite ville de Saint-Lubin, hier, lorsqu'un garçon de 11 ans, Lucas M., a été retrouvé inconscient dans sa chambre par ses parents. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'enfant aurait tenté de relever un défi populaire sur TikTok, connu sous le nom de « Blackout Challenge », qui consiste à retenir sa respiration ou à s'étrangler volontairement jusqu'à perdre connaissance. Transporté d'urgence à l'hôpital, Lucas a été placé sous assistance respiratoire, mais les médecins ont rapidement diagnostiqué une mort cérébrale.

« Il ne réagit plus à rien. Les machines le maintiennent en vie, mais il n'y a plus d'espoir », a déclaré une source médicale sous couvert d'anonymat. Les parents de Lucas, dévastés, ont expliqué qu'il passait des heures sur son téléphone, fasciné par les vidéos virales. « On ne savait pas ce qu'il regardait vraiment. On lui faisait confiance », a murmuré sa mère, effondrée, entre deux sanglots.

Ce n'est pas la première fois qu'un tel défi fait des victimes. Ces derniers mois, plusieurs cas similaires ont été signalés à travers le monde, impliquant des adolescents et préadolescents poussés par la pression sociale ou la quête de reconnaissance en ligne. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l'accident, mais les chances de voir Lucas se réveiller s'amenuisent d'heure en heure.

Les réseaux sociaux, et TikTok en particulier, sont une fois de plus pointés du doigt. Malgré des campagnes de sensibilisation, les algorithmes continuent de promouvoir des contenus dangereux auprès d'un public jeune et influençable. « Ces plateformes savent ce qui se passe, mais elles ne font rien. C'est une machine à broyer des vies », a dénoncé un voisin de la famille, révolté par la tragédie.

À Saint-Lubin, l'ambiance est lourde. Les camarades de classe de Lucas, encore sous le choc, ont déposé des fleurs devant l'école ce matin. Mais derrière les hommages, une question lancinante demeure : combien d'autres enfants devront payer le prix de ces défis absurdes avant que quelque chose ne change ?

Pour l'heure, les parents de Lucas se préparent au pire. Les médecins leur ont conseillé de réfléchir à un éventuel don d'organes, une décision qu'ils n'avaient jamais imaginé devoir prendre si tôt. La petite chambre de l'enfant, encore remplie de ses jouets et de son téléphone, est devenue le symbole d'un cauchemar dont personne ne sortira indemne.

https://faitsdivers.org/43805-Un-enfant-de-11-ans-dans-le-coma-a-cause-d-un-defi-Tiktok.html

J'ai un QI estimé à 124, je préfère immédiatement le poser là avant que tu t'imagines avoir une quelconque forme d'ascendant intellectuel sur moi, parce que je vois l'évolution entre tes messages, et où tu es en train de te diriger dans ta posture argumentative.

Les seuls, et uniques, responsables de leurs enfants sont les parents, personne d'autre. Oui, il faut empêcher les plateformes de publier des contenus délictuels et punir les responsables moraux. Mais si ceux qui lancent ces défis sont RESPONSABLES d'être des abrutis, les parents sont eux COUPABLES de négligence envers leur engeance.

Sur internet il y a de la pornographie, des vidéos d'une violence extrême, des gens qui incitent à se tuer (comme dans ce genre de challenge) ou qui peuvent manipuler les gens influençables, comme les enfants.

Un enfant n'a rien à faire sur internet sans surveillance, je dirais même qu'un enfant n'a pas grand chose à faire sur internet tout court sorti du cadre scolaire.

C'est un argument de fond, je parle d'un sujet que je connais bien, avec un recul plus important que les gens sans enfants. Je connais les tenants et les aboutissants de la parentalité, et je sais reconnaître mon propre rôle. En jugeant sévèrement les parents je m'interdit moralement le laxisme éducatif, je suis donc aussi dur envers moi qu'envers les autres. On ne peut pas me reprocher d'être hypocrite.

Je sais reconnaître mes erreurs, et je ne peux évidemment pas le démontrer sur ce topic puisqu'il a tort en refusant de reconnaître ce qui est selon moi l'évidence même, que c'est aux parents de surveiller leurs enfants.

Je sais reconnaître mes erreurs, et je ne peux évidemment pas le démontrer sur ce topic puisqu'il a tort en refusant de reconnaître ce qui est selon moi l'évidence même, que c'est aux parents de surveiller leurs enfants.