Je réponds à TROIS questions de MATHS
Wittgensteinien
il y a un mois
wittgensteinien
il y a un mois
Est-ce que les maths sont une construction sociale ?
EIBougnador
il y a un mois
Quelqu'un a demandé puis intant'supprimé comment démontrer la conjecture de Poincaré...
Wittgensteinien
il y a un mois
La suite 1/(n²sin(n)) converge-t-elle fils de pute ?
perdre un niveau 62 pour si peu
EIBougnador
il y a un mois
La suite 1/(n²sin(n)) converge-t-elle fils de pute ?
Question de merde trollesque à deux centimes
DentsJaunePipi
il y a un mois
DentsJaunePipi
il y a un mois
PateAPain4
il y a un mois
Je réponds aux trois premières questions de maths qui me seront poséesPosez des questions qui vous intéressent et auxquelles vous n'avez pas la réponse, pas des questions pour me tester
La suite 1/nsin(n) ça tend vers quoi ?
Un mathématicien doit recouvrir 20m^2 d'un mur à l'aide de sa peinture. Sauf qu'il n'a de quoi remplir que 10m^2 !
Comment faire pour que les gens aient l'impression qu'il ait rempli de peinture ce mur alors qu'il n'en a pas assez ?
EIBougnador
il y a un mois
Est-ce que les maths sont une construction sociale ?
Ma réponse est non : un phénomène mathématique étant spécifié, il a lieu ou n'a pas lieu indépendamment du bon vouloir du locuteur
Par contre, concernant le choix du langage pour exprimer les idées mathématiques, là il y aurait plein de possibilités et les mathématiciens ont choisi une façon parmi d'autres, puis homogénéisé leur langage de telle sorte qu'actuellement, un indien peut lire sans problème un article rédigé par un uruguayen. Subjectif + "des gens se mettent d'accord", on peut arguer qu'il y a une composante sociale sur cet aspect ; composante s'appliquant tant aux maths qu'à la physique, la philo, l'ingénierie, la navigation, etc
Si on définit "social" comme "composantes subjectives ensuite harmonisées au sein d'un groupe", alors il y a aussi un aspect social dans le choix des standards pour ce qui constitue une preuve convaincante. Toutefois, il serait injuste de dire que ces standards sont avant tout de nature sociale. Certes, l'aspect social entre en jeu mais, de façon bien nettement plus prépondérante, c'est le couperet de la validité qui tranche. Si tu utilises 1+1=3 dans la vraie vie, tu vas vite galérer alors que 1+1=2 va pouvoir t'aider : il est en de même pour les méthodes, celles valides t'aidant et d'autres non
Idéalement, on voudrait que ce soit exclusivement le couperet de la validité qui tranche. Les maths y parviennent autant qu'il est possible de le faire. Mais ce n'est jamais parfait au sens où pour juger de la validité, il faut bien des critères, qui eux mêmes doivent être validiés, donc ça se mord la queue ; classique > Le 29 mars 2025 à 14:02:27 :
Ma réponse est non : un phénomène mathématique étant spécifié, il a lieu ou n'a pas lieu indépendamment du bon vouloir du locuteur
Par contre, concernant le choix du langage pour exprimer les idées mathématiques, là il y aurait plein de possibilités et les mathématiciens ont choisi une façon parmi d'autres, puis homogénéisé leur langage de telle sorte qu'actuellement, un indien peut lire sans problème un article rédigé par un uruguayen. Subjectif + "des gens se mettent d'accord", on peut arguer qu'il y a une composante sociale sur cet aspect ; composante s'appliquant tant aux maths qu'à la physique, la philo, l'ingénierie, la navigation, etc
Si on définit "social" comme "composantes subjectives ensuite harmonisées au sein d'un groupe", alors il y a aussi un aspect social dans le choix des standards pour ce qui constitue une preuve convaincante. Toutefois, il serait injuste de dire que ces standards sont avant tout de nature sociale. Certes, l'aspect social entre en jeu mais, de façon bien nettement plus prépondérante, c'est le couperet de la validité qui tranche. Si tu utilises 1+1=3 dans la vraie vie, tu vas vite galérer alors que 1+1=2 va pouvoir t'aider : il est en de même pour les méthodes, celles valides t'aidant et d'autres non
Idéalement, on voudrait que ce soit exclusivement le couperet de la validité qui tranche. Les maths y parviennent autant qu'il est possible de le faire. Mais ce n'est jamais parfait au sens où pour juger de la validité, il faut bien des critères, qui eux mêmes doivent être validiés, donc ça se mord la queue ; classique.
