J'ai écrit un long pavé sur un autre topic qui explique, sommairement, la situation actuelle à ce niveau là. Je vais le simplifier à l'extrême.

Tout le souci, c'est que le triomphe du libéralisme après la guerre froide a conduit à une hégémonie politique telle qu'elle a abouti à un développement unique de ce seul prisme en particulier en Occident. Au plus, on a revu de nouvelles formes de nationalisme, mais loin d'être incompatibles avec le libéralisme, bien au contraire ("Libéral oui, mais que chez nous et pour nous" )

La gauche elle même s'est convertie au libéralisme, puisqu'au final, elle reprend la lecture marxiste uniquement pour corriger le tir des effets néfastes du libéralisme afin de le perfectionner.
L'idée est de dire "Ok pour la libre-concurrence, mais on veut une concurrence libre et parfaite pour tout le monde". D'une égalité salariale recherchée par les communistes, on a rebasculé sur une égalité de droit avec, non pas une égalité matérielle, mais une absence d'inégalité matérielle disproportionnée. Il n'est même plus question de tous débuter sur la même ligne de départ, mais de juste s'assurer que certains ne partent pas trop loin devant ou derrière.

A la base le "wokisme", c'est ça, et rien d'autre. Au point de même pas essayer de lutter contre les dérives d'une surconsommation, c'est dire la déliquescence des ambitions de la gauche actuelle.

Tu sais pas lire, c'est pas grave khey

Pas vraiment non, elle montre au contraire qu'il n'y a pas d'effet significatif par rapport à l'orientation gauche/droite. Mais qu'en combinant orientation gauche/droite et populisme, on trouve un effet en moyenne (mais avec une variabilité importante d'un parti à l'autre et d'un pays à l'autre).