Ah oui, 39-40, quand on a envoyé des centaines de milliers de Français qui n'avaient rien demandé mourir pour rien. C'est la République qui a instauré la conscription, c'est à dire le principe d'envoyer des gens qui n'ont rien demandé mourir pour rien. République qui est littéralement née dans le sang de la Terreur et le génocide vendéen. Il n'y a jamais eu autant de morts dans des guerres que sous la République

Je suis pas gauchiste l'ahurax et sa guéguère binaire de mongol droite/gauche

Les élites doivent tellement se marrer en vous voyant vous battre « gochiasse » vs « droitardax » en sachant pertinemment qu'ils vont pouvoir vous manipuler pendant encore des siècles tellement vous êtes des golems.

ça DDB du chat GPT maintenant
Je repost m'en fou, il n'y a rien d'hors charte.

Chat GPT qui se dewokise si tu lui demande d'inverser les rôles et de refaire le scénario en Afrique avec un japonais en protagoniste

Assassin's Creed : Shadows of the Savannah (Scénario alternatif inspiré d'AC Shadows)

Contexte : L'Afrique de l'Ouest au XIIIe siècle

L'histoire se déroule en 1255, à l'époque où l'Empire du Mali est en pleine ascension sous Soundiata Keïta. C'est une période de grandes conquêtes, de rivalités entre les royaumes africains, et d'expansion du commerce transsaharien.

Les caravanes traversent le désert, transportant or, sel et esclaves, tandis que les intrigues politiques se jouent entre les grandes dynasties. C'est un cadre idéal pour une histoire riche en complots, batailles et assassinats... Mais Ubisoft décide de tout ruiner en y insérant un protagoniste totalement anachronique.

Protagoniste : Takeshi Nakamura, un Japonais perdu en Afrique

Takeshi Nakamura est un jeune Japonais capturé par des pirates chinois alors qu'il naviguait près de l'Indonésie. Revendu à des marchands arabes, il traverse la mer Rouge et finit par être vendu comme esclave dans l'Empire du Mali.

D'abord simple serviteur, il gagne peu à peu la confiance d'un noble local grâce à ses talents martiaux. Rapidement, il est affranchi et devient un guerrier errant, apprenant les coutumes africaines sur le tas. Bien qu'il ne connaisse ni la culture, ni la langue, ni les enjeux politiques, il se retrouve au centre de l'histoire, influençant l'avenir du continent à lui seul.

Ubisoft le transforme en l'ombre qui façonne l'histoire de l'Afrique ,un parallèle direct avec Yasuke dans AC Shadows, qui est présenté comme un acteur majeur du Japon féodal alors qu'il était un simple vassal de Nobunaga.

Personnage féminin clé : Sakura Keïta, princesse de l'Empire du Mali

Sakura Keïta, fille fictive de Soundiata Keïta, est une femme influente, respectée pour son intelligence et son habileté à manœuvrer entre les différentes factions politiques.

Dans le jeu, elle tombe amoureuse de Takeshi Nakamura, créant une romance totalement irréaliste et irrespectueuse des traditions africaines.

Pourquoi c'est un problème ?

1. Une princesse royale ne se serait jamais liée à un ancien esclave étranger. Dans l'Afrique médiévale, les mariages étaient des alliances politiques, et les membres de la famille royale étaient mariés à d'autres nobles pour renforcer leur pouvoir.

2. Cela insulte la lignée de Soundiata Keïta, fondateur d'un empire majeur. Lui attribuer une fille qui aurait une relation avec un guerrier japonais est une falsification complète de l'histoire.

3. Elle devient un simple love interest du protagoniste étranger, exactement comme Oichi dans AC Shadows, qui est réduite à une compagne de Yasuke plutôt qu'une figure historique influente.

L'intrigue principale : L'étranger qui façonne l'avenir du Mali

L'Empire du Mali est en proie aux tensions internes. Certains nobles contestent l'autorité de Soundiata Keïta, tandis que des menaces extérieures, comme les Touaregs et les royaumes rivaux, mettent en péril la stabilité du pays.

Plutôt que de suivre un personnage local, le jeu nous force à vivre ces événements à travers les yeux de Takeshi Nakamura, un Japonais qui n'a rien à faire là.

Grâce à ses compétences exagérées en combat et en stratégie, Takeshi :

Devient un maître assassin africain en un temps record, ignorant les styles de combat traditionnels mandingues.

Conseille les dirigeants locaux et change le cours de l'histoire grâce à sa sagesse "éclairée".

Joue un rôle clé dans l'unification de l'Empire, alors que de véritables figures historiques africaines sont mises de côté.

Le message du jeu (et pourquoi il est problématique)

"Regardez ce Japonais qui découvre l'Afrique et en devient un héros" : Exactement comme Yasuke est présenté dans AC Shadows comme un acteur majeur du Japon féodal.

"La romance interculturelle comme outil narratif facile" : Efface les codes sociaux et culturels africains en mettant en scène une princesse mandingue tombant amoureuse d'un étranger.

"Les Africains ne peuvent pas écrire leur propre histoire" : Ubisoft impose un point de vue extérieur à une histoire qui pourrait parfaitement se raconter sans lui.

Pourquoi ce scénario est un manque de respect total

Si Ubisoft faisait un jeu avec ce scénario en Afrique, tout le monde serait outré.

Les historiens africains dénonceraient une falsification de leur histoire.

Les joueurs africains seraient en colère contre cette vision hollywoodienne qui met un Japonais au centre d'une époque où il n'a jamais mis les pieds.

Les Japonais eux-mêmes riraient de ce choix, trouvant absurde qu'un de leurs compatriotes soit parachuté au cœur de l'Empire du Mali.

Ce jeu serait immédiatement perçu comme une insulte à la culture et à l'histoire africaines.

Alors pourquoi est-ce accepté pour le Japon avec Yasuke ?

En transposant exactement les mêmes erreurs qu'Ubisoft a commises avec Assassin's Creed Shadows, on réalise à quel point leur approche est malhonnête :

1. Effacer les figures historiques locales pour mettre un étranger au premier plan est une insulte à la culture du pays concerné.

2. Forcer une romance qui va à l'encontre des traditions et lignées royales est une distorsion historique flagrante.

3. Présenter un personnage anachronique comme un élément central de l'histoire, alors qu'il n'a jamais eu ce rôle, relève d'une réécriture motivée par des considérations modernes plutôt que par un respect du passé.

Si Ubisoft avait annoncé Assassin's Creed : Shadows of the Savannah avec un protagoniste japonais en Afrique médiévale, la controverse aurait été immédiate.

Ce parallèle prouve bien que détourner l'histoire et la culture d'un pays au profit d'une vision moderne est une trahison de son patrimoine. Si ce n'est pas acceptable pour l'Afrique, alors ça ne l'est pas non plus pour le Japon.