La philosophie de l’amour

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alonedoomer

il y a 9 mois

L'amour en philosophie

Hegel a une perspective particulièrement intéressante de l'amour. Selon lui l'amour est un processus de devenir, où les individus se rejoignent en dépassant leur individualité.
L'amour véritable consiste à reconnaître et à aimer l'autre dans sa totalité, tout en s'unissant avec lui. L'amour n'est donc plus seulement une émotion ou un sentiment, mais plutôt un processus qui permet la réalisation de soi et de l'autre.

Alors l'amour véritable ne se résume pas à une simple attirance ou à une connexion érotique, mais plutôt à une profonde compréhension et reconnaissance mutuelles entre individus, l'amour véritable implique la recherche de l'identité et de l'authenticité dans une union mutuelle.

La conception de l'amour de Spinoza est profondément liée à sa métaphysique basée sur le déterminisme et l'identité de l'esprit et du corps. Pour lui, l'amour n'est pas un sentiment subjectif, mais plutôt une manifestation objective du désir de l'être de préserver et de renforcer son existence.

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alonedoomer

il y a 9 mois

L'idée de l'amour schizophrène peut être reliée à la notion de l'amour "désirant" de Hegel. Pour Hegel, l'amour basé uniquement sur le désir peut être destructeur et malsain, car il est uniquement centré sur la satisfaction de ses désirs propres et ignore les besoins et les sentiments de l'être aimé. Cet amour peut conduire à un rapport de possessivité et de dénuement envers l'autre, ce qui peut être dangereux et destructeur pour les deux individus concernés.

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alonedoomer

il y a 9 mois

L'hypocrisie en amour peut être reliée à la notion de l'amour "masqué" développé par Nietzsche. Pour Nietzsche, l'hypocrisie en amour est une forme d'amour basé sur la manipulation et les apparences, où les individus dissimulent leurs véritables sentiments derrière des mots et des comportements superficiels pour obtenir quelque chose en retour. Cette forme d'amour est selon Nietzsche profondément dévalorisante, car elle nie la vraie profondeur des sentiments.

Il critique également les formes de l'amour qui sont basées sur le devoir ou l'intérêt personnel, qui ne sont que des formes hypocrites d'attachement.