[FIC] "Bienvenue dans la police criminelle monsieur Célestin Chancla"
PubliusOvidius
il y a 5 mois
Bah non. Si priorité au dernier en tête, tu donnes la victoire aux autres
Ça demande seulement un vote en plus, rien de bien décourageant. C'est que je trouve que s'en remettre au hasard est plutôt décevant et frustrant. Imaginez, monsieur Dark, si trois votes de suite se règlent au hasard. Tout le monde sera sur les dents. Alors qu'une règle de priorité aura le mérite de trancher mathématiquement.
Je réfléchis encore. Je trancherai la question avant la prochaine suite. Après, si dans l'ensemble vous préférez le hasard comme unique juge on garde ce système. C'est surtout pour vous que je me pose la question
OldReg_II
il y a 5 mois
Bah non. Si priorité au dernier en tête, tu donnes la victoire aux autres
Ça demande seulement un vote en plus, rien de bien décourageant. C'est que je trouve que s'en remettre au hasard est plutôt décevant et frustrant. Imaginez, monsieur Dark, si trois votes de suite se règlent au hasard. Tout le monde sera sur les dents. Alors qu'une règle de priorité aura le mérite de trancher mathématiquement.
Je réfléchis encore. Je trancherai la question avant la prochaine suite. Après, si dans l'ensemble vous préférez le hasard comme unique juge on garde ce système. C'est surtout pour vous que je me pose la question
En cas d'égalité, pourquoi ne pas faire un second tour juste avec les choix qui sont en égalité ? Genre fin des votes à 15h, si égalité second tour qui se termine 2/3h après (donc 18h)
PubliusOvidius
il y a 5 mois
Wililefrid
il y a 5 mois
En cas d'égalité, pourquoi ne pas faire un second tour juste avec les choix qui sont en égalité ? Genre fin des votes à 15h, si égalité second tour qui se termine 2/3h après (donc 18h)
Je vote +1
PubliusOvidius
il y a 5 mois
- C'est vrai que tu es un peu pâle.
Vous renfoncez discrètement le mot dans votre poche.
- C'est rien, il fait un peu chaud, c'est tout.
CHAPITRE 15 : LA DIVERSION
- Je te prie de m'excuser pour Arthur. Il peut être un peu con parfois.
- Parfois ?
- ... Tu ne l'aimes pas, Charles. Pas vrai ?
- Aucun d'eux n'est mon ami, mais au moins les autres se contentent de faire comme si je n'existais pas. Arthur, lui, il ne peut pas s'empêcher de m'humilier.
Charles a la tête basse. Une colère refoulée marque son visage. Lucas, gêné, tente de s'expliquer.
- J'étais bien pote au collège avec Arthur, notamment parce qu'on faisait du tennis ensemble, mais durant le lycée, il a changé. On se salue encore, mais c'est plus l'idée de notre amitié d'antan qui nous lie.
- Il a surtout cessé de respecter tous ceux qui ne faisaient pas partie de sa petite élite.
- Son élite ?
- Charles exagère. Oui, il côtoie davantage les enfants d'un certain milieu. Tous leurs parents se connaissent, mais ça reste malvenu de les critiquer pour ça. Regarde-nous, regarde autour de toi. Nous sommes tous des enfants de bourges ici. C'est seulement qu'il y a aussi une hiérarchie à l'intérieur de cette classe sociale.
- Ce n'est pas qu'une histoire d'argent, et tu le sais bien.
La voix animée et le visage rougi de Charles contrastent avec le calme et la temporisation de Lucas.
- C'est du réseau, voilà tout. Et les enfants respectent le réseau de leurs parents, car ça leur servira plus tard. Nous-mêmes, nous ne sommes pas dans cette fac en particulier pour nos bons dossiers, il y a plus. Il y a toujours plus. Et pour Arthur, Léo, Chloé et les autres, ce truc en plus est important. Arthur me garde une sympathie, mais je sais que je ne ferai jamais partie de son groupe d'amis proches, et je ne veux pas...