Enfin, concernant les sujets qui sont à la mode ou les questions qu'on décide de regarder ou qu'on décrète intéressantes, tout ça, là oui, il y a clairement un aspect social. Pas exclusivement social néanmoins : à nouveau, le fait qu'une idée débloque ou pas d'autres problèmes ne dépend pas du bon vouloir de celui qui essaye (soit ça aide, soit ça marche pas)
Enfin, concernant les sujets qui sont à la mode ou les questions qu'on décide de regarder ou qu'on décrète intéressantes, tout ça, là oui, il y a clairement un aspect social. Pas exclusivement social néanmoins : à nouveau, le fait qu'une idée débloque ou pas d'autres problèmes ne dépend pas du bon vouloir de celui qui essaye (soit ça aide, soit ça marche pas)
EIBougnador
il y a un mois
La suite 1/nsin(n) ça tend vers quoi ?
Un mathématicien doit recouvrir 20m^2 d'un mur à l'aide de sa peinture. Sauf qu'il n'a de quoi remplir que 10m^2 !
Comment faire pour que les gens aient l'impression qu'il ait rempli de peinture ce mur alors qu'il n'en a pas assez ?
As-tu les réponses à ces questions ?
EIBougnador
il y a un mois
1 divisé par 0 ?
Soit ça n'a pas de sens, soit on peut dire que c'est l'infini. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que pour tout nombre réel A, on a "0 fois A" égal à 0 donc différent de 1. Donc aucun nombre réel ne mérite de s'appeler 1/0
PateAPain4
il y a un mois
As-tu les réponses à ces questions ?
Pour la première, non, comme tout le monde
Pour la deuxième : Indice :Il y a besoin de 0m^2 de peinture pour peindre un mur, avec une petite astuce
EIBougnador
il y a un mois
L'infini existe-t'il ?
Dans le monde des matheux, oui. Sauf pour une poignée de grincheux très minoritaires : les finitistes.
Le monde des matheux existe-t-il ? Ou, plus fin, en quel sens ce monde existe-t-il ? C'est une question un peu chiante, sur laquelle j'ai déjà écrit moultes fois à droite à gauche sur jvc. Mais en gros, ça en dit plus sur le sens de "exister" que sur les maths
Enfin, dans le monde réel, l'infini existe-t-il ? A ma connaissance, on ne sait pas. C'est pas forcément évident à trancher parce que si tu fais des observations dans l'espace ou dans le temps, comment trancher ? Par exemple, dire qu'il y a de l'infiniment petit, ça reviendrait à dire "je peux zoomer deux fois, puis encore deux fois, puis encore deux fois... et ce sans jamais m'arrêter". Autant si l'infiniment petit n'existe pas, peut-être qu'on peut s'en assurer : à un moment, le zoom bloque. Mais s'il existe, OK, t'as zoomé 1000 fois, mais peut-être qu'à la 1001ème fois, ça buggera
J'ai l'impression que l'infiniment petit n'a pas trop l'air d'exister physiquement (atomes, quanta). L'infiniment lointain dans le passé semble réfuté par le Big Bang. Mais le futur infiniment lointain ou l'infiniment distant dans l'espace, je ne sais pas
Pour en revenir à l'existence mathématique de l'infini : l'infini est une notion commode et ce qu'on croit à son existence pure ou pas. Plus précisément, il y a l'infini dit en acte et l'infini en puissance, c'est-à-dire potentiel. Dans le premier cas, on demande qu'il existe pour de vrai un objet infini : les matheux acceptent ça pour la très écrasante majorité mais, en principe, c'est effectivement sujet à débat.
