Un professeur d'histoire licencié suite à des propos maladroits sur l'histoire

OP
E6

Errolflynn600

il y a un mois

Christian K., professeur d'université âgé de 60 ans, s'est retrouvé au cœur d'une tempête médiatique après avoir été démis de ses fonctions pour une déclaration controversée lors d'un cours. L'enseignant, connu pour son style provocateur, aurait affirmé que « les chambres à gaz n'étaient pas si graves », une phrase sortie de son contexte selon ses proches, mais qui a suffi à déclencher la colère de la direction universitaire. Si cette sortie a choqué certains étudiants, elle s'inscrit dans une longue série de prises de position audacieuses qui ont jalonné la carrière de ce professeur d'histoire, souvent plus excentrique que malintentionné.

L'incident s'est produit lors d'une discussion informelle en amphithéâtre, où Christian K. abordait les atrocités de la Seconde Guerre mondiale. Selon des témoins, il cherchait à relativiser certains récits historiques, une méthode pédagogique qu'il avait déjà utilisée par le passé sans provoquer de tollé. Mais cette fois, le choix des mots a été jugé inacceptable par l'université, qui a rapidement opté pour un licenciement, arguant d'une atteinte aux valeurs fondamentales de l'institution. Une sanction que beaucoup, parmi ses collègues, estiment excessive pour un dérapage verbal isolé.

Ce n'est pas la première fois que Christian K. fait parler de lui. En 2015, il avait suscité une polémique en qualifiant la colonisation de « malentendu culturel » lors d'une conférence, une formule qui avait irrité sans pour autant lui coûter son poste. Deux ans plus tard, il avait de nouveau fait grincer des dents en suggérant que « l'esclavage avait aussi ses bons côtés », une provocation qui lui avait valu une mise en garde officielle. Ces épisodes, s'ils ont terni son image, n'avaient jamais entraîné de mesures aussi radicales que celle-ci.

Ses anciens étudiants, eux, dressent un portrait nuancé de l'homme. « Il aimait bousculer les idées reçues, quitte à aller trop loin », témoigne l'un d'eux, soulignant que ses cours étaient souvent stimulants, même s'ils pouvaient dérouter. D'autres le décrivent comme un esprit libre, allergique au politiquement correct, mais jamais haineux. Pour ses défenseurs, ce licenciement relève davantage d'une chasse aux sorcières que d'une réponse proportionnée à une maladresse.

Pourtant, certains observateurs s'interrogent : fallait-il vraiment ruiner la carrière d'un professeur pour une phrase ambiguë, prononcée sans intention claire de nier l'Histoire ? Christian K., lui, n'a pas encore réagi officiellement, mais ses proches laissent entendre qu'il pourrait contester cette décision, estimant qu'elle bafoue sa liberté académique. grave.

https://faitsdivers.org/4458484422-Un-prof-d-histoire-licencie-suite-a-des-propos-maladroits.html

Bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

OP
E6

Errolflynn600

il y a un mois

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

BG

BillGouleau

il y a un mois

Les régimes ont tendance à se durcir lorsqu'ils sont sur le point de chuter.

Le régime woke en France n'en a plus que pour 2 ans mais ça sera 2 années très rudes.

CT

CensureTueForum

il y a un mois

Christian K : « Les coups de couteau en France ? Des cours de cuisine qui tournent mal rien de plus »

P0

Poul0Pot

il y a un mois

Y'a des propos qui sont plus intolérables que d'autres. Ce monsieur l'aura appris à ses dépends.

C'est fou d'arriver jusqu'à 60ans, d'être prof d'université et de ne pas avoir encore compris ce genre de chose.

XH

xhfvcueiovhrt

il y a un mois

C'est un jugement personnel pas une analyse historique, si ?
CD

CoucouDebaloux

il y a un mois

Christian qui a pensé qu'il pouvait être léger sur tous les sujets

Il y en a certains qui ne pardonnent pas

RA

RuskiaActimel

il y a un mois


Christian qui a pensé qu'il pouvait être léger sur tous les sujets

Il y en a certains qui ne pardonnent pas

1S

1Shohip

il y a un mois

"Malentendu culturel" ayao