Il tourne son regard vers Charles.
- Et mes soirées avec Charles me manqueraient.
Ces mots avaient figé le jeune garçon à lunette. Pétrifié par cette démonstration d'amitié, sa colère s'était immédiatement évanouie et seuls ses yeux papillonnaient de gauche à droite à la recherche d'une réaction à avoir. Jeune homme timide et solitaire, souvent malmené par ses camarades tout au long de sa scolarité, il n'était pas bon gestionnaire de ces émotions. Pris de compassion, vous l'aidez à se sortir de cette éprouvante situation en changeant de sujet.
- Et Charlotte en fait partie ?
- Je la vois de plus en plus avec eux, mais je ne sais pas grand-chose sur elle. Tout le monde semble bien l'apprécier, mais Arthur plus particulièrement. Son arrivée n'est pas étrangère à sa séparation avec Léa.
- Tu veux dire que ...
- Arthur aime beaucoup Charlotte, assez pour se séparer de sa copine afin que la place soit vacante.
- Et comment l'a pris Léa.
- Comment l'aurais-tu pris toi ?
- Très mal.
Charles s'apprêtait à vous dire quelque chose, mais il est interrompu par un puissant cri émanant de l'autre partie de la salle. Ce cri est rapidement suivi de nombreux autres parsemés d'une phrase au sens souvent funeste : « Au feu ! ». À peine avez-vous le temps de comprendre la situation que toutes les lumières de la maison disparaissent pour ne laisser que pour seul éclairage un des rideaux de la grande salle sur lequel de grandes flammes orange étendent rapidement leur emprise. La panique s'empare de la foule qui cherche à fuir la bâtisse. Tous se dirigent en direction de l'entrée en poussant des cris de terreur. Vous bondissez de l'estrade et tentez de les imiter. Des sons vous parviennent de votre oreillette, mais la détresse générale vous empêche d'en comprendre le sens. Devant vous, les gens avancent de moins en moins, bloqués par la faible capacité de la porte d'entrée. Certains n'hésitent pas à faire preuve de violence pour devancer d'autres. Une bousculade crée par répercussion un mouvement global qui repousse une partie de la foule dont vous faites partie. Pressé par la chute d'une femme devant vous, vous devez reculer et la rattraper. Derrière vous, la pression se reforme et vous parvenez à remettre sur pied la jeune femme de justesse avant que le mouvement ne la condamne à être piétinée. La quasi-obscurité aggrave la panique des fuyards et empêche toute prise de repères. Chaque mouvement est instinctif. Alors que vous essayez de jouer des épaules pour vous maintenir debout, une sensation étrange s'empare du côté gauche de votre abdomen. Vous y ressentez comme un glissement de vos chairs, provoquant une douleur aiguë diffuse au moindre mouvement. Vous portez à votre taille votre main et sentez une humidité chaude sur votre corps. Votre respiration devient subitement pénible, désordonnée et vos jambes se font faibles. Vous essayez de vous rattraper aux personnes qui vous entourent, mais celles-ci vous repoussent dans leur tentative de fuite, entièrement désintéressées de votre sort. Les laissant vous dépasser, vous portez votre main à hauteur d'yeux tandis que la douleur se répand à tout votre flanc. La lueur des flammes se reflète sur votre main couverte de sang. Les invités continuent d'évacuer la salle tandis que vous restez en son centre, l'esprit égaré par la douleur qui anesthésie votre pensée. L'atténuation de la concentration de cris vous permet de mieux entendre d'abord le crépitement des flammes qui se laissent désormais glisser sur le plafond, puis une voix dans votre oreille.
- Célestin, réponds !
- Je...
- Où es-tu ? Que se passe-t-il ?
- Mal...
- Je t'entends mal !
- Je s... blessé.
