Ce qu'ils reprochent principalement au national-socialisme, c'est son racisme.
Les collectivisations forcées du communisme ont engendré des massacres et des famines. Les sociétés communistes étaient ultra-policières et surveillées, bien plus que la caricature qu'on faisait de la Gestapo. Le peuple était misérable et exploité.

En 1939, la Gestapo employait 7 500 personnes, contre 366 000 pour le NKVD en Russie bolchevique (y compris le personnel du goulag).
7500 pour 60 millions d'habitants.
366 000 pour 170 millions d'habitants.

Des purges éliminaient régulièrement des innocents qui, dans des séances d'autocritique, devaient assumer des crimes qu'ils n'ont pas commis. Ce schéma s'est répété partout.

En URSS, une nouvelle aristocratie très communautaire fut portée au pinacle avant d'être violemment châtiée par ses anciens esclaves quand le NS a déferlé.

On était libre d'aller et venir dans et hors de l'Allemagne, ainsi qu'en son sein. Des pays communistes, l'on n'avait pas le droit de partir, et l'on n'avait rien le droit de posséder sans l'aval du parti.

Les communistes ont voulu bolcheviser tout le continent pour l'inféoder à Moscou, engendrant des guerres civiles ou des insurrections en Italie, Allemagne, Pologne, Finlande, Hongrie, jusqu'en Espagne.

Mais ils n'étaient pas racistes, donc ça va.