Mais en fait, ce débat, on s'en fiche un peu car le plus souvent, ce qu'on démontre peut, quitte à faire des phrases un peu alambiquées, se reformuler pour un infini en puissance seulement ! L'infini en puissance, ce ne serait pas demander "donne-moi la liste de tous les entiers" mais "si je te donne un entier n, es-tu toujours capable de me lister ceux plus petits que lui et de me donner n+1 ?". Et ça, ça va, ça a l'air acceptable quand même
DJ_nodelock4
il y a un mois
EIBougnador
il y a un mois
Pour la première, non, comme tout le monde
Pour la deuxième : Indice :Il y a besoin de 0m^2 de peinture pour peindre un mur, avec une petite astuce
Relis le post introductif de ce topax
EIBougnador
il y a un mois
donne moi le cosinus d'un mouvement brownien
Cos(B_t)
PateAPain4
il y a un mois
Relis le post introductif de ce topax
On n'a plus le droit de faire de blague
Du coup, il suffit de colorier tous les points du mur de QxQ
T'es jaloux de pas avoir pensé à faire un truc de mesure nulle mais dense ?
EIBougnador
il y a un mois
On n'a plus le droit de faire de blague
Tu peux blaguer bien sûr, juste je vais pas perdre mon temps à tomber dans le panneau c'est tout
D'ailleurs 1/(n sin(n)) admet des sous-suites de limite infinie (facile) mais aussi des sous-suites de limite nulle (Dirichlet). Si tu cherchais le problème ouvert, il me semble que c'est avec un carré qui traîne quelque part
EIBougnador
il y a un mois
T'es jaloux de pas avoir pensé à faire un truc de mesure nulle mais dense ?
C'est rigolo
Après en vrai, faut évidemment pas prendre ça au sérieux car c'est en réalité scabreux. Déjà, on a un volume de peinture à la base, pas une surface (même si je conviens que tu pensais "le volume permettant de peindre convenablement telle surface"). Ensuite, Q² étant dénombrable donc de mesure de Lebesgue nulle, notre oeil n'est pas supposé voir quelque chose qui soit restreint à cette zone. Et enfin, côté physique, on pourrait envisager de peindre avec une épaisseur deux fois moindre, mais alors la qualité de notre travail et l'opacité en pâtiraient
EIBougnador
il y a un mois
Est-ce que les maths sont une construction sociale ?
Ma réponse est non : un phénomène mathématique étant spécifié, il a lieu ou n'a pas lieu indépendamment du bon vouloir du locuteur
Par contre, concernant le choix du langage pour exprimer les idées mathématiques, là il y aurait plein de possibilités et les mathématiciens ont choisi une façon parmi d'autres, puis homogénéisé leur langage de telle sorte qu'actuellement, un indien peut lire sans problème un article rédigé par un uruguayen. Subjectif + "des gens se mettent d'accord", on peut arguer qu'il y a une composante sociale sur cet aspect ; composante s'appliquant tant aux maths qu'à la physique, la philo, l'ingénierie, la navigation, etc
Si on définit "social" comme "composantes subjectives ensuite harmonisées au sein d'un groupe", alors il y a aussi un aspect social dans le choix des standards pour ce qui constitue une preuve convaincante. Toutefois, il serait injuste de dire que ces standards sont avant tout de nature sociale. Certes, l'aspect social entre en jeu mais, de façon bien nettement plus prépondérante, c'est le couperet de la validité qui tranche. Si tu utilises 1+1=3 dans la vraie vie, tu vas vite galérer alors que 1+1=2 va pouvoir t'aider : il est en de même pour les méthodes, celles valides t'aidant et d'autres non
Idéalement, on voudrait que ce soit exclusivement le couperet de la validité qui tranche. Les maths y parviennent autant qu'il est possible de le faire. Mais ce n'est jamais parfait au sens où pour juger de la validité, il faut bien des critères, qui eux mêmes doivent être validiés, donc ça se mord la queue ; classique > Le 29 mars 2025 à 14:02:27
Enfin, concernant les sujets qui sont à la mode ou les questions qu'on décide de regarder ou qu'on décrète intéressantes, tout ça, là oui, il y a clairement un aspect social. Pas exclusivement social néanmoins : à nouveau, le fait qu'une idée débloque ou pas d'autres problèmes ne dépend pas du bon vouloir de celui qui essaye (soit ça aide, soit ça marche pas)
InBigDespite9
il y a un mois
Montrer qu'il existe une matrice colonne X ne contenant que des 0 et des 1 et telle que : pour tout coefficient a_i de MX, a_i mod 2 = 1
EIBougnador
il y a un mois
Soit M une matrice symétrique carrée contenant des 0 et des 1 avec que des 1 dans sa diagonale principale.