Votre vue se brouille. Vos paupières humides sont votre seul réconfort face aux brûlures de la fumée qui attaquent vos yeux, mais aussi votre gorge et vos poumons. Vous titubez au hasard, les yeux clos, la main gauche sur votre plaie, la conscience vacillante, avec votre main droite tendue en avant comme seule guide pour fuir la chaleur des flammes qui grandissent.
PubliusOvidius
il y a 5 mois
Un fer froid finit par rencontrer votre paume, et vous y reconnaissez les formes de la poignée de la cuisine. Vous ouvrez la porte et la refermez derrière vous. Malgré vos pertes de vertige, vous faites glisser vos doigts le long des tiroirs de bois pour vous guider, suivant le mobilier avec l'espoir de retrouver à son terme la porte de la réserve. Un haut-le-cœur vous frappe et vous manquez de perdre l'équilibre. Le sang afflue dans votre tête, tambourinant contre votre crâne, tandis que vos jambes se font molles. Votre main rencontre enfin la poignée recherchée. Vous la pressez et faites un pas en avant. Vos muscles faillissent et vous commencez à vous laisser tomber avant d'être rattrapé par deux bras puissants. Gréville venait de vous réceptionner tandis que vous perdiez connaissance.
_________________________
Vous ressentez à travers vos paupières que vos yeux, habitués par une longue exposition à l'obscurité, trouveraient douloureuse la lumière de l'endroit où vous vous trouviez. C'est donc en ouvrant légèrement vos paupières, la vision entrecoupée par vos cils, que vous cherchez à voir ce qui vous entoure. Au début, tout n'est qu'une masse blanche agressive, mais, progressivement, une tache noire se détache, moins difficile à regarder. La netteté vous venant, les crans des semelles d'une grosse paire de chaussures se dessinent. Vous décidez de les remonter et y trouvez deux jambes nues que vous continuez de parcourir. Passé les genoux et les trois quarts des cuisses, vous reconnaissez un vêtement en jean sur lequel se finissent une veste en cuir ouverte et un t-shirt blanc.
- Ça va, je ne te dérange pas ?
Surpris, vous ouvrez brusquement les yeux que vous couvrez d'une main dans un même mouvement afin qu'ils puissent trouver le temps de s'habituer à la lumière. Après quelques instants, vous pouvez enfin discerner la chambre aux couleurs claires dans laquelle vous vous trouvez et que vous ne reconnaissez pas. Vous êtes allongé dans le lit tandis que Kaya se trouve enfoncée sur une chaise près de celui-ci, un magazine dans les mains et les jambes posées sur le pied de lit. Vous vous redressez, encore un peu somnolent, et reposez dans le moelleux des coussins votre dos.
- Où suis-je ?
- À l'hôpital.
- Depuis combien de temps ?
- Je sais pas, je viens d'arriver.
Vous la fixez. Elle vous rend votre regard tout en affichant une sérieuse gaîté.
- Que fais-tu là ?
- J'avais rendez-vous pour une échographie et je t'ai vu en passant devant ta chambre.
- Alors, tu es rentrée ?
- Bah oui. J'ai trouvé ça marrant qu'on se croise tout le temps.
Vous réorganisez votre esprit pour tenter de comprendre la situation. Kaya, elle, se replonge dans son magazine.
- Il ne faudrait pas appeler une infirmière ou un médecin pour dire que je suis réveillé ?
- Non, l'infirmière m'a dit que tu devais attendre que quelqu'un passe te voir.
- Tu as parlé avec une infirmière ?
Elle relève la tête.
- Bien sûr, il ne laisse pas rentrer n'importe qui dans les chambres. Tu es dans un hôpital au cas où tu l'aurais déjà oublié.
- Mais... On se connaît pas !
- Ah, mais ça, je ne lui ai pas dit. J'ai prétendu être de ta famille.
- ...
- Quoi ?
- Non rien.
Ses deux yeux bleus pétillaient d'amusement et un large sourire s'étirait sur son visage.
- Tu as dit que tu avais fait une échographie, tu...
