[FIC] "Bienvenue dans la police criminelle monsieur Célestin Chancla"
_Arawn_
il y a 5 mois
Changement de symbolique, le but était de les faire taire définitivement.
Pour le vote, le 1 je suis pas sur de l'intérêt : la zone à déjà été fouillée et expertisée par les flics je ne vois pas pourquoi il resterait quelque chose.
Du coup vote 2 par défaut.
Maya-La-Queen
il y a 5 mois
Changement de symbolique, le but était de les faire taire définitivement.
Pour le vote, le 1 je suis pas sur de l'intérêt : la zone à déjà été fouillée et expertisée par les flics je ne vois pas pourquoi il resterait quelque chose.
Du coup vote 2 par défaut.
_Arawn_
il y a 5 mois
Ah et nos chères voisines font partie de la dite élite++ et en savent sur la situation, mais ce qui est intéressant c'est la dynamique avec nous : la mère qui subtilement nous dit que sa famille en fait partie, la fille qui nous suit et observe dans la soirée puis nous couvre et pose le papier dans notre poche. D'ailleurs on a certainement des experts en calligraphie à disposition faudra choper des échantillons d'écriture des suspects pour comparer. On pourrait demander l'accès aux copies d'examen ( on en plein dans la période de partiels fin décembre début janvier ) pour comparer, ce papier est une pièce à conviction.
Responsable, complices? Aucune idée mais je pense plutôt que ça cherche surtout à nuire à la famille responsable pour la mettre à mal sans se salir les mains directement.
_Arawn_
il y a 5 mois
Je pense que se faire planter et la fin de soirée par l'incendie était un évènement gravé dans le marbre, pour donner du rythme et nous dire attention danger là le tueur vous à juste volontairement blessé la prochaine fois c'est pas la même.
Chaque choix donnait des informations différentes je suppose, ce choix 1 nous à appris des choses très intéressantes.
PubliusOvidius
il y a 5 mois
:publiusquirougit:
Barcolito
il y a 5 mois
Vote 1
Dark-63
il y a 5 mois
Artema2
il y a 5 mois
Vote 1 nonobstant
PubliusOvidius
il y a 5 mois
Maya-La-Queen
il y a 5 mois
Je pense que se faire planter et la fin de soirée par l'incendie était un évènement gravé dans le marbre, pour donner du rythme et nous dire attention danger là le tueur vous à juste volontairement blessé la prochaine fois c'est pas la même.
Chaque choix donnait des informations différentes je suppose, ce choix 1 nous à appris des choses très intéressantes.
Aya 25 pages et on a deja un lecteur pour dire a demi-mot qu'on s'est fait illusion du choixed, les hyrlems
Se faire planter c est pas le problème mais la convalescence qui a suivi. Mon propos c'est que PEUT-ETRE si on avait pas été HS alors on aurait pu éviter 1 ou 2 meurtres (toujours en lien avec le fait que le coupable les a fait taire)
Perso je vois ca comme un genre de course contre la montre, a pas mal de moments pendant le récit on sent qu'on est pressé, qu'il faut agir rapidement. Peut être que c était juste sur l'instant (notamment quand on cherchait la 1ère portée disparue avant de la retrouver) mais j'ai tout de même cette impression qu'on fout les pieds dans qqch d'assez gros.
Autrement dit, si on tarde trop les conséquences vont aller beaucoup plus loin que les cibles initialement prévues par le tueur (car je doute fortement qu'il choissise ses victimes au hasard. En dehors de la symbolique et la "beauté du meurtre", je pense que y'a une autre raison derrière tout ceci)
A savoir aussi qu'on est moins préparé que le tueur, on a jamais blessé personne, on sait pas tirer, l'entrainement physique on sait pas encore ce que ca donne, en cas de confrontation on est dans mouise
OldReg_II
il y a 5 mois
Aya 25 pages et on a deja un lecteur pour dire a demi-mot qu'on s'est fait illusion du choixed, les hyrlems
Se faire planter c est pas le problème mais la convalescence qui a suivi. Mon propos c'est que PEUT-ETRE si on avait pas été HS alors on aurait pu éviter 1 ou 2 meurtres (toujours en lien avec le fait que le coupable les a fait taire)
Perso je vois ca comme un genre de course contre la montre, a pas mal de moments pendant le récit on sent qu'on est pressé, qu'il faut agir rapidement. Peut être que c était juste sur l'instant (notamment quand on cherchait la 1ère portée disparue avant de la retrouver) mais j'ai tout de même cette impression qu'on fout les pieds dans qqch d'assez gros.