Montrer qu'il existe une matrice colonne X telle que : pour tout coefficient a_i de MX, a_i mod 2 = 1
Connais-tu la réponse ?
Pourquoi t'intéresses-tu à cette question ?
InBigDespite9
il y a un mois
EIBougnador a écrit :
Connais-tu la réponse ?
Pourquoi t'intéresses-tu à cette question ?
Je suis sûr que c'est vrai mais je ne sais pas comment le prouver
La question est la transcription matricielle d'un problème de graphes
Gandalf_le_vioc
il y a un mois
perdre un niveau 62 pour si peu
En vrai c'est possible de savoir si cette somme est conbergente?
Odorante
il y a un mois
EIBougnador
il y a un mois
Je suis sûr que c'est vrai mais je ne sais pas comment le prouver
La question est la transcription matricielle d'un problème de graphes
J'ai fait joujou avec ton problème. Ca a l'air intéressant mais je n'avance pas, hélas.
EIBougnador
il y a un mois
En vrai c'est possible de savoir si cette somme est conbergente?
Problème ouvert
Donner quelques conseils oui, au-delà flemme
Je pense que je vais déco
Petit-O
il y a un mois
Définis moi rigoureusement un motif
Petit-o
il y a un mois
EIBougnador
il y a un mois
Définis moi rigoureusement un motif
non
InBigDespite9
il y a un mois
EIBougnador a écrit :
J'ai fait joujou avec ton problème. Ca a l'air intéressant mais je n'avance pas, hélas.
pas grave khey
CarraVonNolnnnn
il y a un mois
Édit: j'ai retrouvé le topic https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-51271292-1-0-1-0-les-jean-prepas-matheux.htm
Foulurker
il y a un mois
Soit M une matrice symétrique carrée contenant des 0 et des 1 avec que des 1 dans sa diagonale principale.
Montrer qu'il existe une matrice colonne X ne contenant que des 0 et des 1 et telle que : pour tout coefficient a_i de MX, a_i mod 2 = 1
C'est quoi le problème de graphe ?
EIBougnador
il y a un mois
C'est quoi le problème de graphe ?
Probablement l'énigme suivante, qui est une reformulation de son problème et sonne d'ailleurs comme un truc que j'ai déjà croisé un jour.
On a un graphe. Sur chaque sommet, il y a une ampoule et un interrupteur. Quand on actionne un interrupteur, ça switche l'état non seulement de l'ampoule sur place mais aussi des ampoules voisines. Montrer qu'il y a moyen de faire en sorte que tout est allumé.
Pour ceux qui préfèrent les énoncés non vulgarisés : peut-on trouver une famille de boules de rayon 1 telle que chaque sommet appartienne à un nombre impair de boules ?
DJ_nodelock4
il y a un mois
Cos(B_t)
chaud, c'est niche le calcul sto
Motocultage
il y a un mois
Soit M une matrice symétrique carrée contenant des 0 et des 1 avec que des 1 dans sa diagonale principale.
Montrer qu'il existe une matrice colonne X ne contenant que des 0 et des 1 et telle que : pour tout coefficient a_i de MX, a_i mod 2 = 1
D'abord, on remarque qu'on peut travailler avec une matrice et des vecteurs à coefficient dans Z/2Z. On démontre la propriété par récurrence sur la taille n de la matrice.
Si n=1, c'est évidemment vrai.
Sinon, supposons la propriété vraie au rang n et regardons une matrice M de taille n+1.
Pour 1<=i<=n+1, par l'hypothèse de récurrence, on peut construire un vecteur X_i, de taille n, et tel que L_i X_i n'ait que des 1 comme coefficient, où M_i est la matrice obtenue en supprimant la i-ème ligne et i-ème colonne de A.
Je note Y_i le vecteur de taille n+1 obtenu en insérant un 0 en i-ème coefficient à X_i.
On a AY_i n'a que des coefficients 1, sauf éventuellement le i-ème.
Soit v_i le vecteur de taille n+1 formé de coefficients 1, sauf en i-ème position où le coefficient est 0.
D'après, ce qui précède, soit l'un des Y_i convient, soit les vecteurs v_i sont tous dans l'image.