- ...
- Enfin... tu vois.
Elle écarquille les yeux, comprenant ce que vous lui demandez.
- Mais t'es con ou quoi ? C'était pour un contrôle de ma thyroïde.
- Pardon, c'est juste que j'avais cru...
- Garde tes croyances pour toi avant de dire que j'ai l'air d'une femme enceinte.
- Mais, j'ai pas dit ça !
- Tu as sous-entendu que c'était crédible que je le sois. Tu mériterais que je t'en remette une dans le nez.
- ...
- ...
- ...
- Bon, pourquoi t'es là ?
- Ça ne te regarde pas.
- Oh, allez...
Elle se lève, jette son magazine sur sa chaise et s'approche de vous.
- ... Fait pas ton rabat-joie. Montre-moi ce que tu t'es fait. Je les ai entendus parler du ventre...
De ses deux mains, elle commence à attraper vos draps pour les soulever. Vous abattez brusquement un bras pour retenir les draps.
Un raclement de gorge interrompit la scène. Kaya et vous tournez les yeux vers la porte de votre chambre d'où Gréville et Barrios vous regardaient, plutôt amusés.
PubliusOvidius
il y a 5 mois
- C'est pas ce que vous croyez !
- Oh, mais nous on ne croit rien, on déduit.
- C'est notre métier.
- Euh...Bonjour !
Kaya se tourne vers vous.
- Eh bien... je vais te laisser. On se dit à un de ces jours.
Elle tourne les talons, attrape un sac en toile près de sa chaise en oubliant le magazine et passe devant vos collègues qu'elle salue avant de disparaître. Barrios et Gréville vous regardent en silence, un sourire aux lèvres.
- Je ne la connais même pas.
- Oh oui, c'était évident.
- Nous n'en avons pas douté un seul instant.
- ...
Tous deux s'approchent de votre lit.
- Alors, comment te sens-tu ?
- Ça va, mais je ne me souviens plus de comment je suis sorti de la maison.
- Je t'ai trouvé sortant par la réserve lorsque le feu s'est déclaré. Tu perdais beaucoup de sang car tu avais pris un coup de couteau.
- Est-ce que tu sais qui t'a fait ça ?
- ... Je... Non, je ne l'ai pas vu. Il y a eu les flammes, la panique, l'électricité qui se coupe, ... puis tandis que j'étais dans la foule en train d'essayer de fuir, j'ai ressenti une douleur et vu que je saignais.
- D'accord, ce n'est pas grave. L'essentiel, c'est que tu ailles bien.
- Je suis désolé, j'ai fait échouer la mission.
- Pas du tout, elle s'est finie avec l'incendie. Et puis, policier ou pas, je ne suis pas sûr que quiconque s'en serait sortie différemment dans la panique...
Barrios vous regarde longuement de ce regard lourd de peine qui la caractérise tant.
- Tu m'as fait une sacrée frayeur.
- Et la maison de la soirée ?
- Détruite pour moitié. L'incendie est criminel et tu es le seul blessé, bien qu'officiellement tu n'y étais pas. C'est tout ce qu'on sait pour l'instant.
Subitement, vous vous rendez compte du temps qui a pu passer depuis cette nuit-là.
- Depuis combien de temps je suis là ?
- Nous sommes le vingt. Tu as eu besoin de temps, tu avais perdu beaucoup de sang.
- ... On a essayé de me tuer.
- Les médecins ont dit que tu avais eu beaucoup de chance car l'endroit où tu as été frappé n'était pas une zone dangereuse pour toi tant que tu étais soigné assez vite.
- On pense que la personne qui t'a fait ça savait ce qu'elle faisait, et qu'elle a seulement voulu te blesser. Mais on va l'attraper.
- C'est l'assassin de Léa Vacquerie qui m'a fait ça, tout concorde. J'ai dû être repéré durant la soirée.
- Ou il savait déjà qui tu étais...