Autrement dit, si on tarde trop les conséquences vont aller beaucoup plus loin que les cibles initialement prévues par le tueur (car je doute fortement qu'il choissise ses victimes au hasard. En dehors de la symbolique et la "beauté du meurtre", je pense que y'a une autre raison derrière tout ceci)
A savoir aussi qu'on est moins préparé que le tueur, on a jamais blessé personne, on sait pas tirer, l'entrainement physique on sait pas encore ce que ca donne, en cas de confrontation on est dans mouise
Maya-La-Queen
il y a 5 mois
OldReg_II
il y a 5 mois
Pour Barthod, les choix c'était "Boire un coup avec Barthod, Faire connaissance avec l'autre équipe, ou aller à la maison"
Je pense qu'on aurait eu des infos intéressantes avec Barthod.
Pour le dernier choix, je crois que le bon choix c'est justement rentrer chez soi ça nous rapproche des voisins. Aller en forêt voir une scène de crime, je vois pas ce que ça apporterait. Rien n'indique qu'on verra des éléments importants, alors que parler aux voisins nous apportera des éléments nouveaux
il y a 5 mois
Pour Barthod, les choix c'était "Boire un coup avec Barthod, Faire connaissance avec l'autre équipe, ou aller à la maison"
Je pense qu'on aurait eu des infos intéressantes avec Barthod.Pour le dernier choix, je crois que le bon choix c'est justement rentrer chez soi ça nous rapproche des voisins. Aller en forêt voir une scène de crime, je vois pas ce que ça apporterait. Rien n'indique qu'on verra des éléments importants, alors que parler aux voisins nous apportera des éléments nouveaux
Nous devrions nous méfier de prendre pour acquis que rentrer à l'appartement = voir les voisines ou même Kaya. Il n'est jamais précisé que nous allons forcément voir quelqu'un. Un jour nous allons vraiment nous retrouver seul comme des glandus dans cet appartement.
Nous approchons Noël, les gens voyagent souvent à cette période, au ski ou chez la famille. C'est un pari que les voisines soit là
OldReg_II
il y a 5 mois
Nous devrions nous méfier de prendre pour acquis que rentrer à l'appartement = voir les voisines ou même Kaya. Il n'est jamais précisé que nous allons forcément voir quelqu'un. Un jour nous allons vraiment nous retrouver seul comme des glandus dans cet appartement.
Nous approchons Noël, les gens voyagent souvent à cette période, au ski ou chez la famille. C'est un pari que les voisines soit là
Le prochain chapitre qui fera 2 lignes
supermario25
il y a 5 mois
Il s'est fait planter tellement fort qu'il est resté dans le coma 364 jours, c'est évident
Et du coup bonjour, Merci à Maya d'avoir balancé le lien d'ici chez Arseneur, j'ai tout rattrapé et je m'installe
Vote 2
PubliusOvidius
il y a 5 mois
Oulah, grosse erreur de ma part
Je revérifie toujours douze fois ces trucs habituellement mais là j'étais sûr d'avoir mis le 17. Ça m'aurait pris 15 secondes de vérifier
Disons que Barrios s'est trompée et que nous sommes l'après-midi du 23 lorsqu'ils ont la discussion à l'hôpital. J'intégrerai une correction dans le prochain chapitre
public_function
il y a 5 mois
Oulah, grosse erreur de ma part
Je revérifie toujours douze fois ces trucs habituellement mais là j'étais sûr d'avoir mis le 17. Ça m'aurait pris 15 secondes de vérifierDisons que Barrios s'est trompée et que nous sommes l'après-midi du 23 lorsqu'ils ont la discussion à l'hôpital. J'intégrerai une correction dans le prochain chapitre
bannilachance
il y a 5 mois
sweet ce soir ?
