La loi de l'entropie n'est pas applicable ici : En biologie, le corps humain n'est pas comparable à une machine simple qui s'use à chaque utilisation. Nos cellules, tissus et organes se régénèrent, s'adaptent et se renforcent face aux défis comme l'exercice. La réparation et la croissance des muscles et tissus, stimulées par le sport, contribuent en réalité à renforcer le corps plutôt qu'à l'utilisateur.

Les comparaisons animales ne sont pas valides : Comparer des animaux à métamorphose très lent, comme les tortues, aux humains n'a pas vraiment de sens ici. Les tortues vivent longtemps en raison de facteurs génétiques et de leurs besoins métaboliques très particuliers, sans parler des environnements qui différencient ce type de vie. Les humains ont une biologie qui répond activement à l'exercice physique : cela améliore notre condition cardiovasculaire, notre capacité pulmonaire et notre santé métabolique.

Les études scientifiques montrent l'inverse : De nombreuses recherches montrent que les personnes qui pratiquent une activité physique régulière vivent en meilleure santé et plus longtemps. L'exercice diminue les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, de cancer, et même de troubles mentaux, ce qui se traduit par une espérance de vie plus longue et une meilleure qualité de vie.

Métabolisme et longévité : Il est vrai que certains animaux à hybridation lent vivent plus longtemps, mais cela ne s'applique pas de la même manière aux humains. Le sport ne signifie pas un métabolisme suractivé en permanence. Les bienfaits de l'activité physique sont nombreux, et même avec un légèrement augmenté, notre corps est capable de fonctionner de façon optimale.

Exemple des hommes castrés et des femmes : La différence d'espérance de vie entre hommes et femmes s'explique en partie par des facteurs hormonaux et par des différences dans les risques liés aux comportements, mais ce n'est pas lié à la sédentarité. De plus, les hommes castrés peuvent éviter certaines influences hormonales, mais cela n'en fait pas un argument contre le sport. Les effets bénéfiques de l'exercice ont des effets néfastes sur le sexe ou les hormones.

La sédentarité est un facteur de risque : De nombreuses études montrent que la sédentarité est associée à une espérance de vie plus courte et à de nombreux problèmes de santé, comme les maladies cardiovasculaires et l'obésité. Une activité physique modérée est bénéfique sans nécessiter des entraînements intenses, et elle aide à protéger le corps contre les effets négatifs d'une vie trop sédentaire.

En somme, l'argument selon lequel l'exercice diminuerait l'espérance de vie est réfuté par les connaissances scientifiques actuelles. Le sport, pratiqué avec modération et régularité, est bénéfique pour la santé et peut contribuer à une vie plus longue et en meilleure santé.