L'Europe est en pleine reconfiguration stratégique, et pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, la France se retrouve en position de leadership.

La France n'a qu'à tendre le bras pour prendre la couronne aux 12 étoiles

Pourquoi ? Un enchaînement d'événements favorables :

1. Le Brexit a transformé le trio en duo.
Le départ du Royaume-Uni a réduit l'UE à un tandem franco-allemand. Mais ce duo est déséquilibré : l'Allemagne reste, et de loin, la première puissance économique du continent, tandis que la France est devenue la seule puissance militaire nucléaire.
Moins d'acteurs donc plus de place, le départ de l'UK a laissé un vide, un espace de manœuvre.

2. L'Allemagne face au vide stratégique
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne a construit toute sa politique de défense autour d'un seul pilier : les États-Unis. Pour elle, rien d'autre n'existait. Pas d'armée crédible, pas d'indépendance stratégique, pas de plan B.
Aujourd'hui, ce pilier s'effondre. Les États-Unis se désengagent progressivement de l'Europe, et l'Allemagne se retrouve sans solution. Elle ne peut ni compter sur elle-même ni sur une alternative qu'elle n'a jamais envisagée.

3. L'Allemagne affaiblie par la guerre russo-ukrainienne
La rupture des relations entre l'Allemagne et la Russie a bouleversé l'économie allemande, notamment dans le secteur de l'énergie. Berlin a dû revoir sa politique énergétique et industrielle, perdant une partie de sa capacité d'influence.

4. Les pays de l'Est, contraints et volontaires
La Pologne et les pays baltes ont toujours eu la même menace à leur porte : la Russie. Jusqu'ici, ils n'avaient qu'un seul recours, les États-Unis. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité. Aujourd'hui, la donne change.
Ils ne peuvent se retourner que vers la France. Non seulement parce qu'ils n'ont plus d'autre option, mais aussi parce qu'ils le veulent. La garantie française, à travers la dissuasion nucléaire et la volonté de défendre l'Europe, devient une évidence pour eux. Et Macron reste un des présidents les mieux perçu en Europe de l'Est (notamment en Ukraine).

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Q : L'Allemagne, même affaiblie, conserve un poids économique énorme et reste influente politiquement. L'idée d'un leadership uniquement militaire peut séduire en temps de crise, mais une puissance doit aussi être économiquement dominante pour réellement s'imposer.
R : En effet, je dirais même plus on ne peux pas espérer la rattraper économiquement. Mais on pourrait par notre nouvelle position forcer l'avantage de manière incroyable dans les discussions économique etc... Car tout pouvoir se ramène uniquement a un pouvoir de mort.

Q : Accepter un leadership militaire signifie aussi être prêt à engager ses forces et à assumer les coûts.
R : Si nous promettons ( et les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent) de défendre l'Europe l'idée est d'abord le parapluie nucléaire pas les hommes et que le budget militaire couvrant serait soutenu pas par la France mais par l'Europe.

Q : Oui mais sans les US, l'UE n'est rien, on est faible, oui mais la dette, oui le wokisme, oui mais vous etes trop nul et faible
R : L'Union européenne est le plus grands marché au monde. Principal partenaire commercial des États-Unis (18,6 % de leurs échanges) et aussi le premier partenaire commercial de la Chine. Siège permanent à l'Onu, ZEE européenne la plus grande au monde etc...., Industrie de pointe etc (merci le 18 et 19 eme siècle).SpoilAfficherMasquerBien sur il y a énormément de défis à relevés
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L'histoire a rarement offert une telle opportunité à la France. Le leadership européen ne demande qu'à être assumé, non pas par conquête, mais parce que l'équilibre des forces impose naturellement ce rôle.

L'Allemagne a perdu son socle stratégique. L'Europe de l'Est cherche un nouvel axe de stabilité. Les États-Unis se désengagent. Tout converge vers une seule évidence : la France.

C'est une chance historique, un moment où la puissance militaire, la diplomatie et la nécessité géopolitique s'alignent parfaitement. La couronne est a portée de bras.