PubliusOvidius
il y a 5 mois
CHAPITRE 16 : DEUX PENSÉES SOUS LA NEIGE
Aujourd'hui, vous vous êtes réveillé tôt, pressé de quitter l'hôpital. Avant l'extinction des feux hier soir, le médecin, dans sa dernière visite, vous avait confirmé que vous pourriez quitter l'établissement dans le matin. C'est donc depuis votre réveil que vous tendez l'oreille pour tous les pas arpentant votre couloir à la recherche de ceux qui bifurqueront vers votre porte. Après plusieurs fausses espérances, un candidat crédible semble enfin se diriger vers votre chambre. Le grincement de la poignée qui s'abaisse chante à vos oreilles comme la cloche de votre libération. Vous voyez une femme les bras chargés d'une caisse surmontée d'une pile de dossier entrer.
- Bonjour, je viens pour vous... Oh, Célestin !
- ...
- Ça va ?
- ... oui.
- Enfin, je te demande ça alors que tu es patient dans un hôpital. Excuse-moi. Je ne t'ai pas revu après l'incendie, comment ça s'est passé pour toi ?
- Je suis parti assez vite.
- Et comment tu t'es retrouvé ici ? Attends, j'ai ton dossier avec les papiers que je dois te faire signer.
Elle attrape sa pile de dossiers qu'elle commence à feuilleter.
- Alors, Célestin Gréville, où est-ce que tu es...
Gréville... Elle ne va jamais me trouver ! Comment je peux lui expliquer ça ?
- Oh ! J'ai dû te rater. Excuse-moi, accorde-moi trente secondes...
- Trouvé ! Célestin Gréville. J'avais dû te sauter.
Elle ouvre une chemise et parcourt des yeux le premier document.
- Perforation... sutures... attaque au couteau... Eh bien, tu n'as vraiment pas eu de chance ce soir-là. Un incendie puis une agression au couteau en rentrant.
- Oui, j'aurais mieux fait de rester couché.
- C'est sympa pour ceux que tu as rencontrés ce soir-là.
- Ce n'est pas ce que je voulais dire.
- Je sais, je plaisantais.
- Mais, et toi, que fais-tu là ?
- Eh bien, je suis externe, c'est la partie pratique de ma formation. Tu as raté Léo de peu d'ailleurs, c'est elle qui serait venue te voir si elle n'avait pas fini il y a dix minutes.
- Ah, d'accord. Je ne connais pas trop le fonctionnement du cursus en médecine.
- Je comprends. Bien, on va pouvoir te relâcher dans la nature. Il faut seulement que je t'administre un dernier antibiotique, que tu signes quelques documents et tu es libre.
- Parfait.
- Très bien, mets-toi sur le ventre le temps que je prépare la seringue.
- C... Comment ça ?
- Il faut que je pique dans une zone proche de la plaie. La fesse, ça ira très bien.
Vous la voyez soulever le couvercle de la caisse qu'elle a apportée, puis fouiller dedans tandis que vous blêmissez de gêne.
- ... C'est vraiment obligatoire ?
Elle tire de la caisse un stylo qu'elle vous tend.
- Non, deux signatures suffiront.
Vous expirez de soulagement.
- Désolée. Je sais, ça ne fait rire que moi.
Elle vous tend une feuille fixée sur une plaquette en plastique.
- Signe ici et là. Tes affaires sont dans la caisse que je t'ai amenée. Tu n'auras plus qu'à te changer et à partir.
- Merci.
- Qu'est-ce que tu fais ce soir ?
Vous redressez la tête et croisez son regard.
- Euh... c'est une invitation ?
- Non, c'est seulement le réveillon.
- Mais on n'était pas le 20 hier ?
- Bien sûr que non, puisque nous tentions de survivre à un incendie le 21. Tu t'es mélangé. Hier, c'était le 23 et aujourd'hui, nous sommes le 24.
Ma mère doit se demander pourquoi je ne lui ai pas encore dit si je serai là !
- Oh, encore un qui n'a pas fait ses cadeaux.
___________
Vous retrouvez le hall d'entrée de votre bâtiment après plusieurs jours d'absence. Tout en réfléchissant à votre organisation de la journée, vous montez les marches de l'escalier avec votre sac avec vos affaires à la main.