Un silence s'installe que vous finissez par briser.
- Et maintenant ?
- Les médecins ont dit que tu pourras reprendre le travail après Noël. D'ici là, tu te reposes et ne fais pas de grands mouvements.
- Et vous, pour l'enquête ?
Les visages de vos collègues se font graves. Vous comprenez que quelque chose ne va pas. Gréville pose alors deux dossiers que vous n'aviez pas remarqués jusque-là sur vos genoux.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Il a recommencé.
- Deux fois.
Votre gorge se noue. Après quelques instants d'hésitation, vous prenez dans vos mains les deux dossiers. L'idée de ce qu'il se trouve à l'intérieur vous terrifie et la peur fait renaître la douleur à votre flanc. Vous fixez le jaune des chemises sans pouvoir les ouvrir.
- Je ne peux pas les regarder, pas aujourd'hui.
- Je comprends. C'est normal.
Barrios vous reprend les dossiers des mains.
- Qui est-ce ?
- Émilie Martin, celle chez qui Léa aurait dû dormir. Elle a été assassinée dans la nuit de la soirée au Terre-Foulox. L'autre n'a pas encore été identifiée. Elle a été tuée environ une semaine avant. Elles ont été découvertes le même jour dans des forêts différentes, toutes deux autour de la ville.
- Il a reproduit la même mise en scène que pour Léa Vacquerie, sauf que cette fois, il les a étranglées.
Vous êtes sonnés par ces nouvelles et détournez le regard que vous laissez se perdre à travers la fenêtre de votre chambre. Sans quitter le dehors des yeux, vous prononcez ces mots :
- Il faut qu'on l'attrape. Il ne va pas s'arrêter, n'est-ce pas ? Il continuera jusqu'à ce qu'on l'attrape.
- Repose-toi jusqu'à Noël et je te jure que nous allons mettre la main dessus.
Alors que votre regard est toujours dirigé vers la fenêtre, vous entendez Gréville déposer quelque chose sur la table de chevet.
- Je te laisse les clefs d'une voiture, pour que tu puisses rentrer lorsqu'ils te libèreront. Ils ont parlé de demain. Tu peux la garder jusqu'à ton retour. J'ai mis tes affaires dedans.
Vous réussissez à recentrer votre attention pour saluer vos collègues que vous sentez partir. Lucien vous adresse un clin d'œil.
- Prends soin de toi, le génie, et ne tarde pas trop. C'est moi le moins gradé en ton absence.
- Je ferai de mon mieux.
- On va te laisser te reposer, à bientôt.
- À bientôt.
Gréville et Barrios cheminent jusqu'au couloir. Alors que le capitaine allait refermer la porte de votre chambre, elle s'arrête dans son mouvement et vous regarde, une parole au bord des lèvres. Vous la fixez, attendant ces mots que vous pressentez importants pour elle.
- Beau travail Major.
- Merci Capitaine.
Demain, l'hôpital va vous permettre de quitter votre chambre. Qu'allez-vous vouloir faire d'ici Noël. ?
1) Vous passerez un coup sur la scène du crime d'Émilie Martin pour réfléchir de votre côté à l'enquête.
2) Vous resterez chez vous et attendrez d'aller fêter Noël avec votre famille.
PubliusOvidius
il y a 5 mois
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272198881
Chapitre 7 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442065
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442161
Chapitre 8 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591081
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591153
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591249
Chapitre 9 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272713385
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272713417
Chapitre 10 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272965009
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272965105
Chapitre 11 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273058777
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273059009
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273059137
Chapitre 12 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273214481
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273214569
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273214713
Chapitre 13 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273430081
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273430177
Chapitre 14 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273531817
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273531897
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273532009
Chapitre 15 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273609193
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273609625
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273609825
Rappel des personnages : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273430193
KateLi
il y a 5 mois
Vote uno cash
OldReg_II
il y a 5 mois
Du coup, Léa se fait trucider, ensuite c'est la femme non identifiée puis Emily, c'est ça ?
