Vous êtes puceaux à cause du capitalisme

OP
QW

qweqweqwe

il y a 2 mois

Personne n'a les moyens d'être dans une relation. Le communisme arrangerait tout ça.
-P

-Pilote

il y a 2 mois

c'est différent oui https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480081450-ris42.png
M3

Mangeur3H

il y a 2 mois

Moi non personnellement, mais tous les problèmes d'un homme heureux comme ceux d'un homme malheureux sont ceux du capitalisme.
TF

TraFaLKyRiE

il y a 2 mois


Le communisme arrangerait tout ça.

Pas forcément non. C'est également les dérives du progrès technique lui même qui joue sur les relations H/F

M3

Mangeur3H

il y a 2 mois

Même le fait d'être bloqué dans la dynamique prolétaire-bourgeois nous lèse car on a besoin d'être libéré de cette dichotomie pour philosopher au delà librement

(et spirituellement, les bourgeois sont aussi lésés que les prolétaires, la division ne s'articule qu'autour du confort)

M3

Mangeur3H

il y a 2 mois

TraFaLKyRiE a écrit :

Pas forcément non. C'est également les dérives du progrès technique lui même qui joue sur les relations H/F

Du progrès technique au sein du capitalisme

K0

Khey0u

il y a 2 mois

j'ai baisé à mes 16 ans quand internet faisait son début

un coup de chance

TF

TraFaLKyRiE

il y a 2 mois

Du progrès technique au sein du capitalisme

Le progrès technique au sein du communisme pourrait avoir les mêmes effets sur la psyché humaine. Peut être moins ? Mais des effets quand même.

C'est bien l'accélération et le triomphe de la technique le problème.

M3

Mangeur3H

il y a 2 mois

TraFaLKyRiE a écrit :

Le progrès technique au sein du communisme pourrait avoir les mêmes effets sur la psyché humaine. Peut être moins ? Mais des effets quand même.

C'est bien technique le problème.

Je ne pense pas qu'il serait de même nature. Je ne crois pas qu'on puisse même concevoir le progrès technique hors de ce cadre omniprésent. Je rêve à un progrès technique au service de la révolution culturelle, puisque ce qui le dénature, c'est qu'il soit au service de lui-même... Et cette démarche est nécessairement stérile

DE

Delfica

il y a 2 mois

Exa exa d'ailleurs si les travailleurs s'emparent des moyens de production tous les célestins boutonneux pourront se faire pomper par 2 nouvelles teens 9/10 chaque jour https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png

TF

TraFaLKyRiE

il y a 2 mois

Je ne pense pas qu'il serait de même nature. Je ne crois pas qu'on puisse même concevoir le progrès technique hors de ce cadre omniprésent. Je rêve à un progrès technique au service de la révolution culturelle, puisque ce qui le dénature, c'est qu'il soit au service de lui-même... Et cette démarche est nécessairement stérile

Le problème c'est que ce progrès technique, ni le libéralisme ni le communisme pourrait le « canaliser ». C'est fini. Le progrès technique est maintenant autonome. Toutes les politiques économiques societales doivent être en cohérence avec l'accélération de la technique. Et aujourd'hui c'est bien l'IA qui est l'enjeu. Les comités d'éthiques etc… pour l'instant c'est du folklore. C'est l'homme qui est au service de la technique et pas l'inverse, peu importe l'idéologie de X société.

Je t'invite à lire Jacques Ellul « La technique l'enjeu du siècle » qui explique très bien le problème de la technique.

M3

Mangeur3H

il y a 2 mois

TraFaLKyRiE a écrit :

Le problème c'est que ce progrès technique, ni le libéralisme ni le communisme pourrait le « canaliser ». C'est fini. Le progrès technique est maintenant autonome. Toutes les politiques économiques societales doivent être en cohérence avec l'accélération de la technique. Et aujourd'hui c'est bien l'IA qui est l'enjeu. Les comités d'éthiques etc… pour l'instant c'est du folklore. C'est l'homme qui est au service de la technique et pas l'inverse, peu importe l'idéologie politique de X société. C'est une course à la technique, peu importe ses conséquences (on mesure celles-ci toujours quand il est trop tard)

Je comprend. C'est cependant pour moi une vision nihiliste et étriquée, que je ne critique pas parce qu'elle est tienne, mais pour sa conclusion.

J'irai lire ça et je te redirais ce que j'en ai pensé