Mais les vecteurs v_i forment une base de (Z/2Z)^(n+1) si n+1 est pair, et leur somme est égale au vecteur (1,..,1) si n+1 est impair.
Dans tous les cas, le vecteur (1,...,1) est dans l'image de M.
Il n'y a en fait pas besoin de supposer que M est symétrique
Motocultage
il y a un mois
Cependant, les vecteurs v_i engendrent le sous-espace V de (Z/2Z)^(n+1) formé des vecteurs dont la somme des coefficients est nulle. Il suffit donc de montrer que Im(M) n'est inclus dans V.
Or M(1,..,1) n'est pas dans V: la somme de ses coefficient est la somme des coefficients de M qui est impaire car M est symétrique de diagonale 1 et n+1 est impair !
incelparis
il y a un mois
il y a un mois
Est-ce que les maths pures c'est pour rester pauvre ?
1nulenmaths
il y a un mois
EIBougnador
il y a un mois
Gg Moto, performant as ever
En définitive, ça soulève quand même la question de si c'est valide ou non sans l'hypothèse de symétrie sur la matrice.
Si y en a qui ont besoin de plus de détails :
- quand n+1 est pair, les v_i engendrent tout car leur somme vaut (1 1 ... 1), puis v_i + (1 1 ... 1) redonne la base canonique,
- quand n+1 est impair, remarquer que si i et j sont distincts, v_i+v_j est le vecteur nul partout sauf en i et en j.
EIBougnador
il y a un mois
Est-ce que les maths pures c'est pour rester pauvre ?
Ca dépend de ce que tu appelles pauvre. Comparé à la population générale de la France, les métiers de la recherche ont un salaire assez bon. Comparé à ce que permettent les maths applis pratiquées hors académique, ça donne un salaire nettement moindre.
Ainsi, les maths pures, c'est plutôt soit si t'es amoureux d'elles, soit si t'as un souci avec le monde de l'entreprise, soit si tu t'en cognes d'avoir beaucoup d'argent et qu'un salaire OK fait le taf à tes yeux.
Jamais entendu parler de cette intégrale + j'ignore de quel phénomène tu parles
EIBougnador
il y a un mois
Explique le phenomene qui se passe avec l'integrale de Borwein
Je viens de jeter un oeil. J'y connais toujours rien mais c'est intrigant
Motocultage
il y a un mois
Gg Moto, performant as everEn définitive, ça soulève quand même la question de si c'est valide ou non sans l'hypothèse de symétrie sur la matrice.
Si y en a qui ont besoin de plus de détails :
- quand n+1 est pair, les v_i engendrent tout car leur somme vaut (1 1 ... 1), puis v_i + (1 1 ... 1) redonne la base canonique,
- quand n+1 est impair, remarquer que si i et j sont distincts, v_i+v_j est le vecteur nul partout sauf en i et en j.
C'est faux sans cette hypothèse : la matrice
(1 0 0)
(1 1 1)
(0 1 1)
est d'image incluse dans x1+x2+x3= 0 mod 2, donc son image ne contient pas le vecteur colonne (1,1,1).
EIBougnador
il y a un mois
Il me semble que c'est juste que le corpus mathématique prend énormément d'ampleur donc que, à taille constante, un individu semblait dominer les sciences jadis alors qu'aujourd'hui, avec la même taille, il domine seulement une branche des maths. Aussi, il y a plus de chercheurs aujourd'hui : peut-être sort-on moins facilement du lot quand il y a foule.
InBigDespite9
il y a un mois
Merci Motocultage
Je ne comprends juste pas pourquoi montrer que Im(M) n'est inclus dans V permet de montrer que (1,...,1) appartient à Im(M) si n+1 est impair
EIBougnador
il y a un mois
Scholze n'est pas un branque.
EIBougnador
il y a un mois
Merci MotocultageJe ne comprends juste pas pourquoi montrer que Im(M) n'est inclus dans V permet de montrer que (1,...,1) appartient à Im(M) si n+1 est impair
Il a dit que soit c'était win grâce à l'un des Y_i, soit tous les v_i sont dans Im(M). On peut donc supposer que Im(M) contient l'hyperplan V. Si Im(M) n'est pas inclus dans cet hyperplan, c'est que c'est (Z/2Z)^{n+1} tout entier, qui contient en particulier (1 1 ... 1)
EIBougnador
il y a un mois