Je reste tranquille jusqu'à midi, je mange de la vraie nourriture par rapport à ce qu'ils m'ont donné à l'hôpital, puis dans l'après-midi, j'irai dans le magasin de décoration au bout de la rue pour trouver des cadeaux pour ma mère et ma sœur.
Alors que vous parveniez aux dernières marches et que votre palier vous apparaissait, vous trouvez assis contre votre porte quelqu'un. Vous vous arrêtez, vous dévisagez mutuellement en silence avant que vous ne finissiez par prendre la parole.
- Tu ne peux plus te passer de moi.
- On a été interrompus dans notre discussion hier. Comme je savais que tu sortais de l'hôpital ce matin...
- C'est bon... rentre.
Vous gravissez les dernières marches restantes et introduisez votre clef dans la serrure.
- Tu seras sympa de ne pas me frapper cette fois.
- Je ne sais pas, refrappe à ta propre porte pour voir.
- ...
- Je plaisante, et je t'ai déjà dit que je m'en voulais terriblement.
D'un tour de main, vous ouvrez votre porte et pénétrez tous deux dans l'appartement. Vous n'allumez pas de lumière et vous contentez de l'éclairage froid des ciels d'hiver qui se diffuse avec peine depuis vos fenêtres. C'est dans cette fausse clarté que vous la faites assoir dans le salon avant de la rejoindre, deux bières à la main. Vous lui tendez la sienne avant de vous laisser tomber dans le fauteuil qui fait face à votre invitée. Kaya avait retiré ses chaussures et replié ses jambes sous elle. Vous buvez ensemble votre première gorgée sans vous quitter des yeux, vous sondant mutuellement. Après quelques instants, elle vous questionne timidement.
- Ça fait mal ?
- Un peu.
- Comment c'est arrivé ?
- Durant une mission.
Elle contrefait une voix grave en oscillant grotesquement la tête.
Vous esquissez un sourire rieur devant son imitation.
PubliusOvidius
il y a 5 mois
- Je ne peux pas parler d'une affaire en cours.
- Et maintenant, après l'homme viril, tu joues au mec mystérieux ?
- Fais ce que tu veux, je ne te le dirai pas.
- Dommage… Dis, tu as bien reçu mes chocolats ?
- Oui, ils étaient très bons, je te remercie, tu n'aurais pas dû.
- Je suis contente que tu les aies trouvés. La voisine aurait bien pu les prendre pour elle. Ça m'aurait vraiment emmerdé de savoir qu'elle les avait bouffés.
- Je comprends...
- ...
- Mais, pourquoi tu es venu me voir ?
- Hum... tu m'intrigues. La vie ne cesse de te mettre sur ma route.
- Il y a quand même deux fois où ta route se trouvait être mon palier.
- Oui, mais tout de même, l'hôpital, c'était fort non ? Qu'on y soit en même temps ?
- Si tu le dis. Tu n'as pas un réveillon à préparer plutôt que de venir me voir, une famille à qui tu dois rendre visite ?
Vous remarquez que son visage se referme à l'évocation de sa famille. Elle doit même desserrer la mâchoire pour vous répondre.
- Je ne m'entends pas très bien, avec ma famille.
- Ah, désolé.
- Tu ne pouvais pas savoir.
Face à la gêne s'installant, vous cherchez un nouveau sujet de conversation. Votre esprit s'active jusqu'à trouver un élément auquel s'accrocher.
- Tu devais vraiment lui en vouloir à l'ancien locataire pour vouloir le frapper.
- Pas du tout. Il aurait pu me dire qu'il déménageait et que nous n'aurions plus de rendez-vous, c'est vrai, mais ce n'était pas lui que je voulais frapper ce soir-là, c'était l'idiot qui s'amusait à toquer de l'autre côté de la porte.
- ... J'avais trouvé ça marrant sur le moment.
- C'en avait l'air.
- Joli direct en tout cas.
- J'en suis assez fière, c'est vrai.
- Hum ... ça me fait penser, c'est bien que j'aie ta carte. Je connais des gens qui sont très portés au massage, alors je pourrais te recommander.
- Alors euh...
- ...
- Il faut que je te dise quelque chose. Je ne pense pas que tu devrais me recommander, même si c'est très gentil de ta part.
- Pourquoi ?