SuperLM10
il y a 5 mois
2
PifouLeChien
il y a 5 mois
Vote 2 + visite chez les voisines
Arthur est le suspect n°1 dans l'incendie, même si il a probablement un alibi solide pour les meurtres (quelle est l'heure du décès d'Emily?)
On doit maintenant faire des recherches pour trouver le lien entre les victimes (appartiennent au même groupe, mais c'est tout? Axer la recherche sur la situation sociale des parents, on sait jamais).
Mais il faut aussi trouver pourquoi est ce que la fille de la voisine a couvert Célestin, et quel est son lien avec Arthur.
De plus, Célestin n'a aucune compétence et ne servira à rien sur une scène de crime (probablement nettoyée et fouillée par des chiens)
OldReg_II
il y a 5 mois
Merci
Alors c'est intéressant, car Emily était pas à la fête. Du coup la question c'est est-ce qu'elle morte avant, pendant ou après... On peut aussi supposer qu'il n'y a pas qu'un seul meurtrier. Quelqu'un a pu allumer l'incendie, et un autre poignardé Célestin. De plus, comment une femme (étudiante qui plus est) a pu décédé sans qu'aucun avis de recherche soit déposé... Et pourquoi un changement dans la façon de faire (poignardé pour Léa, étranglement pour les autres)
Bon je vote 2. Comme disent certains kheys, Célestin a pas assez d'expertise pour analyser une scène de crime. De plus, rester chez soi permet une probable rencontre avec Kaya, mais surtout avec les voisins. On saura peut-être mieux pourquoi elle a couvert Célestin, en plus d'avoir de plus d'informations sur le pourquoi la mère essaie de savoir un maximum de choses sur l'enquête, et sur le lien qu'entretiens le père avec le père de Emily (tout 2 dans la bourse il me semble)
OuestLarry
il y a 5 mois
Le petit merdeux qui lorgne sur notre voisine. C'est nous qui allons l'attacher à un arbre.
Ça pue pour Charlotte, j'ai de plus en plus peur qu'elle soit liée au meurtre
La situation nous échappe légèrement
Je reconnais qu'elle a son charme même si elle est un peu délurée
Un immense taré mais ça éloigne Charlotte Samain de cette histoire, je crois... (pas du tout)
Un choix pas si facile. D'un côté nous devons nous reposer et ne pas le faire pourrait avoir ses conséquences. De l'autre, il y a certainement des choses à aller obtenir en allant sur place, mais à quelle prix ?
On sera seul au milieu d'une forêt avec une entaille tout juste recousu. J'ai peur que cela soit trop dangereux. Je vote 2 mais je réfléchis encore
IppoentReformed
il y a 5 mois
Bordel j'ai pas les notifs
Je vote 2, je sais pas si la soirée était condamnée à mal se passer ou si on a mal voté
Dark-63
il y a 5 mois
C'est rien, c'est le fait d'être bg et blond en ce moment
Charlie, ne t'inquiète pas, nous sommes entre fan de Paradox
Bien, déballe tout mon petit Charlie, tonton Célestin est là
Bon, et bien ça sent pas bon cette histoire, les triangles amoureux toussa toussa
Bordel, le pavé en plein milieu fait mal mon kheyou, aère le un peu plus le prochain coup
Bon, un coup de couteau, c'est pas forcément méchant, faut juste compressé la plaie avec un torchon ou sa chemise
Je le savais que c'était pas une bonne idée de rester avec les geeks, on n'a ni été avec monsieur suspect de ouf, ni avec l'une des personnes qui aurait pu nous mettre le mot, on ne peux pas innocenter qui que ce soit à part les deux fan de Deus Vult !
Les infos glanées seront peut-être utiles, mais pas autant qu'une liste des suspects réduite
Et faut qu'il survive l'autre !
Allez Célestin, pour la chatte des Samain !
