Au final, Nietzsche c'était un peu un loser non ?
Richirolatre
il y a 2 mois
Mais je suis bien d'accord ! (Presque) tout est instable, et délibérément instable chez lui, il faut donc l'accepter ou ne pas le lire.
Et merci pour le rappel des textes, que je n'avais pas lu depuis longtemps
Mangeur3H
il y a 2 mois
Richirolatre a écrit :
Mais je suis bien d'accord ! (Presque) tout est instable, et délibérément instable chez lui, il faut donc l'accepter ou ne pas le lire.
La stabilité dans l'instabilité est une forme de stabilité, à l'instar d'un réacteur à particules : bien qu'il semble instable en surface, sa stabilité repose sur des lois sous-jacentes. On peut affirmer que cette stabilité est même plus puissante. Elle s'apparente à la manière dont le rejet de la subjectivité comme absolu donne corps à l'idée nietzschéenne selon laquelle il n'existe pas de faits, mais seulement des interprétations. En effet, des équilibres profonds garantissent que les idées nietzschéennes perturbent et s'ancrent dans le temps. Cette stabilité est résiliente et dynamique, et le contrecoup de cette subtilité réside dans l'apparence. Bien sûr, ce n'est que mon avis.
Mangeur3H
il y a 2 mois
Richirolatre a écrit :
Et merci pour le rappel des textes, que je n'avais pas lu depuis longtemps
Avec plaisir ! C'est en effet intéressant de revenir aux textes pour éclaircir le sujet quand ça fait quasi-entièrement référence à ce que cet auteur a exprimé
Richirolatre
il y a 2 mois