- Parce que, masseuse, c'est comme ça que je me suis enregistrée pour pouvoir déclarer mes revenus et bénéficier des protections sociales et d'une retraite, mais je ne suis pas vraiment masseuse.
- Qu'est-ce que tu fais alors ?
- Des massages que je ne pourrais pas déclarer aux impôts.
- Ah ! ... Je comprends.
- Je ne le cache jamais habituellement, je suis honnête sur ce que je fais. Je t'ai répondu masseuse la première fois, car je ne pensais pas que l'on se reverrait.
- Je vois.
Un lourd silence s'abat sur votre appartement. Vous avez beaucoup de mal à réagir à cette information à laquelle vous ne vous attendiez pas. Après une longue minute sans qu'aucun de vous deux ne prononce un mot, Kaya termine sa bière avant de la reposer sur la table basse, l'air affectée.
- Je vais te laisser.
- Non, je... désolé, je ne m'y attendais pas.
- Je ne t'en veux pas, je comprends ce que tu penses.
Elle commence à remettre ses chaussures.
- C'est juste que... je n'ai pas trouvé les mots...
- Ce n'est pas grave, je t'ai dit. Et puis, je me suis imposée. C'était Noël, je me sentais un peu seul, alors j'ai cru... j'ai cru que j'aurais pu trouver quelqu'un pour passer un peu de temps, mais je n'ai pas à t'imposer ça. Tu l'as dis-toi même hier, on ne se connaît pas.
- Kaya...
Elle serre son dernier lacet puis se lève pour se diriger vers la porte d'un pas décidé. Vous vous levez et la suivez du regard. Arrivée devant votre porte, elle se retourne vers vous.
- Merci pour la bière. Encore désolée pour ton nez. Je suis contente que cela ne t'ait pas laissé de trace.
Vous vous fixez. Pendant combien de temps ? Vous ne saurez le dire. Elle attend, elle espère de vous une solution à cette situation et vous le savez, mais les mots ne vous viennent pas. Toutes les esquisses de phrases que vous vous formulez viennent mourir contre vos lèvres serrées, et vous ne pouvez que regarder la porte se refermer. Votre téléphone vibre deux fois tandis que vous percevez encore le raisonnement de la poignée dans l'air. Vous le sortez et consultez le message que vous venez de recevoir : « Nous venons de réceptionner ton arrêt de travail. Tu reprends dès le 26. Je te souhaite un bon réveillon. Barrios. » Votre regard se reporte sur votre parquet, attiré par la multitude d'ombres le parcourant en un même sens, puis vous relevez la tête vers votre fenêtre. Dehors, il neige.
____________
C'est l'esprit en joie et déterminé que vous montez avec un peu d'avance dans votre voiture en ce matin de retour au travail. Vous veniez de passer auprès de votre famille le plus doux des réveillons depuis bien longtemps. Loin du supplice habituel de l'interrogatoire sur votre situation orchestré par vos grands-parents, vous fûtes, cette fois-ci, la personne importante de ce rassemblement. Tous avaient loué le prestige de votre poste dans une brigade criminelle et les larmes contenues de votre mère lorsqu'elle expliquait son bonheur d'avoir retrouvé un fils passionné par ce qu'il faisait et pétrit d'un enthousiasme nouveau vous avaient particulièrement touchées.
Il se trouve, de plus, que ce matin passait la chanson sur laquelle vous aviez dansé avec le lieutenant Mendes au bar. Ceci vient à nouveau gonfler votre enthousiasme et vous chantiez à haute voix dans l'habitacle tout en marquant le rythme avec vos mains sur le volant lorsqu'une voiture de police arrêtée sur le bas-côté attira votre attention. Vous distinguez alors un agent en train de plaquer une jeune femme sur son coffre afin de lui passer les menottes.
- La journée commence bien pour celle-là !
Après l'avoir menottée, l'agent redresse la femme, ce qui vous permet de voir son visage.
Vous reconnaissez Kaya.
Qu'allez-vous faire ?
1) Vous vous arrêtez et tentez de voir si vous pouvez la sortir de cette situation, quitte à jouer de votre grade.
2) Vous passez votre chemin et vous dirigez tout droit au poste.
public_function
il y a 5 mois