Faut vraiment qu'on achète un truc à son gosse
On attendez que la mort vienne, mais elle n'a pas voulu de nous
Bien sûr que tu dérange bordel !
Mais ça va, t'es cool
Bizarre, mais cool
Oh, alors elle était vraiment masseuse mais dans un service hospitalier ?
... Ok, j'ai rien dit
Euh, échographie ? Il a fait peut-être de la merde l'ancien proprio de l'appart, ça explique pourquoi elle est remontée contre lui
Dark-63
il y a 5 mois
À ton âge ? Eh bien, santé de merde
Ou alors tu ment
On attends qu'une paire de couilles soient greffée, pourquoi ?
Et en plus elle est enceinte !
Qu'est-ce que ça aurait été drôle qu'il ne parle pas de l'échographie avant et qu'il sorte un "tiens moi au courant pour l'échographie" devant les collègues, t'as loupé une occasion mon bon Publius
Nage dans le sens du courant petit Célespoisson !
Comme quelqu'un qui s'est pris un coup de couteau dans le bide
Non, mais on peux innocenter les deux mecs les plus innocents avec qui nous avons parlé, cool hein ?
... Tu veux devenir notre maman de substitution, c'est ça ?
Bah c'est gagné, fais donc un gros câlin au petit Célestin
.... Mais le vingt de quel mois, hein ?!
Dit lui que ça fait 6 jours ou une semaine !
Les muscles de Mike auraient brisé la lame, il est temps d'aller à la muscu dès que tout est soigné !
Ouais, dans la foule avec le risque de se faire bousculer, c'est un peu kifkif comme propos, elle aurait très bien pu vouloir vraiment notre peau
D'autant plus que c'était pas sûr qu'on nous trouve à temps
Mais on va partir du principe que le tueur est un médecin et sait très bien où planter un couteau et qu'il se doutait qu'on allait être récupéré par un coéquipier
La nièce Dauroy transmet les infos de la police et la tueuse est Charlotte. Cela explique pourquoi elles sont parties toutes les deux aux toilettes. Peu probable pour le moment mais on la ressortira un de ces quatre si ça se trouve
Le s*laud !
Faudrait lui trouver un nom également, ce serait plus simple que juste le tueur
Bah, on ne connait pas ses motivations. Est-ce un tueur en série qui obéit à ses pulsions ? Se venge t'il de quelque chose que ces personnes ou leurs parents ont fait subir ? Pour le moment, on ne peut pas répondre à ta question
Sympa, Célestin a donc le permis, c'est bon à savoir pour emmener la futur madame Célestin en rencard
La team bordel !
Mais honnêtement, j'ai l'impression qu'elle n'est pas complète, je ne sais pas pourquoi
On pourrait trouver quelque chose que les autres n'ont pas vu... Mais j'en doute fort
Cela fait plusieurs jours et tout a dû être fouillé plusieurs fois
Sans compter que le temps et les animaux sauvages seront passés par là
À part d'avoir un peu de chance ou une illumination sur la manière de faire du tueur, j'vois pas l'intérêt de ce choix
Attendre et se soigner... À première vue, pas le meilleur choix de ne rien faire, pourtant ça pourrait nous permettre de récupérer plus rapidement physiquement et mentalement
On pourrait aussi croiser nos voisines, l'occasion de discuter avec elles et de mettre les points sur les I
J'hésite, j'attendrais demain, la nuit porte conseil
Mais je pense partir sur un vote 2, je confirmerais dans le post de demain
Maya-La-Queen
il y a 5 mois
faut se détendre un peu pour noel + pas sur qu'on serve a grand-chose sur la scène du crime + mieux vaut ne pas agir en solo, on est restés un moment à l'hosto donc on est probablement faible physiquement, on sait toujours pas utiliser un flingue, si on tombe sur un ennemi on va juste se faire retourner le fion
Parapseudal
il y a 5 mois
Vote 2
Selucide
il y a 5 mois
Dark-63
il y a 5 mois