Un professeur d'histoire viré suite à des propos maladroits sur la Seconde Guerre Mondiale

OP
L5

Llapian5

il y a 8 jours

Christian K., professeur d'université de 60 ans, s'est vu retirer son poste après une déclaration qui a secoué les esprits : en plein cours, il aurait affirmé que les « chambres à gaz n'étaient pas si graves », une formule choc qui a immédiatement suscité des remous. La direction de l'établissement a tranché sans attendre, mettant fin à une carrière déjà marquée par des polémiques. Si l'incident a pris de l'ampleur, certains proches du dossier estiment qu'il s'agit d'une énième tempête dans un verre d'eau autour d'un homme habitué à provoquer.

Ce n'est pas la première fois que Christian K. se retrouve sous les feux des projecteurs. En 2014, il avait suscité l'indignation en qualifiant la traite négrière de « simple échange économique », une sortie qui lui avait valu une réprimande officielle sans conséquences majeures. Quelques années plus tard, en 2019, il avait de nouveau fait grincer des dents en suggérant que les femmes étaient « historiquement moins aptes à la réflexion abstraite ». À chaque fois, l'enseignant s'est défendu en invoquant son droit à la liberté académique, se présentant comme un provocateur cherchant à bousculer les idées reçues.

L'épisode récent a toutefois marqué un tournant. Lors du cours incriminé, une étudiante aurait fondu en larmes devant ses camarades, bouleversée par les propos tenus. Selon ses proches, elle aurait ensuite souffert de crises d'angoisse pendant plusieurs jours, un détail qui a amplifié la polémique. « Elle était inconsolable, mais Christian n'a jamais voulu ça », tempère un collègue, qui décrit l'étudiante comme particulièrement émotive. D'autres élèves, au contraire, louent l'approche iconoclaste du professeur : « Il nous force à penser par nous-mêmes, même si parfois il va trop loin. »

La direction de l'université, elle, n'a pas tergiversé. Dans un communiqué, elle a condamné des propos « irresponsables et contraires aux valeurs de l'institution », soulignant la nécessité de protéger les étudiants. Christian K., interrogé après son licenciement, maintient que ses paroles ont été mal interprétées : « Je parlais d'un point de vue comparatif, pas pour nier l'horreur. On me caricature. » Ses défenseurs dénoncent une sanction excessive, fruit d'une époque où la moindre phrase peut être montée en épingle.

https://faitsdivers.org/4458484422-Un-prof-d-histoire-licencie-suite-a-des-propos-maladroits.html

Bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

OP
L5

Llapian5

il y a 8 jours

Up
MS

Mario-SlaceII

il y a 8 jours

https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714951100-full-78.png
AL

Alcamodiritorno

il y a 8 jours

Qu'il dégage
CH

Cheevalier

il y a 8 jours

L'autre qui fond en larme aya

En tout cas je condamne !

JA

JustARandomPNJ

il y a 8 jours

Comme disent nos frères américains, 'white girl tears give you years'
Il fera rire les infirmières à l'EHPAD j'imagine